- Carey Price va devenir coach chez le Canadien de Montréal...

«Je vous raconte une scène. Lundi, quand j’ai fait mon entrée au tournoi de golf pour le déjeuner, je regardais autour et je voyais les joueurs actuels de l’équipe à une table et les anciens à une autre table." affirme Price.

"Je connaissais autant de joueurs sur les deux tables. J’ai finalement choisi de m’asseoir avec les entraîneurs. Je trouvais que c’était la place idéale pour moi!»

«Oui, je garde cette porte ouverte. Je n’aurai pas un rôle à temps plein prochainement, puisque j’ai de jeunes enfants à la maison. Je désire rester présent."

"Mais un jour, les enfants auront un âge où ils ne voudront pas passer autant de temps avec leur père! Mais oui dans le futur, je me vois occuper un rôle.»

- Carey affirme aussi qu'il est prêt à se faire transiger.

« Je sais que je pourrais être échangé. Cette décision ne m’appartient pas. Au hockey, tu dois gérer le plafond salarial et des salaires."Les dirigeants ont des décisions à prendre."

"Mais je resterai un Canadien de Montréal pour le reste de ma vie. J’en suis très fier. J’aiderai l’équipe, peu importe la décision. S’ils doivent bouger de l’argent pour améliorer l’équipe, je l’accepterai.»

"Mes genoux me font encore souffrir. Je sais que je bloquerai plus une rondelle dans la LNH. Et je suis en paix avec cette réalité"

«J’ai encore un contrat et je dois toujours caresser l’idée que je pourrais encore jouer. Mais les probabilités chutent de mois en mois.»

«Honnêtement, je me sens assez bien sur une base quotidienne. Je sens que je pourrais encore me préparer pour un camp de la LNH. Mais quand je fais des trucs sur une base plus constante, je comprends rapidement que mon genou n’est pas guéri."

"Mon genou ne peut endurer le fardeau d’une longue saison de hockey. Il y a encore énormément d’enflure dans mon genou. La réponse honnête est de dire que ça n’arrivera pas. Je ne peux pas endurer le stress de la position d’un gardien, je n’ai pas la force dans mon genou.»

«Au jour le jour, je me sens bien. Je me promène, je récupère mes enfants à l’école, je peux partir pour de l’escalade ou jouer au golf. Je me trouve choyé.»

«Mais j’ai participé à un tournoi caritatif de balle-molle au cours de l’été. Ce n’est pas le sport le plus exigeant. J’ai joué une journée complète. Je peux le faire de temps en temps. Je reste un joueur de hockey et j’endure la douleur. Juste en jouant à la balle-molle et en courant sur les buts, mes genoux ont recommencé à enfler pour les deux semaines suivantes.»

«Il y a des moments où je me dis que je pourrais me préparer pour le camp et que je gagnerais un postei. Mais j’ai un rappel quand je joue à un tournoi de balle-molle. Je ne pourrais pas endurer le marathon d’une saison.»

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