- Soulagement à TVA Sports...
- Pierre-Karl Péladeau sera en mesure de payer le salaire de Jean-Charles Lajoie!!
- L'animateur, qui est le mieux payé de la station avec un salaire annuel entre 300 000 et 400 000 $ peut dormir sur ses deux oreilles...
- Le succès de Freedom Mobile sera en mesure de payer tous les plus gros salaires sans couper dans le gras.
- Certaines rumeurs affirmaient que les animateurs et les journalistes les mieux payés allaient devoir accepter une diminution salariale.
- Mais il n'en est rien..
- Merci à Freedom Mobile!
À peine intégrées au giron de Québecor, les activités de Freedom Mobile agissent déjà comme une vache à lait, ce qui permet à la maison mère de Vidéotron et TVA de réduire son endettement. écrit le Devoir.
Québecor a dévoilé jeudi ses résultats du deuxième trimestre. C’est la première fois que les résultats incluent les activités de Freedom Mobile, dont l’acquisition a été conclue au début du mois d’avril pour une somme de 2,85 milliards.
La transaction fait partie de la stratégie d’expansion hors Québec de l’entreprise montréalaise. « Je suis très satisfait de ce que nous sommes parvenus à faire en peu de temps, a déclaré le président et chef de la direction, Pierre Karl Péladeau. […]
Nous venons tout juste d’acheter une entreprise qui génère d’importants flux de trésorerie qui paient les intérêts que nous avons dû contracter pour financer cette transaction. »
- Le Devoir affirme que Freedom Mobile est devenu la VACHE à LAIT de TVA et Vidéotron...
- Jean-Charles Lajoie est BÉNI des DIEUX...
- BÉNI...par Freedom...
- BÉNI...par la LIBERTÉ MOBILE...
- Radio-Canada pense que Pierre Karl-Péladeau ne voudra pas éternellement faire vivre TVA par le SURPLUS de CASH qui provient des télécommunications.
L’intention de Pierre Karl Péladeau est-elle de se détourner du secteur des médias pour concentrer toute son énergie dans le sans-fil? demande le journaliste Gérard Fillion?
La question est légitime. Penser autrement J’ai demandé à Pierre Karl Péladeau si l’expansion de Québecor passait par l’ouest du Canada et l'acquisition de Freedom.
Sa réponse a été sans équivoque. Clairement, clairement, a-t-il dit, expliquant ensuite qu’au cours des sept prochaines années l’entreprise devra développer son réseau d’infrastructures en télécommunications dans l’ouest du pays, ce qui nécessitera des investissements importants tout en respectant l’engagement de Québecor de faire baisser les prix pour les services de téléphonie mobile.
Je lui ai ensuite demandé si l’avenir de Québecor n’était plus vraiment dans le secteur des médias et du Groupe TVA. Pierre Karl Péladeau s’est alors lancé dans une explication nous ramenant à l’acquisition de Vidéotron par Québecor en 2000. Comme s’il souhaitait recentrer l’engagement premier de son entreprise.
J’insiste ensuite sur l’avenir du secteur des médias dans son entreprise. Il répond : Il n’y a pas de doute que le domaine des médias est difficile. Je ne suis pas le seul à le dire. Vous regardez les résultats de l’ensemble des entreprises de médias, que ce soit en Amérique du Nord ou en Europe, et vous voyez que nous sommes tous logés à la même enseigne.
Alors que 80 % des revenus publicitaires se trouvent maintenant entre les mains des géants du web, je lui demande s’il pense à céder le Groupe TVA. On n’a pas l’intention de s’en départir. Mais c’est certain que ça va requérir un changement de culture. Il va falloir travailler autrement, ces choses-là vont arriver au fur et à mesure que le temps passera. Mais il va falloir effectivement penser autrement.
TVA Sports peut fermer, d’autres compressions sont à venir, un changement de culture s’annonce, affirme Pierre Karl Péladeau. Les nuages sombres s’amoncellent et on a l’impression que le patron de Québecor se désintéresse de cette activité. Alors, est-ce que l’action du Groupe TVA, qui tourne autour de 1,50 $ seulement, sera retirée de la cote?
