- AYOYE...Bergevin et Timmins se font ramasser...

- Des dirigeants qui n'ont pas voulu être nommés...

« Ils disent toujours la même affaire, qu’ils veulent repêcher des Québécois, mais, dans le fond, ils n’en veulent pas. Je pense qu’ils croient que c’est trop difficile pour les joueurs québécois repêchés par Montréal. Ils reculent les Québécois sur leur liste. Quand ils n’en prennent aucun, ils disent qu’ils avaient d’autres joueurs classés avant »

« Mon opinion, de l’extérieur, c’est qu’ils se disent que c’est trop dur à cause de la pression. Ou peut-être qu’ils ne veulent pas de pression comme l’équipe en a vécue auparavant avec des cas comme (Guillaume) Latendresse »

« Si tu as seulement un ou deux Québécois dans l’équipe, c’est ça qui arrive et c’est difficile pour eux. Mais si tu en as huit ou dix, la pression va se partager »

« Je n’ai rien contre ça qu’ils n’en veulent pas, mais qu’ils le disent »​​​​​​​

« Je comprends que ça puisse arriver sur un ou deux repêchages, mais c’est difficile à expliquer sur une longue période. Sur une période de plus de cinq ans, c’est bizarre. Un moment donné, il faut que ça arrive. Tu peux te repositionner, Marc (Bergevin) aime ça faire des moves après tout. C’est là que ça devient embêtant »

« On va se dire les affaires, tsé, les Canadiens n’ont pas de vrais dépisteurs au Québec », a statué ce dirigeant d’une équipe de la LHJMQ.

« Un moment donné, ça fait 0 en 29, c’est impossible que tu ne puisses pas prendre un Québécois à un certain point avant la cinquième ronde dans les sept dernières années »

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