Samuel Montembeault pourrait être l’un des meilleurs investissements de la LNH cette saison.
Et pourtant, avec un contrat de trois ans d’une valeur de seulement 3,15 millions de dollars par année, il regrette amèrement d’avoir accepté un salaire si dérisoire.
Mais ce qui rend sa situation encore plus absurde, c’est qu’il réalise maintenant que cette somme – qui couvre trois années d’efforts acharnés sur la glace – représente à peu près l’équivalent des dépenses en alcool de Mélanie Joly, ministre des Affaires étrangères du Canada, en seulement cinq ans.
Oui, vous avez bien lu. Selon des rapports récents, Affaires mondiales Canada, sous la supervision de Mélanie Joly, a dépensé 3 millions de dollars en alcool sur une période de cinq ans.
Cela revient à une moyenne de 51 000 dollars par mois, un montant qui dépasse largement ce que beaucoup de Canadiens gagnent en une année entière.
Pour Montembeault, qui doit chaque soir bloquer des rondelles pour gagner son pain, ce parallèle est un véritable coup de poing au visage.
Pendant que Montembeault accepte un contrat à rabais pour rester fidèle au Canadien et s’assurer un poste dans une organisation qu’il aime, d’autres, dans les plus hautes sphères du gouvernement, dépensent sans compter sur des bouteilles de champagne et des spiritueux luxueux.
Ce contraste criant soulève des questions sur les priorités des dirigeants et sur le respect des efforts des Canadiens ordinaires.
À 28 ans, Samuel Montembeault aurait pu réclamer un salaire bien plus élevé s’il avait testé le marché des agents libres.
Ses performances solides cette saison, couplées à sa sélection pour représenter le Canada sur la scène internationale, auraient pu justifier un contrat comparable à celui de gardiens comme MacKenzie Blackwood, qui a récemment signé une prolongation de 5 ans et 5 millions de dollars par année avec l’Avalanche du Colorado.
Mais Montembeault a choisi de signer à rabais pour rester à Montréal, un geste d’altruisme et de loyauté, mais un geste financier non-intelligent, pour ne pas dire stupide.
Pendant ce temps, le ministère de Mélanie Joly semble fonctionner sous une philosophie totalement contraire.
Les dépenses astronomiques en alcool montrent une déconnexion flagrante avec les réalités économiques des Canadiens moyens, qui peinent à joindre les deux bouts dans un contexte d’inflation effrayante.
Montembeault, qui donne tout sur la glace pour son équipe et ses partisans, pourrait aujourd’hui se demander si son dévouement vaut vraiment le sacrifice financier qu’il a consenti.
Il est difficile d’imaginer qu’un athlète professionnel, au sommet de son art, puisse gagner moins qu’un ministère dépense en alccol deluxes.
Et pourtant, c’est la triste réalité.
Les efforts acharnés d’un athlète et l’insouciance des décideurs publics.
Pendant que Montembeault regrette son contrat à rabais, les contribuables, eux, peuvent légitimement se demander où vont leurs impôts.
Une chose est certaine : la coupe déborde, et ce n’est pas Montembeault qui en profite.
La révélation des dépenses extravagantes en alcool de Mélanie Joly et du ministère des affaires étrangères déclenché un raz-de-marée de réactions en ligne, et l’indignation atteint des sommets.
Les Canadiens expriment leur colère, leur moquerie et leur frustration face à ce qu’ils perçoivent comme un gaspillage flagrant de fonds publics, surtout dans un contexte où bon nombre de contribuables peinent à boucler leur budget.
Les commentaires fusent sur les réseaux sociaux, mêlant sarcasme, exaspération et dénonciation. Des phrases comme
"Ça prend beaucoup d'alcool pour devenir leader dans la condamnation morale sur les réseaux sociaux" traduisent le sentiment d’hypocrisie ressenti par plusieurs Canadiens face à un gouvernement qui appelle à la rigueur financière tout en dépensant plus de 51 000 $ par mois en boissons alcoolisées.
De nombreux Canadiens notent que les 3,3 millions de dollars dépensés par le ministère en alcool sur cinq ans dépassent largement le salaire annuel moyen des contribuables après impôts.
"C'est plus que ce qu'un Canadien moyen gagne en une année!" s’indigne un utilisateur, mettant en lumière l'écart entre les dirigeants et les citoyens qu’ils représentent.
Un autre se demande combien d’employés travaillent réellement dans ce ministère, qualifiant le montant dépensé d’absurde.
Entre 600 000 et 700 000 dollars par année d'alcool pour la jolie Joly et ses amis de son ministère.
Alors que l’inflation continue de gruger le pouvoir d’achat des Canadiens et que les ménages doivent se serrer la ceinture, ces révélations passent mal.
Plusieurs internautes critiquent la déconnexion entre le gouvernement et les réalités des citoyens.
"Si seulement ces fonds avaient été utilisés pour réduire les coûts des aliments ou des logements", regrette un commentaire, tandis qu’un autre suggère sarcastiquement que les familles en difficulté reçoivent au moins une bouteille de champagne en guise de compensation.
Au-delà des moqueries, l’affaire soulève une problématique plus large sur la gouvernance.
"Combien de décisions sont prises sous l’influence de ces bouteilles à 51 000 $ par mois?" ironise un internaute, mettant en cause la crédibilité des politiques élaborées sous un tel contexte.
Face à une telle avalanche de critiques, Mélanie Joly et le gouvernement Trudeau pourraient être forcés de répondre à cette controverse grandissante.
La dépense massive en alcool, bien que légale, touche une corde sensible chez les citoyens. Dans une période où les Canadiens s'attendent à des sacrifices partagés, cet excès est perçu comme une insulte directe.
Cette controverse illustre une fois de plus que dans l’ère numérique, où chaque dollar public est analysé et critiqué, les gestes perçus comme du gaspillage peuvent rapidement devenir des symboles d’injustice sociale et économique.
Pour Joly et son ministère, les prochaines semaines pourraient bien nécessiter plus qu’un simple toast pour calmer la colère collective.
Au moins, Samuel Montembeault peut dormir tranquille. Personne ne va se plaindre de son 3 millions à lui...
Vous trouvez la comparaison boîteuse? Au contraire.
La saga des regrets de Samuel Montembeault et des excès du ministère de Mélanie Joly offre un contraste saisissant entre deux réalités.
D’un côté, un gardien de but québécois sous-payé, victime d’un contrat à rabais mal négocié par son agent.
De l’autre, un gouvernement dépensant sans retenue sur des bouteilles d’alcool au coût exorbitant.
Ironiquement, on pourrait suggérer que Paul Corbeil, l’agent de Montembeault, se recycle et commence à gérer les dépenses d’alcool du gouvernement.
Vu sa tendance à négocier à rabais, disons que les contribuables en sortiraient gagnants!
Mais blague à part, cette situation prouve l’incapacité de Corbeil à protéger son client. En acceptant un contrat bien en deçà de la valeur réelle de Montembeault et sans aucune clause de protection (Montemeabult n'a aucune clause de non-échange), il a compromis l’avenir financier et professionnel de son joueur.
On espère que cette leçon sera retenue par Corbeil pour l’avenir. Pour ce qui est de Joly, impossible qu'elle ait retenu quoi que ce soit.
En politique, quand tu as tout cuit dans le bec, difficile de retenir une leçon...