- Samuel Girard...le JOUEUR de POCHES????

- Dans tous les cas..

- Quand on pense que Bergevin a échangé Alex DeBrincat et Samuel Girard pour Andrew Shaw..

- On a envie de pleurer.

- Un Québécois avec d'aussi bonnes valeurs...

- Cela aurait été PARFAIT à Montréal...

- À Marc Bergevin d'aller le chercher via transaction..

- Mais Tomas Tatar...cela ne sera pas assez...

- HAHA!!!!

«Je suis fier de ma région. Je ne te mentirai pas, si je suis où je suis aujourd’hui, c'est grâce à ma famille. Mes parents, mes frères, ma sœur. J’ai toujours eu l’appui de ma famille. Quand j’avais 8-9 ans, même mes oncles venaient me voir jouer. La famille Girard-Dion a toujours été proche. L’été, on se fait des partys, on profite du temps ensemble.»     

"On est proche. J’aime ça revenir ici. Je ne me souviens pas de la dernière fois que je ne jouais pas en avril. J’en profite avec ma famille. Je reste terre à terre. Je n'ai pas changé, je reste encore un kid du lac. Je vit comme je vivais avant de signer mon contrat.»     

«Tout le monde est compétitif chez nous. Il y en avait souvent un qui rentrait dans la maison en pleurant. La plupart du temps c’était moi parce que j’étais le plus jeune. Je me faisait brasser par mes frères Christopher et Jérémy. Je jouais pour gagner, mais quand je perdais, je revenais à la maison en pleurant!»       

«Mes premières années, j’étais plus timide, je ne disais pas un mot. Quand t’es une recrue, t’es tellement nerveux, tout est nouveau, tu ne sais pas si tu vas rester ou si tu vas retourner dans le junior. J’étais stressé. Plus tu connais les gars, plus tu t’intègres. C’était pareil dans le junior. On m’a dit: «la première année, tu ne disais pas un mot, la deuxième t'étais le plus comique!»»     

«Le monde ne le sait pas, mais je suis un grand joueur de poches! Je croyais me faire tirer la pipe, mais pas de blagues, c’est vrai. Nous à Roberval, on joue beaucoup aux poches. J’ai même un jeu de poches professionnel dans mon sous-sol à Denver. Je me pratique pendant la saison.»     

«Dans ma famille, c’est sûr que c’est moi le MEILLEUR. Dans la région, Régis Morin, l’ami de mon père, et moi on est pas mal imbattables. Depuis qu’on joue ensemble, on n'a jamais perdu un tournoi. On prend ça au sérieux. J’ai aussi un jeu professionnel chez mes parents. Quand il pleut, on arrête de jouer parce qu’il ne faut pas que les poches prennent l’humidité.»     

«Je ne sais pas vraiment. De 10 à 14 ans je jouais beaucoup aux fers à cheval. J’aimais ça. Depuis que j’ai 15 ans, je suis tombé en amour avec les poches.»     

«J’aimerais éventuellement faire des tournois partout aux États-Unis et au Québec. Sur le circuit américain, il y en a qui gagnent leur vie avec ça. Tu peux aller chercher des bourses de 100 000$ par tournoi!»     

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