- Angela Price peut se rassurer.

- La fameuse policière du SPVM ne va pas écrire de livre biographique sur le bébé illégitime de son mari.

- Après la sortie d'Élizabeth Rancourt qui affiirmait qu'elle possédait un SCOOP sur Carey qu'elle ne pouvait pas dévoiler.

- Après Réjean Tremblay, Claude Poirier et Paul Arcand qui en ont tous parlé.

- Il est clair qu'on craignait le livre biographique.

- Seul District 31 avait pris le risque de faire une fiction en s'inspirant de cette histoire.

"Dans District 31, la patrouilleuse Noélie St-Hilaire (Catherine St-Laurent) a finalement été payée 500 000 $ par l’équipe de la LNH pour se fermer la trappe et ne pas divulguer publiquement l’identité du géniteur de son futur bébé, soit la star de l’attaque Vincent Bossé." écrit Hugo Dumas de la Presse.

"Noélie encaissera également une pension alimentaire de 1500 $ par mois jusqu’à ce que son enfant atteigne l’âge de 18 ans. Avant de signer le juteux chèque, l’avocat de la formation montréalaise a cependant mis de la pression sur la policière Noélie pour qu’elle se fasse a-v-o-r-t-e-r. 

L’argent qui lui a été versé a été assorti d’une clause de confidentialité : si jamais la jeune femme brise le pacte du silence, adieu le pactole. C’est ce qui explique probablement pourquoi ce scandale a été étouffé autant dans District 31 que dans la vraie vie."

« J’imagine que le Canadien doit beaucoup aimer ce genre d’extrait de série. Joueur de hockey vedette, policière enceinte, pression du club, tout pour leur faire plaisir, quoi » avait alors affirmé Paul Arcand.

"Écoute, moi je ne regarde pas le Match des Étoiles pour les goalers. Si Carey veut prendre du temps avec ses deux enfants LÉGITIMES, moi j'y souhaite. Parce que c'est ce qu'il a fait pendant le temps des fêtes et je suis entièrement d'accord avec ça." avait blagué Vince Cauchon.

- Le clan Price avait pensé poursuivre en justice les producteurs de l'émission, mais y ont renoncé car cela aurait créé encore plus de vagues.

- Carey Price n'a plus à avoir peur.

- Le montant reçu et la clause de confidentialité ne permet pas à la dite policière de sortir un livre biographique.

- Il n'a pas eu la même chance qu'Albert II, prince de Monaco.

Discrète, mystérieuse, mais aussi très déterminée, la princesse Charlène de Monaco avait tout un défi à relever en remplaçant la princesse Grace, tant aimée des Monégasques. Dans une première biographie qui vient de paraître en français, on découvre l’ex-nageuse olympique qui a transformé son destin en épousant le prince Albert II. Un conte de fées semé de tourments. écrit le Journal de Québec.

Le défi était grand de remplacer la regrettée princesse Grace de Monaco si chère au cœur des Monégasques. Le prince Albert II, actuel souverain de la Principauté de Monaco, a mis beaucoup de temps avant de dénicher la perle rare. Avec déjà deux enfants illégitimes et de nombreuses conquêtes amoureuses – on pense entre autres à Brooke Shields et Claudia Shiffer –, le temps pressait pour le fils de l’actrice américaine Grace Kelly et du défunt prince Rainier III de trouver épouse et de donner une princesse à la principauté. 

Ce n’est qu’à l’âge de 53 ans qu’il a choisi d’épouser Charlène Wittstock, ancienne athlète olympique en natation. Un véritable coup de foudre survenu lors d’une première rencontre.

L’heureuse élue est née au Zimbabwe. Sa famille s’installe en Afrique du Sud alors que Charlène a 12 ans. C’est là qu’elle entreprend une carrière de nageuse professionnelle. À 16 ans, elle abandonne ses études pour se consacrer à son sport. En 2000, elle fait partie de l’équipe olympique de natation aux Jeux olympiques de Sydney. Son équipe se classe cinquième.

