Cauchemar pour Elizabeth Rancourt: Frédérique Guay choque TVA Sports

Cauchemar pour Elizabeth Rancourt: Frédérique Guay choque TVA Sports

Par David Garel le 2025-06-26

C’est la fin. Brutale. Humiliante. Sans cérémonie.

Marc-Édouard Vlasic, l’un des visages les plus respectés des Sharks de San Jose depuis près de deux décennies, vient d’être officiellement racheté.

Une carrière qui aura duré 1323 matchs en saison régulière, 142 autres en séries, une médaille d’or aux Jeux olympiques de Sotchi, et pourtant… elle se termine dans l’ombre, sur un simple communiqué sec d’une franchise en reconstruction. Aucun hommage. Aucun salut. Juste un message froid et sans pitié : Vlasic est devenu inutile.

Mais tandis que l’un s’éteint, l’autre se lève. Frédérique Guay, sa conjointe, revient avec fracas dans le paysage médiatique québécois.

Et son retour sonne comme une cloche de détresse pour Elizabeth Rancourt, la tête d’affiche à TVA Sports.  La collision entre ces trois destins est inévitable, et le Québec entier regarde, fasciné.

Cela faisait des mois que la rumeur courait, mais la confirmation est tombée : les Sharks ont décidé de racheter la dernière année du contrat de 7 millions de dollars de Vlasic.

C’est un désaveu total. Vlasic n’était plus qu’un vestige d’un passé glorieux, un vétéran lent, dépassé, frustré, qui ne voyait pas que la page était déjà tournée depuis longtemps.

L’arrivée de Vincent Desharnais, spécialiste défensif robuste et affamé, avait déjà préparé le terrain. Le message était cinglant : le rôle de Vlasic, celui qu’il maîtrisait autrefois, a été confié à un plus jeune, plus efficace, et moins cher.

Ryan Warsofsky, le nouvel entraîneur-chef, n’a pas hésité à l’écarter, comme David Quinn l’avait fait avant lui. Deux coachs. Deux mises à l'écart humiliantes. Même discours. Même déception.

Et au lieu de partir dignement, Vlasic a accumulé les commentaires amers :

« Quand j’ai joué les games que j’ai jouées, j’ai bien joué… Mais faudrait demander au coach. »

Encore une fois, il refusait de regarder dans le miroir. Ce n’était plus le système. Ce n’était plus le contexte. C’était lui.

Le rachat est la dernière claque. Il n’aura plus de contrat dans la LNH. Aucune équipe ne misera sur un défenseur de 38 ans, ralenti, avec une attitude baveuse et arrogante, qui s’est aliéné ses entraîneurs. Le rideau tombe, et il tombe lourdement.

Mais pendant que lui tombe, elle s’élève.

Frédérique Guay, qui avait quitté les caméras pour suivre son amoureux en Californie, revient au Québec au sommet de sa popularité. 

Elle n’a rien perdu de son aplomb. Rien perdu de son charisme. Son sourire, son professionnalisme, son ton juste et précis charment toujours le Québec.

À l’écran, elle va redevenir instantanément la journaliste sportive favorite du Québec. Et les réactions ne se sont pas fait attendre : le public s’est mis à la réclamer comme animatrice de La Soirée du Hockey.

Un véritable choc à TVA Sports.

Pendant ce temps, Elizabeth Rancourt tremble. Celle qui a été promue dans l’espoir de rajeunir et féminiser l’antenne n’a jamais su s’imposer. Elle n'a jamais du remplacer Louis Jean.

Mais le plus grave, ce sont ses propos incendiaires.

Ses commentaires envers PK Subban, qu’elle a accusé de "puer" ont enflammé les réseaux sociaux.

Puis sont venues ses flèches envers Marc Denis, qualifié de “trop poli, trop lisse, trop beige pour exciter le public québécois.

« Je comprends qu’il veut bien parler, et c’est important de bien parler. Mais des fois, modère ton vocabulaire pour qu’on te comprenne comme il faut.

T’es pas obligé d’être parfait. On veut sentir que t’es un ancien joueur. »  

Enfin, l’ultime affront : des confidences fuitées sur Carey Price où elle a affirmé que Carey Price n’aimait pas vraiment le hockey et qu’il “jouait pour le chèque”.

« Carey Price n’aimait pas le hockey. Il jouait uniquement pour l’argent… Je pète tellement la balloune des gens quand ils me disent qu’ils trippent sur Price. C’est aussi simple que ça. Il veut juste partir dans l’Ouest, pêcher et chasser. That’s it. »

Trois légendes. Trois héros du Québec. Et une seule journaliste assez imprudente pour s’y attaquer. Résultat? Une chute libre. Les fans ont tourné le dos. Le Québec lui a fait comprendre qu'elle avait perdu sa cote d'amour... au profit de la parfaite Frédérique Guay.

