- Alexis Lafrenière ne s'en fait pas...

- Avec ceux qui affirment que si on refaisait le DRAFT 2020...

- Il ne serait pas dans le TOP 5...

- Pour nous, même si Tim Stützle et Lucas Raymond passent bien avant lui..

- Laffy reste dans le TOP 5...

- Reste que le Québécois s'en fout..

- Il n'a jamais voulu le SPOTLIGHT...

- Et ne le veut toujours pas...

«Je mène une vie bien normale. Je peux me faire reconnaître une fois de temps en temps, mais ça reste assez rare. La ville est assez grosse et il y a deux équipes dans tous les sports professionnels.

Je ne suis pas une grande star ici! Je peux signer un autographe ou prendre une photo à l’occasion, mais ce n’est rien de dérangeant.»

«Oui, c’est bon comme environnement, je trouve qu’il y a un bon équilibre. Oui, c’est un gros marché de hockey. Il y a plusieurs médias qui couvrent les Rangers et nous jouons devant des gradins remplis au MSG. C’est super agréable. Mais il y a tellement d’autres sports à New York. Il n’y a pas juste les Rangers qui attirent l’attention. Ça donne un peu plus de lousse.»

«J’adore réellement l’ambiance au MSG. On dirait qu’il y a un truc magique dans l’air. C’est bruyant du début à la fin. Quand on marque un but, c’est complètement fou. Il y a aussi des routines chez les partisans et ils ont des cris spéciaux.» 

«Je n’ai pas vu ma famille et mes amis pendant six ou sept mois. Je me retrouvais aussi dans un nouveau pays. Oui, je parlais bien anglais, mais ce n’est pas ma langue maternelle. Il y avait une adaptation."

"Quand tu as 19 ans, tu ne sais pas trop à quoi t’attendre. Tu n’as pas la même assurance dans la vie. J’ai reçu l’aide des gars ici. Je me sens toujours de plus en plus confortable.» 

«Mes parents et ma sœur ont regardé pour une première fois un match au MSG à ma deuxième saison dans la LNH. Ils étaient là pour le match d’ouverture à New York. Et à notre troisième match de la saison, nous étions à Montréal. J’avais marqué au Centre Bell dans une victoire.» 

«Je n’étais pas au Centre Bell. Ça m’a fait de quoi. Ça devait être mon année pour le repêchage à Montréal. J’aurais aimé vivre les émotions d’un repêchage à la maison devant ma famille et mes amis. J’aurais trouvé ça cool. Je n’y peux rien. J’ai quand même eu une belle expérience avec le repêchage virtuel. Ça reste le même résultat, je me suis fait repêcher.» 

 C’était spécial. Je me souviens que j’avais vu des images de l’Empire State Building qui était aux couleurs des Rangers et qu’il y avait mon visage sur Times Square avec un mot en français pour m’accueillir. Je capotais un peu. Je viens d’une petite ville à Saint-Eustache. Je trouvais ça gros, j’étais surpris. Mais c’était un bon moment.»

«Mon conseil pour Juraj Slafkovsky: Je lui dirais de rester lui-même et de jouer son jeu. Peu importe si ça va bien ou moins bien, il doit demeurer terre à terre. Il y a tellement de bons joueurs et de bonnes équipes dans la LNH. Il y a des soirs où c’est plus dur. C’est juste normal. »

«Je ne me dis pas tous les jours que je suis un premier choix au total et que je dois faire ceci ou cela. J’essaye juste de m’améliorer comme joueur et de connaître de meilleures saisons d’année en année. Je garde cette mentalité où je veux voir une progression dans mon jeu.»

«Je pense que ça se passe bien. Je ne suis pas un gars qui subit la pression de sa famille ou de ses amis. Je me place une pression moi-même sur mes épaules. Mais je sais qu’il y a des moments où ce n’est pas facile. Malgré ça, tu dois toujours trouver des façons d’avoir du plaisir et de bien jouer.»

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