L'avenir d'Alex Burrows au sein de l'organisation du Canadien de Montréal semble actuellement menacé, selon les informations fournies par Dany Dubé et Martin McGuire.

Des difficultés persistantes au niveau de l'avantage numérique, combinées à une pression croissante venant des fans et des journalistes du Québec, pourraient influencer la décision de Kent Hughes et Jeff Gorton à l'approche de l'été prochain.

Les performances horribles de l'avantage numérique ont été un sujet de préoccupation constant cette saison, et cela a contribué à remettre en question le rôle d'Alex Burrows au sein du personnel d'entraîneurs. Les critiques et les demandes de changement provenant des partisans ont ajouté une pression supplémentaire sur la situation.

La situation de Burrows est accentuée par le fait qu'il n'a pas été engagé par les "nouveaux dirigeants", Kent Hughes et Jeff Gorton, laissant ainsi planer des doutes quant à sa survie au sein du personnel d'entraîneurs. La situation est similaire pour Trevor Letowski, ce qui suggère que des changements significatifs pourraient être en cours dans l'équipe d'entraîneurs du Canadien cet été. 

Ce qui va faciliter la tâche des dirigeants du CH est que les contrats de Burrows et Letowski se terminent cet été. Toujours plus facile pour suivre la voie du congédiement.

Cependant, il est à noter que le coach des gardiens, Eric Raymond, et le coach des défenseurs, Stéphane Robidas, semblent être en bonne position pour garder leur emploi, eux qui mériteront une prolongation de contrat.

Cela signifie que deux nouvelles recrues pourraient rejoindre le personnel d'entraîneurs du CH, ou que des ajustements pourraient être apportés dans l'organigramme technique de l'équipe.

On espère enfin que Martin St-Louis pourra bénéficier de l'expérience d'un nouvel entraîneur, en particulier pour le guider dans l'amélioration de l'efficacité de l'avantage numérique.

Nous resterons à l'affût des développements à venir dans cette période de transition derrière le banc pour le Canadien de Montréal.

Une chose est sûre: le temps d'Alex Burrows est compté.

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