Jonathan Drouin est le jackpot à retardement.
Le Québécois est en train de frapper un grand coup financier.
Encore une soirée de travail, encore une performance éclatante : deux buts, une passe, et le compteur qui continue d’exploser.
20 points en 20 matchs. Un rythme d’un point par match, qu’on ne voyait pas venir, mais qui est en train de changer toute sa trajectoire.
L’an dernier, Drouin s’est forcé à signer à rabais. Son agent, Allan Walsh, en avait gros sur le cœur : son client aurait pu aller chercher le gros lot ailleurs, mais il voulait absolument rester au Colorado.
Résultat ? Un contrat d’un an à 2,5 millions, un montant presque insultant pour un joueur de son talent.
Et pourtant, il avait raison de croire en lui. Aujourd’hui, les experts du Colorado s’entendent : Drouin va coûter au minimum 5 millions par année cet été. On parle d’un contrat de 4 ans pour 20 millions de dollars.
Le plus fou ? Le magot que Drouin a accumulé en carrière.
Un CV financier de luxe malgré une production modeste.
Depuis ses débuts dans la LNH, Jonathan Drouin a encaissé pas moins de 39 millions de dollars. Et s’il signe le contrat de 20 millions qu’on lui prédit cet été, il atteindra presque 60 millions en carrière.
Quand on regarde son bilan statistique, c’est là que ça devient incroyable :
357 points en 584 matchs.
En comparaison, Martin St-Louis a cumulé 1033 points en 1134 matchs.
Et pourtant, Drouin va surpasser St-Louis en revenus en carrière. On parle d’un joueur qui a dominé la LNH pendant une décennie et qui a dû se battre pour chaque dollar… et d’un Drouin qui, malgré les critiques et une production irrégulière, va tranquillement atteindre les 60 millions.
En 17 saisons dans la LNH, Martin St-Louis a fait 57,5 millions de dollars en carrière.
Drouin, lui, va toucher près de 60 millions en seulement 13 saisons. Et pourra continuer à engranger de l'argent par la suite car il n'aura que 34 ans.
T’imagines le scénario ? Martin St-Louis a tout donné, tout prouvé, il a dû se battre comme un lion à chaque contrat… et Jonathan Drouin, lui, va finir avec plus d’argent.
C’est une revanche cruelle, mais belle.
Parce que n’oublions pas que Drouin a vécu le pire affront qui soit. Réchauffer le banc pendant un match au complet parce que tu as manqué un meeting d'équipe est la pire humilation qui soit.
Aujourd’hui, Drouin peut littéralement lui dire : « Regarde mon compte de banque, mon gars. Je suis plus riche que toi. »
C’est un paradoxe qui en dit long sur l’évolution des salaires dans la LNH.
Il faut dire que Jonathan Drouin a su maximiser son potentiel financier malgré un parcours semé d’embûches. On oublie souvent, mais ce gars-là :
A été puni et "benché" touut un match par Martin St-Louis à Montréal.
A été critiqué sans relâche pour son irrégularité.
A traversé des périodes extrêmement difficiles sur le plan personnel, mettant même sa carrière en pause pour sa santé mentale.
Mais aujourd’hui, il est en contrôle. Il joue aux côtés de son meilleur ami MacKinnon, il produit, et surtout, il s’est mis en position pour encaisser un dernier gros contrat avant ses 30 ans.
Si on se souvient tous du moment où Martin St-Louis a fait réchauffer le banc à Drouin pendant tout un match à Montréal, on se souviendra peut-être encore plus de la revanche financière de Drouin.
Parce qu’au final, Jonathan Drouin aura gagné plus d’argent que Martin St-Louis.
Morale de l’histoire ? Peu importe ce que disent les détracteurs, Drouin a gagné. Et pas juste sur la glace.
Jonathan Drouin est en train de réaliser quelque chose d’incroyable. Non seulement il connaît une saison digne d’un premier trio, mais il s’apprête surtout à casser la baraque financièrement.
Encore deux buts et une passe hier soir. 20 points en 20 matchs. Il produit, il fait gagner son équipe, et surtout, il force la main des dirigeants de l’Avalanche.
Son agent, Allan Walsh, l’avait mal au cœur l’été dernier. Il savait que Drouin valait plus que 2,5 millions, mais son client l’a forcé à signer un contrat à rabais parce qu’il voulait absolument rester au Colorado. Résultat : il joue pour des peanuts, mais il s’est placé dans une position idéale pour encaisser gros cet été.
Et là, les journalistes du Colorado sont unanimes : Drouin va coûter au moins 5 millions par année. On parle d’un contrat de 4 ans pour 20 millions de dollars.
Drouin va passer au cash… et dépasser Martin St-Louis
Si Jonathan Drouin signe ce fameux 20 millions sur 4 ans, il atteindra 59 millions de dollars gagnés en carrière.
Et c’est là que ça devient complètement fou.
On parle d’un gars qui a 357 points en 584 matchs. Maintenant, comparons-le à Martin St-Louis, une légende du hockey, un Hall of Famer, un champion de la Coupe Stanley, un MVP, un joueur de plus de 1000 points dans la LNH.
