Cauchemar pour Marie-Claude Savard : sa relation intime est dévoilée

Cauchemar pour Marie-Claude Savard : sa relation intime est dévoilée

Par David Garel le 2025-05-28

C’est une entrevue qui fait trembler les fondations des médias traditionnels. Pour la première fois, Gilles Proulx, monument de la radio québécoise, a brisé le silence sur les ondes de Hockey30.

Pendant plus d’une heure, il a répondu, sans filtre et sans retenue, aux accusations gravissimes lancées par Marie-Claude Savard dans la série documentaire Être un Hilton.

Une entrevue incendiaire où il révèle les dessous d’une trahison médiatique et d’une relation intime qui, selon lui, a tout fait dérailler. Cet extrait vidéo montre Proulx qui réplique du tac-au-tac à la journaliste:

Accusé publiquement d’avoir volé 90 000 $ à l’ex-boxeur Alex Hilton, Gilles Proulx dénonce ce qu’il appelle une "tarte à la crème en pleine face". Il l’a dit sans broncher :

"J’ai été son gérant pendant dix ans. Je n’ai jamais pris un sou. Je l’ai traité comme un frère. C’est un geste de bon samaritain qu’on est en train de transformer en crime."

Proulx révèle que l’argent, amassé à la fin de la carrière de Hilton, avait été confié à un homme d’affaires, Léon Gélinas, pour être placé dans une banque "offshore" par un certain Victor Lacroix. Ce dernier était à l’épicentre d’un vaste scandale financier. Selon Proulx, le scandale vient d’une mauvaise décision d’investissement, pas d’un vol.

"Je voulais que la Caisse populaire limite ses retraits à 300 $ par semaine. Mais Gélinas a dit : on va chercher du 12 % dans une banque des Bahamas. J’étais naïf, oui. Mais voleur ? Non."

Puis, la bombe : Gilles Proulx accuse Marie-Claude Savard d’avoir eu une relation intime avec Alex Hilton, mettant en cause son objectivité comme documentariste. Un extrait vidéo qui donne froid dans le dos:

"Elle était rendue dans le salon, la cuisine, et... la chambre. On appelle ça un conflit d’intérêt majeur."

« Elle me parlait de lui comme s’il était une idole : ‘Il est beau, il est fin, il est doux, je ne le pensais pas comme ça.’ »

Proulx laisse entendre que les sentiments étaient réciproques.

« Elle faisait le ménage chez la famille Hilton pendant les Fêtes, elle était partout, même dans la chambre. Et pourtant, elle est journaliste ? » s’exclame-t-il.

Il dénonce ce qu’il appelle un manque d’éthique flagrant :

« Quand tu dors chez ton sujet, tu n’es plus une journaliste. Tu es une actrice dans ton propre scénario. Elle voulait un documentaire ? Elle a produit une téléréalité minable. »

Et le résultat, selon lui, est clair : « Ils ont lavé mon nom à l’acide, pour faire briller le sien. »

Ce qui aurait dû être un portrait de la rédemption d’un ex-boxeur est devenu, selon Proulx, une chasse aux sorcières. Un montage orienté pour attirer les téléspectateurs avec un punch : Gilles Proulx, la grande gueule, devenu le parfait bouc émissaire.

Dans une série de flèches bien aiguisées, Proulx ne se gêne pas pour décrire Savard comme une carriériste à la recherche perpétuelle de l’attention.

"Elle veut tout faire : documentaires, recettes, horoscopes, maquillage, chirurgie esthétique, sport. Mais qu’est-ce qu’elle connaît vraiment ?"

Il rappelle que Savard a traité Michel Villeneuve, Réjean Tremblay et lui-même de misogynes, créant une posture de victime pour étouffer les critiques.

"Elle se victimise constamment. Mais c’est elle qui a lancé la première pierre, et c’était un rocher."

Une manipulation orchestrée ?

Proulx se dit convaincu que le documentaire a été déformé pour créer du sensationnalisme. Le fameux punch final : accuser Gilles Proulx de vol.

"Alex a été manipulé. Il a toujours été fragile. Quand elle est arrivée avec son sourire et ses compliments, il est tombé dans le panneau. Peut-être aussi dans son lit."

