Un journaliste tente de piéger Arber Xhekaj devant les caméras

Un journaliste tente de piéger Arber Xhekaj devant les caméras

Par David Garel le 2024-01-26

Un journaliste anglophone de Montréal devrait avoir honte.

Il a tenté de piéger le défenseur Arber Xhekaj devant les caméras aujourd'hui.

Armé d'une question vicieuse  et d'un désir avide de sensationnalisme, le journaliste espérait arracher à Xhekaj une déclaration compromettante sur le coup à la tête asséné à Brendan Gallagher. Avancez la vidéo à 8:45.

Le piège était astucieux : en demandant à Xhekaj de commenter le coup à la tête controversé de Brendan Gallagher à l'encontre d'Adam Pelech, le journaliste espérait provoquer une réaction émotionnelle ou une déclaration incendiaire de la part du défenseur. Mais Xhekaj, loin d'être naïf, a réagi avec une finesse et une maîtrise impressionnantes.

Face à la pression médiatique, Xhekaj a choisi la voie de la prudence et de la retenue.

« Je préfère ne pas commenter sur ce sujet », a-t-il déclaré calmement, refusant de se laisser entraîner dans le tourbillon de controverse.

Son refus de participer à la spéculation sensationnaliste a démontré une remarquable intelligence et un sens aigu de la responsabilité médiatique.

 Le journaliste, dont nous tairons le nez, a vu une opportunité lorsque Xhekaj a évoqué les différences de traitement entre les pénalités dans la LNH et dans les ligues juniors. Avancez la vidéo à 8:20

Percevant une faille dans laquelle il pourrait exploiter, le journaliste a intensifié ses questions, cherchant à placer Xhekaj dans une position délicate.

Malgré cette tentative d'"embuscade médiatique", Arber Xhekaj est resté imperturbable. Sa réponse mesurée et sa capacité à naviguer habilement dans les eaux agitées des médias ont témoigné de sa maturité et de son sang-froid inébranlable.

En refusant de se laisser entraîner dans les pièges de la controverse, Xhekaj a démontré qu'il était bien plus qu'un simple joueur de hockey, mais un individu doté d'une intelligence et d'une intégrité remarquable.

Bravo! Et honte à ce journaliste anglophone!