Martin St-Louis : 1033 points en 1134 matchs.
Jonathan Drouin : 357 points en 584 matchs.
Et pourtant… Drouin va dépasser St-Louis en salaire.
En 17 saisons dans la LNH, Martin St-Louis a fait 56,2 millions de dollars en carrière.
Drouin, lui, va toucher près de 60 millions en seulement 13 saisons.
T’imagines le scénario ? Martin St-Louis a tout donné, tout prouvé, il a dû se battre comme un lion à chaque contrat… et Jonathan Drouin, lui, va finir avec plus d’argent.
C’est une revanche cruelle, mais belle.
Parce que n’oublions pas que c’est Martin St-Louis qui avait puni Drouin à Montréal en le benchant pendant un match complet.
Aujourd’hui, Drouin peut littéralement lui dire : « Regarde mon compte de banque, mon gars. Je suis plus riche que toi. »
L’Avalanche doit maintenant prendre une décision difficile. Parce qu’il faut être honnête : Jonathan Drouin, c’est un joueur risqué sur un contrat à long terme.
À Montréal, il avait signé pour 33 millions sur 6 ans… et on sait tous comment ça s’est terminé.
Blessures.
Effondrement mental
Saisons écourtées
Un gros contrat, ça tourne parfois mal, surtout pour un joueur comme Drouin.
L’histoire se répétera-t-elle au Colorado ? C’est ça, la grande question.
Parce que si l’Avalanche lui donne 20 millions sur 4 ans, il faudra qu’il continue de produire comme il le fait maintenant. Sinon ? Ça pourrait devenir une autre situation où il s’écrase dès qu’il sécurise son salaire.
Alors, est-ce que Chris MacFarland va prendre le risque ? Est-ce qu’il croit vraiment que Drouin peut rester en santé et performer pendant 4 ans ?
C’est un dilemme énorme, parce que d’un côté, Drouin mérite son salaire, mais de l’autre, il a prouvé qu’un contrat à long terme peut être une bombe à retardement.
Peu importe ce que décide le Colorado, Jonathan Drouin a déjà gagné.
Il a renversé le narratif.
Il a surmonté ses démons.
Il a prouvé qu’il pouvait encore être un joueur d’impact.
Et surtout, il prouve que l'argent est un concept abstrait. Plus riche que Martin St-Louis...imaginez...
Mais cette revanche financière de Jonathan Drouin ne s’arrête pas à Martin St-Louis.
Non, elle s’étend aussi à un autre personnage qui s’est fait un malin plaisir de l’écraser quand il était au plus bas : Stéphane Waite.
Parce que si St-Louis l’a humilié en le clouant au banc pendant tout un match, Waite, lui, l’a littéralement traîné dans la boue médiatique sur les ondes du 98,5 FM, transformant Drouin en un running gag humiliant.
« On faisait même des farces à l’intérieur (de l’équipe). On disait en joke : ‘’Voyons, Jo a-t-il une clause dans son contrat qui fait en sorte qu’il n’a pas le droit de scorer ?’’ »
C’était ça, le respect qu’avait Stéphane Waite pour Drouin : une blague, un bouffon bon à ridiculiser. Comme si l’attaquant québécois ne valait pas mieux qu’une simple moquerie de vestiaire.
Et ce n’était pas fini. Waite avait continué à enfoncer le couteau, allant jusqu’à raconter publiquement que Drouin arrivait toujours à la dernière minute aux réunions, sous-entendant un manque total de professionnalisme.
« Je me souviens tellement de Jo, les gars s’en venaient dans la salle de vidéo et tu voyais souvent Jo rentrer en même temps dans l’aréna, les gars étaient déjà en combine et Jo était habillé en civil et venait dans le meeting parce qu’il venait juste d’arriver. »
Pourquoi balancer ce genre de détails ? Pour l’humilier. Pour lui coller une réputation de joueur nonchalant, pas sérieux, un fardeau pour son équipe.
Et aujourd’hui ? Drouin a le dernier mot.
Waite a toujours misé sur les mauvais chevaux, et aujourd’hui, c’est encore lui qui perd.
Parce que pendant qu’il se noie dans sa propre identité toxique, Jonathan Drouin, lui, s’envole vers un contrat de 20 millions de dollars et des gains en carrière de 60 millions.
Drouin a gagné, Waite a perdu
Cette montée fulgurante de Drouin, c’est aussi une claque en plein visage pour tous ceux qui l’ont enterré trop tôt.
Waite l’a ridiculisé ? Drouin se rit de lui maintenant.
St-Louis l’a humilié ? Drouin va encaisser plus d’argent que lui.
Les journalistes de Montréal l’ont dénigré ? Ce sont maintenant ceux du Colorado qui vantent ses mérites.
Tout ce qu’il lui reste à faire, c’est de continuer à briller, forcer la main du Colorado et empiler les millions.
Et pendant ce temps-là, Stéphane Waite pourra continuer à s’acharner sur les autres, cherchant un nouveau bouc émissaire, un autre joueur du Canadien à ridiculiser.
Mais une chose est certaine : il ne pourra plus rien contre Jonathan Drouin...et son compte en banque...