Brendan Gallagher a donné une leçon de vie à Nick Suzuki hier soir;

Alors que Suzuki, de manière nonchalante et paresseuse, a créé le revirement menant au but  dans un filet désert de Tyler Toffoli, Gallagher a laissé son coeur et ses tripes sur la glace en tentant de rattraper l'attaquant des Devils. 

Même si le match était terminé...Gallagher a montré du courage et de la persévérance. Alors que Suzuki nous a montré la définition même de la lâcheté.

Observez-bien sa réaction après son revirement. Regardez-bien comme il se traîne les patins. Au point de se demander si on a nommé le mauvais capitaine.

Si Gallagher n'était pas aussi "fini", il aurait été le choix logique. On peut dire ce qu'on veut de Gally, mais il est un leader dans l'âme. La seule raison qui explique pourquoi on ne lui a pas donné le est qu'il est certain qu'il sera racheté à l'été 2024 ou 2025. On voulait éviter cette situation malaisante et avec raison.

Disons que le choix de Suzuki est plus un choix par défaut qu'autre chose. Exactement comme ce fut le cas avec Max Pacioretty alors que le vestiaire ne voulait pas voter pour PK Subban.

Cette fois, c'est la direction et Martin St-Louis qui ont choisi...et ils ont mal choisi...

Cette séquence nous démontre deux choses: la persévérance de Gallagher, mais surtout le je-m'en-foutisme de Suzuki. Indigne d'un capitaine. 

Que Suzuki ait moins de chimie que la saison dernière avec Cole Caufield, d'accord. Ça peut arriver et les deux vont bien finir par reconnecter.

Mais que Suzuki, qui a le "C" tatoué sur son chandail, montre le mauvais exemple à la chambre en étant "suffisant" sur la glace et en ne montrant aucun effort à la tâche, est inacceptable. 

Merci à Gallagher de lui avoir donné une leçon. Il le méritait amplement..

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