Ryan Reaves met le feu à les rivalité qui l'oppose à Arber Xhekaj.

Celui qui a perdu le premier combat contre son rival a affronté les médias de Toronto aujourd'hui.

Et Reaves traite pratiquement son ennemi de lâche. L'homme fort des Leafs n'a pas accepté de se faire "jumper" alors qu'il ne s'y attendait pas. Il aurait préféré que Xhekaj l'affronte de manière loyale sans lui sauter dessus sans avertissement.

"Je n'aime pas me faire sauter dessus. Je n'ai jamais fait ça à un adversaire. Si tu veux te battre contre moi, tu n'as qu'à me demander. Je suis toujours dans les parages. Tu sais où me trouver"

Ryan Reaves on Arber Xhekaj:

Aie, aie, aie. Les partisans du CH traitent déjà Reaves de mauvais perdant. Mais il a un point. La technique de Xhekaj était déloyale. Si Reaves avait fait ça à Xhekaj, les fans du CH auraient été outrés.

Le fait que Reaves ait attendu aussi longtemps avant d'affronter les médias prouvent que son ego a été touché. Il est orgueilleux comme jamais et voir la séquence du combat tourner sans relâche sur les réseaux sociaux le dérangent au plus haut point.

"Ce n'était même pas un vrai combat. Une vraie bagarre est quand on s'affronte face à face, les yeux dans les yeux, et qu'on fait ça de la bonne manière sans tricher. Il le sait. Si tu lui demandes, il va te le dire qu'il n'a pas été juste (fair). J'ai déjà hâte de l'affronter, mais cette fois, qu'il m'affronte comme un homme" a rajouté Reaves.

Un peu plus et il traitait Xhekaj de poule mouillée. Une rivalité est née. N'en déplaise aux puristes, c'est une autre preuve que le hockey de la LNH a besoin des bagarres pour alimenter le spectacle. Quoiqu'on en dise.

En attendant, Xhekaj a maintenant un BURGER à son nom.

Le Shérif est devenue la vedette numéro un de Montréal et du Québec en entier.

Une plus grande vedette que Cole Caufield? Disons qu'on parle d'un pied d'égalité. Ce sont les deux chandails les plus vendus à la boutique du Canadien de Montréal.

Le Shérif et le Sniper.

Au niveau marketing...c'est du bonbon..

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