Le vent des rumeurs souffle fort dans les rues d'Anaheim, et au centre de cette tempête de potins se trouve Trevor Zegras, dont l'immaturité est devenue le sujet brûlant des discussions dans le monde du hockey.
Maigre comme un poulet et aussi peu habitué au gym que Mike Ribeiro à son apogée, Zegras semble plus intéressé par les bars de Los Angeles que par le fait de travailler dur pour devenir un joueur d'impact.
Les témoignages s'accumulent, décrivant un Zegras qui erre de bar en bar, faisant des blagues douteuses et parfois même déplacées à ses coéquipiers.
Certains affirment que Zegras a l'âge mental d'un enfant de 8 ans. Toucher le derrière ou l'entrejambe de ses coéquipiers semble être devenu une sorte de rituel pour ce jeune joueur, qui semble prendre cela comme une simple plaisanterie.
Pourtant, ce comportement n'a rien de drôle pour ses coéquipiers et les dirigeants de l'équipe. Dans un vestiaire de hockey, la maturité et le respect sont des qualités essentielles, des piliers sur lesquels repose l'harmonie et la cohésion de l'équipe.
Zegras semble en manquer cruellement, jetant ainsi une ombre sur l'ambiance au sein de l'équipe. Les partisans des Ducks commencent à s'interroger sérieusement sur l'avenir de Zegras à Anaheim. Tout comme les journalistes.
Certains pensent qu'il est temps pour lui de partir, de trouver un environnement où son attitude puérile serait mieux acceptée. Mais alors, une autre question émerge : si Zegras se retrouvait à Montréal aux côtés de Caufield, formeraient-ils un cocktail négatif ?
Il est indéniable que les deux joueurs possèdent un talent de fou sur la glace, mais si leur comportement immature venait à se combiner, cela pourrait en effet créer un mélange nauséabond à l'extérieur de la glace.
On veut Zegras à Montréal...mais ça commence à nous faire peur...