La même année, elle rencontre le prince Albert pour la première fois lors d’un événement de natation organisé à Monaco. Le prince, qui préside l’événement, lui offre des fleurs alors qu’elle remporte deux épreuves. Elle fera le pas suivant, en lui téléphonant pour lui offrir ses c-o-n-d-o-l-é-a-n-c-e-s lors du d-é-c-è-s de son père le prince Rainier III en 2005.

Leur relation demeure secrète pendant quelque temps. Ils sont vus aux Jeux olympiques de Turin en 2006. Il faut dire que le prince est un adepte de sport, il a notamment participé aux Jeux olympiques d’hiver en bobsleigh à plusieurs reprises. Les fréquentations se poursuivent pendant quelques années. Apparemment,

Charlène est inquiète de la réputation de tombeur du prince, mais la nageuse accepte finalement la demande en mariage. L’ancienne championne de natation sud-africaine est alors âgée de 33 ans et le prince, lui, en a 53. Comme tout mariage princier, la cérémonie, qui a eu lieu en juillet 2011 à Monaco, est féerique et est suivi par des millions de téléspectateurs à travers le monde.

Cependant, à quelques jours du mariage, une rumeur vient tout bousculer. Charlène Wittstock, future princesse, aurait tenté de fuir Monaco pour échapper à son destin, selon le média français L’Express. Elle aurait tenté de prendre l’avion pour rentrer définitivement en Afrique du Sud, en raison de problèmes au sein du couple. Elle aurait été interceptée par la p-o-l-i-c-e de l’aéroport de Nice en France à la demande de proches de la famille princière. Rapidement, tous les médias s’emparent de l’histoire, même le très sérieux Times britannique. On ne parle plus du choix de la robe, des fleurs et des invités, mais plutôt du risque de rupture. Une amie aurait repris les propos de Charlène : « Même quand on est vite, je suis une athlète, ce n’est pas suffisant. On ne rit pas avec ces gens-là. » 

La goutte qui aurait fait déborder le vase aurait été l’existence d’un troisième enfant illégitime.

Déjà, le prince charmeur avait reconnu la paternité d’un enfant issu d’une liaison avec une agente de bord togolaise et d’un autre avec une serveuse américaine. En apprenant l’existence d’un possible troisième enfant illégitime découlant d’une liaison avec une Brésilienne, la confiance de Charlène envers son prince était du coup ébranlé. 

L’avocat du prince Albert a évidemment tout nié et L’Express a été menacé de poursuite, mais les menaces n’ont mené nulle part. La rédaction de L’Express a décidé de maintenir ses propos, s’appuyant sur trois sources différentes toutes fiables.

Charlène a du mal à s’adapter à sa nouvelle vie et les motifs sont nombreux. Il y a notamment le manque d’intimité en raison des nombreux domestiques, ses difficultés à apprendre la langue française qu’on lui impose, les nombreux protocoles à respecter, la pression de tomber enceinte afin de donner un héritier à la monarchie Grimaldi dont l’existence repose sur ses descendants pour éviter d’être cédé à la France. S’ajoutent les difficultés à vivre loin de sa famille et de ses amis. De plus, à l’instar des princesses Diana et Meghan, Charlène se plaint d’être continuellement dans la mire des paparazzis.

Elle a souffert de dépression à répétition. Lorsqu’elle est tombée malade en 2021, souffrant d’une grave infection de la sphère ORL, elle a préféré partir et se faire soigner en Afrique du Sud près des siens. Les rumeurs de divorce ont repris. Épuisée physiquement et moralement, elle ira dans une maison de repos en Suisse pour reprendre des forces.

Aujourd’hui, à 45 ans, elle se dit toujours amoureuse de son prince, même s’ils se voient peu en raison des nombreux voyages d’Albert, mais elle avoue avoir encore du mal à s’adapter à sa vie de princesse. Elle est surtout heureuse lorsqu’elle consacre du temps à sa fondation dont l’objectif est de lutter contre les n-o-y-a-d-e-s et bien entendu à ses jumeaux Jacques et Gabriella, nés en 2014. 

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