Et le pire, selon lui, c’est que les médias traditionnels ont embarqué sans vérification, sans contrepoids.

"Radio-Canada m’a cloué au pilori en pleine émission, sans me laisser répondre. Pas un mot de droit de réplique. Rien."

La presse, dernier rempart de vérité ?

Heureusement, selon Proulx, certains journalistes de La Presse, comme Tristan Péloquin et Daniel Renaud, ont pris le temps de faire une vraie enquête. Leur conclusion : Gilles Proulx n’a rien à voir dans la disparition de l’argent.

"Ils ont appelé à une douzaine d’endroits. Ils ont gratté. Et ils ont conclu que ce n’était pas moi. Mais le mal était fait."

Cette entrevue réalisée par Hockey30 ne laisse personne indemne. Elle dévoile l’envers d’un scandale médiatique où les faits ont été tordus, les relations camouflées et la vérité étouffée sous des kilos de mise en scène.

Marie-Claude Savard voulait un punch ? Gilles Proulx vient de le lui renvoyer en plein visage.

"Je suis une grande gueule, oui. Mais je ne suis pas un voleur. Elle, par contre, elle a perdu toute crédibilité. Quand tu couches avec ton sujet, tu ne peux plus te dire journaliste. Point."

Mais ce que Gilles Proulx raconte dans l’entrevue va bien au-delà d’une banale histoire de placements financiers. C’est une trahison humaine, crue, déchirante.

« Alex, c’était mon petit frère », confie-t-il avec émotion. « Il ne me connaissait même pas, et moi, je parlais de lui à la radio tous les jours. Je répétais : Alex, faut que tu reviennes. C’est comme ça qu’il a fini par m’appeler. Il allait chez Normand Patate, puis des gens lui disaient : Gilles Proulx parle de toi. »

Il ne le connaissait que de nom, mais il a fini par le prendre sous son aile.

« Je l’ai ramené dans le droit chemin. Je l’ai fait remonter sur le ring. J’ai négocié ses contrats sans prendre un sou. J’ai même payé des coupe-vents à son nom, à celui de son père et de ses frères. »

Et pourtant, malgré tout ça, Hilton a fini par lui dire une phrase qui résonne encore :

« Gilles, je t'appelle pour dire que c'est fini. » Puis plus rien. Il ne rappelle pas. Il coupe les ponts. Silence radio.

« J’ai essayé de le rappeler. J’étais inquiet. Je me suis demandé s’il était arrivé quelque chose. Il ne m’a jamais répondu. » Et quand Proulx découvre le documentaire, le choc est total.

« On le voit menotté. On le voit dans son pire état. Rien de ce qu’on avait convenu. Rien sur l’Alex nouveau. Rien sur le gars sobre, engagé, humain. Juste le trash. »

Le plus tragique dans toute cette histoire, c’est qu’au moment où Alex Hilton avait enfin trouvé la paix, quelqu’un a utilisé cette vulnérabilité pour la transformer en divertissement.

Proulx ne mâche pas ses mots : « Elle a profité d’un gars fragile. Il a eu des dépendances, il a dormi sur des bancs publics. Et au lieu de l’élever, elle l’a utilisé comme tremplin pour faire parler d’elle. »

Il mentionne également Denis Sicotte, l’ange gardien d’Alex Hilton, complètement effacé du montage final.

« Denis l’a sauvé de l’alcool, jour après jour. Il a envoyé plein de messages à la production pour dire la vérité. Ils l’ont zappé. 30 secondes inutiles dans tout le documentaire. »

Pour Proulx, c’est la preuve qu’on ne voulait pas raconter une histoire de rédemption. On voulait une histoire de trahison. Et tant pis si elle était fausse.

Marie-Claude Savard voulait frapper fort. Elle a oublié une chose : Gilles Proulx a passé 63 ans à encaisser les coups, et il frappe encore plus dur.

« Elle m’a mis dans un ring sans gants. Mais j’en ai vu d’autres. Elle a voulu faire un punch ? Elle vient de se faire knocker. »

Elle avait son documentaire, il avait ses mots. Et à la fin, c’est encore Proulx qui reste debout.