Est-ce bientôt la fin de TVA dans l’empire Québecor? L’entreprise sera-t-elle bientôt à vendre?
- Changer de culture...c'est peut-être arrêter de payer les animateurs de TVA Sports beaucoup trop chers pour les cotes d'écoute qu'ils obtiennent...
- En attendant...
- Lajoie peut compter sur Freedom Mobile pour toucher son CASH...
La vigueur du secteur des télécommunications, qui représente 86 % des revenus, masque cependant les difficultés du secteur médiatique, qui enregistre une perte d’exploitation de 500 000 $ au deuxième trimestre. écrit le Devoir.
Le ralentissement économique semble refroidir les ambitions des annonceurs, constate l’analyste Maher Yagi, de la Banque Scotia. « Nous croyons que la pression va perdurer au moment où les annonceurs tiennent compte du ralentissement de l’économie et de la diminution des dépenses discrétionnaires. »
Dans ce contexte difficile, Groupe TVA avait annoncé son intention de mettre fin à son bulletin local dans la région de Québec avant d’être forcé par le CRTC de revenir sur sa décision. Québecor a aussi signifié à l’Assemblée nationale qu’elle cessait de payer son loyer pour les bureaux qu’occupent ses journalistes membres de la Tribune de la presse.
- Pour combien de temps Freedom Mobile pourra être la béquille de TVA?
Sans surprise, l’ajout de Freedom Mobile fait gonfler les revenus consolidés de Québecor. Les revenus du propriétaire de Vidéotron, Fizz, du Groupe TVA et du Journal de Montréal ont augmenté de 25,4 %, à 1,4 milliard.
L’entreprise a dégagé un bénéfice net de 171,3 millions par rapport à 156,3 millions à la même période l’an dernier. Le bénéfice ajusté dilué par action est de 79 ¢. Avant la publication des résultats, les analystes prévoyaient un bénéfice de 72 ¢ et des revenus de 1,4 milliard, selon la firme de données financières Refinitiv.
Les flux de trésorerie de Québecor ont augmenté de 26,1 % au deuxième trimestre, pour s’établir à 455,3 millions. Avec ce chiffre, les inquiétudes de certains investisseurs par rapport à l’acquisition de Freedom Mobile pourraient se dissiper, croit l’analyste Vince Valentini, de Valeurs mobilières TD.
« Ça veut dire que, plutôt que de faire une ponction dans l’encaisse, Freedom Mobile a immédiatement été une source de liquidités. »
Québecor dévoile également un endettement beaucoup moins élevé que ce qui était prévu à la sortie de cette transaction, ajoute l’analyste. Le ratio net d’endettement atteint 3,52 fois le bénéfice avant intérêts, impôts et amortissement (BAIIA) par rapport à 3,2 fois il y a six mois. Les analystes prévoyaient un ratio d’entre 3,7 fois et 3,9 fois, souligne M. Valentini. « Ça fait une différence de près de 450 millions. Ça vaut environ 2 $ par action. C’est une bonne surprise. »
Le prochain élément à suivre sera la capacité de Freedom Mobile d’attirer de nouveaux clients, alors que son nouveau propriétaire laisse entrevoir une offensive promotionnelle dans le cadre de la saison de la rentrée, une importante période promotionnelle pour le secteur des télécoms.
« Vous comprendrez qu’on ne donnera pas de détails pour des raisons concurrentielles, mais vous pouvez anticiper que d’autres choses s’en viennent, a lancé M. Péladeau. Ce sera annoncé en temps et lieu. »
Il est encore trop tôt pour dire si Freedom Mobile parvient à se démarquer dans le marché, juge l’analyste Maher Yagi, de Banque Scotia.
« Nous anticipons que la société se prépare à déployer d’importantes sommes pour la promotion de Freedom Mobile durant la rentrée et les Fêtes. Le troisième et le quatrième trimestres seront de meilleurs indicateurs pour évaluer le succès de Freedom entre les mains de Québecor. »