Deux femmes. Deux styles. Deux destins.

L’une, Frédérique Guay, chaleureuse, compétente, respectée de tous les milieux. L’autre, Élizabeth Rancourt, distante, froide, souvent perçue comme arrogante.

L’une revient au pays avec un vent de sympathie populaire. L’autre s’accroche à un fauteuil devenu instable. Et tout cela dans une station, TVA Sports, qui vit sa dernière année avec les droits de la LNH, alors que Pierre-Karl Péladeau affirme que la chaîne pourrait disparaître à l'été 2026.

Car c’est aussi ça le contexte brûlant : TVA Sports perdra les droits du Canadien en 2026. Et les patrons cherchent désespérément à sauver les meubles, regagner la faveur du public, et arriver à sauver la station en obtenant quelques matchs du CH comme sous-licence de Rogers.

Qui de mieux que Frédérique Guay pour sauver la station pour redonner un minimum de crédibilité au Titanic qui coule?

Et le public, lui, ne ment pas. Il veut Frédérique Guay à la Soirée du Hockey. Pas demain. Pas dans un an. Maintenant.

Une opportunité médiatique… et personnelle...

Le retour de Frédérique Guay au Québec n’est pas qu’une question de carrière. C’est aussi une question de reconstruction personnelle.

Après une année sabbatique à San Jose, marquée par des accusations d'adultère de l’ex-femme de Vlasic, un divorce houleux de son amoureux, et même l’utilisation frauduleuse de son image dans des publicités amaigrissantes, Frédérique Guay a tenu bon.

Il faut dire que le divorce entre Marc-Édouard Vlasic et Martine Auclair a été un véritable choc dans la vie du vétéran défenseur.

Ce qui aurait pu rester une séparation discrète et mature s’est transformé en une saga publique aux airs de vengeance amère.

Accusations de manipulation, insinuations d’infidélité, affrontements juridiques à répétition, tout y est passé. Martine Auclair n’a jamais hésité à exposer son ex-mari sur les réseaux sociaux, publiant des messages cryptiques, des flèches empoisonnées et des allusions douloureuses à leur passé commun.

Vlasic, lui, s’est refermé, rongé par la pression médiatique, la fatigue émotionnelle et la dégringolade simultanée de sa carrière.

Frédérique Guay, prise dans cette tempête, a dû jouer le rôle de pilier, de bouclier, de refuge. Ce divorce n’a pas seulement affecté un homme : il a ébranlé tout l’univers du couple.

Justement, elle a protégé son couple. Soutenu son homme. Défendu son nom. Elle a même dû publier des avertissements sur ses réseaux sociaux pour dénoncer les fausses pubs qui utilisaient son visage sans autorisation. Une guerre médiatique souterraine qui l’a épuisée, mais qu’elle a menée la tête haute.

Et maintenant? Vlasic revient au Québec, humilié. Sans contrat. Avec sa réputation amochée. Pendant que Frédérique Guay revient au sommet.

Un renversement total des rôles.

Il y a un an, c’était elle qui vivait dans l’ombre.

Aujourd’hui, c’est lui.

Il y a un an, c’était elle qui avait mis sa carrière de côté.

Aujourd’hui, c’est elle qui a la pleine lumière.

Marc-Édouard Vlasic devient “le mari de Frédérique Guay”. Et non plus le contraire.

Et pour un homme habitué à être une vedette, à être interviewé, adulé, célébré… ce virage est brutal.

TVA Sports n’a plus le choix.

Frédérique Guay doit devenir la nouvelle tête d’affiche de la Soirée du Hockey. Elle en a le talent. Elle a l’amour du public. Et elle a cette chose qu’on ne peut pas acheter : la crédibilité.

TVA Sports peut bien invoquer tous les comités internes, les grilles horaires, les contrats en cours… le Québec a déjà tranché.

Elizabeth Rancourt n’a pas su gagner le cœur du public. Frédérique Guay, elle, ne l’a jamais perdu.

La Soirée du Hockey n’a pas besoin d'une animatrice froide, de formules pré-mâchées ou de communication aseptisée. Elle a besoin d’authenticité, de passion, de compétence.

Et elle a besoin de Frédérique Guay.

La LNH, c’est fini pour Vlasic. Il pourra toujours faire de la radio, des chroniques, ou s’installer confortablement dans le rôle de mari d’une star montante.

Mais la LNH n’est pas finie pour Frédérique Guay.

Elle doit reprendre le contrôle de la plus prestigieuse vitrine du hockey francophone.

Quant à Élizabeth Rancourt… son heure a peut-être sonné.

À TVA Sports de prendre la décision la plus importante de son histoire.