Une vidéo de de Mélanie Joly circule... et choque...
C'est une image qui restera dans l'histoire politique canadienne : dans une Chambre des communes où les caméras ont tout capté.
Mélanie Joly tente de s'approcher de Mark Carney, le nouveau premier ministre, avec ce sourire figé qu'on ne voit que chez ceux qui savent que leur chute est déjà commencée.
Elle tente visiblement de s’approcher, comme pour prendre part à la discussion. Lui, sans même tourner la tête, lui a signifié froidement : « Ne me parle pas. »
Un geste glacial, chargé de mépris. Mélanie Joly s’est figée. Une vidéo qui donne froid dans le dos:
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Puis, comme une élève rappelée à l’ordre, elle est retournée à son siège, visiblement secouée. La gifle n’était pas physique. Elle était symbolique. Politique. Dévastatrice.
Ce moment-là, capté et partagé sur les réseaux sociaux dans des centaines de mèmes et d’extraits vidéo, marque un point de non-retour dans l’humiliation publique de Mélanie Joly.
Mark Carney ne l’a pas simplement ignorée : il l’a effacée. Aux yeux de tous, il a validé ce que plusieurs à Ottawa murmurent depuis des mois : elle n’a plus sa place.
Le genre de geste qui ne laisse aucune place à l’interprétation. Mark Carney a tout simplement balayé Mélanie Joly d’un revers de main comme on chasse une mouche dérangeante. Devant tout le monde. Devant les caméras. Devant ses collègues. Devant le pays entier.
"Laisse-moi travailler. Je suis occupé."
Ce n'est pas juste un revers politique. C'est une gifle publique. Un enterrement en direct. Mélanie Joly, l'ex-ministre des Affaires étrangères, reléguée au ministère de l'Industrie et du Développement économique régional pour le Québec, vient de vivre, sous les yeux du pays, l'humiliation ultime.
Et pourtant, elle avait tout tenté pour maquiller sa chute.
"J'ai demandé ce ministère", a-t-elle affirmé, comme si elle avait orchestré sa propre mise à l'écart. Mais personne n'y croit.
Pas après les 3 millions de dollars dépensés en alcool par son ministère. Pas après les rumeurs d'une relation trop proche avec Justin Trudeau, que Mark Carney veut effacer de la carte politique canadienne.
Rappelons que les rumeurs d’une idylle entre Mélanie Joly et Justin Trudeau avaient fait exploser la toile. Depuis la séparation officielle entre le premier ministre et Sophie Grégoire, les spéculations allaient bon train. Et le nom de Joly revenait sans cesse dans les murmures d’Ottawa.
La proximité, les voyages à deux, les regards échangés : les observateurs en ont fait leur feuilleton. Devant l’embarras grandissant, la ministre a tenté de calmer le jeu, publiant sur Instagram des photos idylliques avec son conjoint Félix Marzell en vacances aux Îles de la Madeleine, sourire en coin et jogging avec Julie Snyder à l’horaire.
Mais le mal était fait. Dans les couloirs du pouvoir, une femme dans l’ombre du roi n’est jamais une alliée, elle devient une cible. Et peu importe les démentis, le soupçon colle à la peau. Mark Carney voit Julien Trudeau en Mélanie Joly, et il veut la tasser pour qu'on l'oublie.
Et comment lui donner tort, quand on revisite l’ampleur du scandale qui la suit comme une ombre? Mélanie Joly, en tant qu’ancienne ministre des Affaires étrangères, a laissé derrière elle une facture hallucinante de 3 millions de dollars en alcool.
Oui, 3 millions, confirmés par des documents obtenus via des demandes d’accès à l’information. Des achats de champagne Dom Pérignon, de whisky Macallan à 900 $ la bouteille, de vins importés à 450 $ le litre, de l’alcool premium pour les réceptions diplomatiques.
La moyenne? 51 000 $ par mois d’alcool payés avec l’argent des contribuables. Pendant que les Canadiens coupent dans leurs paniers d’épicerie, qu’ils s’endettent pour survivre, qu’ils pleurent leur hypothèque, le ministère de Mélanie Joly sabrait joyeusement le champagne à même nos poches.
Et ce n’est pas une question de diplomatie ou de protocole. C’est une question de décence. D’image. De jugement. Pendant cinq ans, ce sont plus de 3 000 bouteilles qui ont été achetées dans le cadre d’événements officiels, plusieurs sans traçabilité claire, sans justification détaillée, sans limite apparente. Des réceptions parfois annulées, mais dont le vin avait déjà été commandé. Des soirées à 30 000 $ le toast.
Ce qui aurait pu être réglé par une politique de modération s’est transformé en symbole d’excès, d’arrogance, de déconnexion. Une ministre plus préoccupée par les bulles que par les budgets. Et ce sont les Canadiens qui ont trinqué.
Ce moment de rejet, immortalisé en vidéo, a déclenché une avalanche de réactions en ligne. Des centaines de messages. Des milliers de commentaires. Une colère froide mêlée de sarcasme, d’indignation, de soulagement même.
"Boozehound Barbie vient de se faire remettre à sa place" peut-on lire sur X.
"Elle jouait avec un jouet pendant le débat. Et elle se demande pourquoi personne ne la prend au sérieux?" ajoute un autre.
"Carney a fait le geste de Charles III lors de son couronnement. Le mépris royal appliqué à Joly."
Un classique instantané.
Et au cœur de cette tempête numérique, une vérité émerge : Mélanie Joly est devenue un symbole. Celui de l’arrogance déconnectée. De la politique champagne. Du pouvoir pour le pouvoir.
La chute était annoncée. Mais personne ne pensait qu’elle serait aussi brutale.
Son retour au ministère de l’Industrie est un camouflage maladroit. Un aveu d’échec. Un message clair :
« On veut bien que tu restes, mais loin des projecteurs. »
Pendant ce temps, l’opinion publique, elle, ne pardonne pas. Car pendant que Mélanie Joly sabrait le champagne à 800 $ la bouteille, des Canadiens perdaient leur maison. Pendant qu’elle collectionnait les voyages diplomatiques, des enfants sautaient des repas.
Mark Carney l’a compris. Et dans ce geste de la main, il y avait tout : le rejet d’un style, d’une ère, d’une façon de gouverner.
C’est la fin d’un long party. Et pour Mélanie Joly, le réveil est brutal.
Désormais assignée à gérer les PME de l’Abitibi ou les crédits d’impôt pour les usines de Beauce, elle qui rêvait d’ONU et de tapis rouge devra apprendre la modestie. Trop tard? Peut-être.
Mais une chose est sûre : ce moment où elle tend la main, et où Carney la rejette, restera comme un symbole. Celui d’une époque révolue. Et d’un système qui commence enfin à se regarder dans le miroir.
Car les Canadiens, eux, n’oublieront pas.
Parce que ce n’était pas qu’un simple revers de main. C’était le point final d’un récit d’arrogance, d’abus et de mépris.
Un rappel brutal qu’en politique, tout finit par se payer — même les bouteilles les plus chères.
Et pendant que Mélanie Joly retourne à son petit ministère économique, vidée de son influence, de son prestige, de son aura diplomatique… le peuple, lui, regarde. Le peuple juge. Le peuple attend.
Pas de conférence de presse. Pas d’excuse. Pas même un mot. Juste ce geste. Ce moment. Ce désaveu.
Un pays au bord du ras-le-bol. Un électorat qui n’en peut plus. Et une gifle qui résonne bien au-delà des murs de la Chambre des communes.
Parce qu’ici, au Québec comme ailleurs, on pardonne beaucoup de choses — sauf de se faire voler notre respect.