Mathieu Olivier a livré une performance qui continue de faire parler d’elle, et pas seulement pour son combat contre Arber Xhekaj.
Après le match, Renaud Lavoie, sur les ondes de TVA Sports, a exprimé un désir clair : voir Olivier porter le chandail bleu-blanc-rouge.
Et honnêtement, avec ce qu’il a montré hier soir, comment ne pas partager cet avis ?
Renaud n’a pas mâché ses mots :
« Mathieu Olivier va être joueur autonome sans compensation le 1er juillet. Mon rêve, c’est de le voir jouer dans l’uniforme bleu-blanc-rouge. »
Et pourquoi ce rêve ?
Lavoie a expliqué que même des personnalités comme Rick Nash, ancien joueur vedette et maintenant dirigeant chez les Blue Jackets, ont souligné l’importance de Mathieu Olivier dans leur alignement.
Ce n’est pas seulement un gars qui peut jeter les gants. C’est un joueur respecté, qui impose un équilibre sur la glace et protège ses coéquipiers.
Hier soir, il a montré qu’il était prêt à tout pour sa formation, en livrant un combat intense contre Arber Xhekaj :
Ce combat n’a pas seulement mis en lumière la robustesse d’Olivier.
Il a aussi révélé sa maturité, lorsqu’il a pris le micro après la bataille.
Pas d’arrogance, pas de vantardise, juste un discours réfléchi et stratégique :
« C’était pour donner un peu d’émotion au match, raviver nos deux équipes. »
Renaud Lavoie a ajouté un point intéressant : Mathieu Olivier pourrait être la solution parfaite pour enlever un peu de pression à Xhekaj, souvent vu comme le shérif de l’équipe.
Olivier pourrait non seulement amener de l’énergie et du respect sur la glace, mais aussi permettre à Xhekaj de se concentrer davantage sur son jeu.
Et puis, il y a ce détail non négligeable : Olivier est Québécois.
Dans un marché comme Montréal, où les partisans adorent les joueurs locaux, il serait rapidement adopté par la foule.
Comme le dit si bien Renaud : « C’est un gars qui s’exprime super bien, qui deviendrait automatiquement un des favoris de la foule. »
Alors oui, deux millions de dollars par année pour Mathieu Olivier, c’est un investissement.
Mais pour ce qu’il apporte sur la glace et dans le vestiaire, c’est un prix qui semble presque trop beau pour être vrai.
Un bourreau, un leader, et un Québécois en plus. Qu’attend le Canadien ?
Lets goooo!