- C'est la JOURNÉE..."JE LICHE MARC BERGEVIN"...

«Il a encore un côté espiègle comme lorsqu’il jouait, affirme Scott Mellanby, le bras droit de Bergevin. Pendant la partie, il est très intense et passionné, mais pendant les entractes, il aime se cacher dans une garde-robe et surprendre les invités. Plusieurs personnes sont tombées dans le piège. Le sourire de Bergevin trahit sa satisfaction!»    

«Marc est un homme de caractère, il est très intelligent et captivant, affirme président des Golden Knights de Vegas, George McPhee. Il attire les gens vers lui. C’est une personne spéciale que j’admire et j’admire aussi le travail qu’il fait. Il est l’homme que tu veux pour diriger cette équipe.»   

«Je respecte comment il bâtit son équipe et la façon dont il se comporte" affirme Jim Rutherford, directeur général des Penguins de Pittsburgh. C’est un travailleur infatigable qui n’a pas peur d’apporter les changements nécessaires.»   

«Selon moi, il a probablement le travail le plus difficile tous sports confondus, affirme Mellanby, directeur général adjoint du CH. Toronto, c’est exigeant, mais il y a les Raptors et les autres sports. Certains autres marchés sont prenants, c’est vrai, mais il y a d’autres intérêts ou distractions alors qu’à Montréal, le hockey demeure LE centre d’attraction 12 mois par année. »   

«Marc a un plan et il entend l’exécuter sans succomber aux pressions externes de l’opinion publique ou des médias. Il préférerait perdre son emploi en ayant eu la conviction de ses choix que manœuvrer pour sauver son boulot.»   

«Maintenant que je suis impliqué dans la gestion d’une équipe, je réalise à quel point c’est extrêmement difficile de gagner un championnat, affirme Al MacInnis, conseiller spécial au directeur général des Blues. On ne le réalise pas en tant que joueur, le travail au quotidien et tout ce que ça implique pour faire en sorte que l’équipe se démarque. Je respecte le fait que Marc ait gravit les échelons et travaillé fort pour obtenir cette opportunité. Il faut plus que du talent pour bâtir une bonne équipe, cela prend un peu de chance et beaucoup de patience pour gagner.»   

«Il n’y a aucun doute qu’il a été l’un des meilleurs coéquipiers que j’ai eu. Il savait détendre l’atmosphère, mais il était un professionnel et avait une éthique de travail irréprochable. Marc n’était pas une "star", mais il n’avait pas peur de se lever dans le vestiaire et de dire les vraies choses. Il sait ce qu’il faut pour bâtir une équipe compétitive.»   

«Je connais Marc depuis longtemps, mais je ne me doutais pas qu’il était aussi réceptif aux autres, affirme Mellanby. Il est vraiment bon pour écouter. Ce n’est pas l’une de mes forces. Je suis passionné et émotif, mais j’ai appris, en observant Marc, l’importance d’écouter les autres. Il m’a embauché parce qu’il savait que je lui donnerais toujours l’heure juste. J’ai mes opinions et je n’hésite pas à les partager. Mais en fin de compte, c’est lui qui est dans la grosse chaise, c’est lui qui doit prendre la décision finale et il a la confiance pour le faire.»   

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