- OUCH...

- On peut comprendre Alexis Belzile d'être en FURIE...

- Et de vouloir un contrat garanti dans la LNH.

- Il empochait 275 000$ dans la ligue américaine...

- La même chose....que Claudie Mercier...

- Ou plutôt...

- Claudie d'Occupation Double...

- C'est CHIEN...

- Imaginez...

- Empocher 300 000 $....

- Pour être une FAKE HUMORISTE...

- Ou une FAKE MODÈLE....

- Qui se montre en BIKINI...

- Après ça...

- Belzile se fait REJETER par Kent Hughes...

- Il doit regarder tout ça...

- Et se dire qu'il aurait dû aller à Occupation DOUBLE...

- Et devenir INFLUENCEUR..

- Misère...

L’ancienne candidate d’Occupation Double, Claudie Mercier affirme, avoir mis du temps avant de pouvoir en vivre, après sa sortie de la téléréalité en 2019. (Journal de Montréal)

Celle qui forme un couple avec Mathieu Pellerin, rencontré sur le plateau de la populaire émission, gagne aujourd’hui bien sa vie; elle révèle qu’elle fait entre 200 000$ et 300 000$ par année. 

Mais, parler d’argent la rend mal à l’aise. «J’ai aucunement connaissance de ma valeur», dit celle qui cumule pourtant plus de 1,7 million d’abonnés sur ses réseaux sociaux.

Finalistes à l’émission Occupation double Afrique du Sud en 2019, Claudie Mercier et Mathieu Pellerin gagnent leur vie en exhibant leur quotidien «sans tabou» sur les réseaux sociaux, tels deux livres ouverts. 

Le couple chouchou du web rejoint à lui seul près de 2 millions d’abonnés, mais c’est assurément Claudie qui vole la vedette. 

De son côté, Mathieu passe le plus clair de son temps sur Twtich, une plateforme de diffusion en direct qui gagne en popularité au Québec. Véritable caverne d’Ali Baba, on y retrouve de tout, et ce, pour tous les goûts, allant du commentaire politique à de la cuisine en ligne. 

Ainsi, un peu à l’image du film Le Show Truman, l’ancien barman de 28 ans se met en scène, en direct, pendant près de onze heures par jour. Il converse avec ses quelque 40 000 abonnés que ce soit en jouant à des jeux vidéo, en commentant l’actualité ou des émissions de téléréalité, en pariant sur divers défis à réaliser ou même lorsqu’il va au restaurant avec Claudie. «Je trouve ça incroyable, je ne me tanne jamais!» lance-t-il. 

Vivant sous le même toit, Claudie apparaît aussi évidemment quelques fois à l’écran, tantôt pour saluer ses abonnés, commenter un évènement ou même pour argumenter. «Le monde nous voit même nous chicaner des fois [...] C’est la vraie vie!», lance-t-elle en riant.

En plus du profit qu’il fait sur les abonnements, vendus au prix de 5$ US par mois, certains de ses abonnés peuvent lui faire des dons. Il publie ensuite ses vidéos sur YouTube, qui lui rapportent aussi un montant d’argent selon le nombre de vues qu’elles récoltent. 

Claudie, âgée de 27 ans, est quant à elle omniprésente sur les réseaux sociaux, qu’elle considère comme étant son «journal intime». Elle se livre ainsi sans filtre à sa communauté de près de 1,7 million d’abonnés sur TikTok, Instagram et YouTube, en plus de son podcast Perceptions. 

Extrêmement demandée, elle enchaîne les partenariats rémunérés, mais avoue en refuser plusieurs, pour rester fidèle à elle-même. Entre les contrats, elle alimente ses plateformes quotidiennement, sans répit.

«C’est toujours dans ma tête, même quand je n’ai rien à l’horaire, je reste active sur mon Instagram, je documente ma vie tout le temps [...] je suis tellement bien, tellement passionnée», dit la jeune femme originaire de la Beauce. Pour elle, il n’y a pas de ligne entre sa vie personnelle et le travail. «Je n’en ai pas de besoin, je suis bien sur les réseaux», dit-elle. Très près de sa communauté, elle admet passer plusieurs heures par semaine à répondre à ses admirateurs.

Elle divertit son public à travers ses sketches humoristiques, mais ouvre aussi parfois la discussion sur les problèmes de santé mentale et la différence chez les jeunes, notamment.

«Parler en story, c’est ce qui fonctionne le mieux pour moi. J’aime collaborer avec des fondations qui aident les jeunes», dit celle qui avait amorcé un baccalauréat en enseignement du primaire avant son passage à la téléréalité.

Sa présence remarquée sur les réseaux sociaux l’a par ailleurs amenée à faire une tournée de spectacles d’humour au Québec l’an dernier. Un «rêve» qu’elle souhaiterait revivre éventuellement, dit-elle, tout comme animer une émission de télévision.

«Pour moi, l’argent, ce n’est pas important. Qu’on habite ici ou dans un château, je m’en fous», ajoute son copain, qui gagne sa vie en se diffusant en direct presque tous les jours, et ce, durant de longues heures, sur la plateforme Twitch. 

Ce réseau social lui rapporte en moyenne un revenu de près de 6000 $ par mois, admet-il. «Pour nous, c’est zéro tabou [l’argent], c’est juste de l’argent», dit-il, avec l’air décontracté qu’on lui connaît.

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