Montréal est sur le point de perdre l'organisation du Grand Prix de Formule 1, et la principale responsable est assurément la mairesse Valérie Plante.

À force de vouloir transformer la ville en un paradis vert pour les cyclistes et de négliger la gestion des chantiers de construction, elle commence à dégoûter les dirigeants de la F1.

La situation est amplifiée par les critiques répétées de Pierre Poilievre, qui n'a pas hésité à qualifier de nouveau Mme Plante d'incompétente pour plusieurs raisons: les chantiers à répétition, la crise du logement, les centaines de millions investis dans les pistes cyclables et  les délais pour obtenir un permis de construire qui ont plus que doublé pendant que des milliers de Québécois ne peuvent se loger.

Cette accusation n’a pas manqué d’irriter la mairesse, mais Valérie Plante doit regarder la vérité en face: elle est la pire politicienne de l'histoire du Québec, une femme prêts à sacrifier le bien-être de la population au nom de ses aspirations personnelles.

En se positionnant comme une championne de l'écologie, des endroits verts et du vélo, elle veut devenur la héroïne de la planète, en sacrifiant ses propres citoyens.

Elle n'a pas encore compris à quel point le Grand Prix du Canada est vital pour Montréal et ses commerçants. Le fait qu'elle soit vice-présidente du Comité directeur du C40, un réseau mondial de maires engagés dans l’action climatique, et la carboneutralité d’ici 2050, est en train de lui faire perdre la tête. Sans le savoir, elle est devenue l'ennemie numéro un de la Formule 1.

Afin de vouloir sauver la planète, Valérie Plante est en train de détruire les aspirations économiques de sa propre ville.

Jadis la métropole du Canada, Montréal est aujourd’hui en pleine descente aux enfers. Les vitrines des nombreux commerces fermés sont couvertes de graffitis, l'insécurité monte dans les rues et le métro, et les déchets détruisent les rues. Montréal est devenue laide, puante et orange avec tous ses cônes de chantiers de construction. 

Malgré ces problèmes urgents, Mme Plante gaspille du temps et de l’argent public sur ses pistes cyclables. On parle de centaines de millions jetés par les fenêtres au nom du vélo alors que cet argent devrait être investi dans les routes et tous les autres problèmes de la ville.

Le possible départ du Grand Prix de Montréal en raison de cette mauvaise gestion serait une perte énorme pour la ville, non seulement en termes de prestige international, mais aussi en termes de retombées économiques.

Avant de chercher à atteindre des objectifs mondiaux ambitieux, Valérie Plante devrait peut-être revenir aux réalités locales et aux besoins urgents de sa propre population.

En réalité, il semble que Valérie Plante souhaite que le Grand Prix déménage à Toronto ou même aux États-Unis. Jamais, au grand jamais, elle n'a supporté cet événement, le considérant comme trop polluant pour la planète.

La mairesse de Montréal estime que les organisateurs du Grand Prix du Canada doivent tenir compte des enjeux environnementaux dans la tenue de l’événement. Elle s’est prononcée après que les inconvénients liés à la venue de la Formule 1 ont fait les manchettes.

Tout le monde sait qu'au sein du parti de Madame Plante, plusieurs membres ne cesse d'exiger la fin du Grand Prix du Canada à Montréal parce que cet évènement affecterait l'environnement au plus haut point.

« On regarde la Formule 1, avec raison, parce que c’est une course de voitures. Mais quand on parle de transition écologique, tous les secteurs doivent se poser des questions et montrer à la population en quoi leur champ d’activités et leurs événements s’inscrivent dans la transition écologique », a soutenu Mme Plante.

Selon Plante, pour que la FI demeure à Montréal, les dirigants doivent « embarquer dans le train » pour que le Grand Prix puisse respecter les objectifs de réduction des gaz à effet de serre de la Ville. Et la mairesse n'aime pas non plus le problèmes des "femmes de joie".

« L'exploitation n'a pas sa place à Montréal ni ailleurs. D'ailleurs, le SPVM travaille depuis des semaines pour sensibiliser tous les hôtels, les bars, les taxis et la population à l'importance de dénoncer tout geste répréhensible. Une importante présence policière sera sur place pendant toute la fin de semaine », a affirmé la mairesse.

Actuellement, le contrat entre Montréal et Grand Prix est valide jusqu’en 2031. Plante jure qu'elle ne prévoit pas de le résilier, mais l’attitude de la mairesse laisse entendre qu’elle pourrait ne pas s’y opposer si l’événement décidait de se relocaliser.

Son approche rigide et idéologique risque d’éloigner l'un des événements les plus prestigieux de la ville, accentuant encore davantage la perception de Montréal comme une ville en déclin.

Valérie Plante est en train de détruire notre ville. Elle doit partir avant qu'il ne soit trop tard...

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