- OUCH...
- Brendan Gallagher subit une HUMILIATION PUBLIQUE...
- Gracieuseté de Yvon Pedneault...
- Qui parle de lui comme d'un joueur FINI à la CORDE..
- Qui mérite de se faire RACHETER..
- Nous sommes avec Yvon...à 100 pour cent...
Prenons l’exemple de Brendan Gallagher – encore une fois sur la touche –, un patineur ne pouvant plus miser sur les ressources lui fournissant cette énergie qui l’a toujours caractérisé. Une question Une question nous vient tout de suite en tête. Où jouerait-il s’il effectuait un retour au jeu dans les prochains jours?
Certes, les équipes trouvent toujours un moyen d’accommoder des vétérans reprenant le collier après une longue absence. Par contre, va-t-on ralentir la progression d’un jeune joueur prometteur pour relancer un vétéran? Ça se produit fréquemment, mais il faut des résultats et il faut surtout que le vétéran puisse avoir le même impact au sein de la formation.
Entre-temps, l’entraîneur doit s’assurer que le jeune joueur poursuive son développement dans des conditions idéales. Le plus grand défi de Gorton et Hughes concernera l’avenir d’un patineur apprécié des amateurs. Devra-t-on racheter le contrat signé par Gallagher? Il s’agit d’une situation complexe. L’entente de l’ailier lui permettra de toucher 8 000 000 $ l’an prochain et 9 000 000 $ pour la saison 2024-2025.
Quant au plafond salarial, le Canadien doit y inscrire la somme de 6 500 000 $ par saison pour les quatre prochaines années. Si on regardait la possibilité d’un rachat de contrat, on devrait alors lui verser la somme de 2 291 667 $ par saison pour les huit prochaines années, selon le site CapFriendly. Entre-temps, il y a toujours l’option de placer le nom de Gallagher sur la liste des joueurs absents pour une très longue période, une décision permettant au Canadien d’ignorer la somme de 6 500 000 $.