- Cole Caufield donne beaucoup de crédit à son frère Brock...

« Toute ma vie a tourné autour du hockey, a raconté le choix de premier tour du Canadien. Je suis tombé en amour avec ce sport à un très jeune âge. J’adorais tout ce qui touchait au hockey. J’aimais le regarder à la télé et jouer au mini-hockey dans le sous-sol. Mais, par-dessus tout, j’ai toujours aimé passer du temps à l’aréna. »

« Il a été un gros facteur. Chaque jour, il m’amenait à me défoncer sur la patinoire. Il m’a beaucoup aidé. Chaque jour de notre enfance, il m’a forcé à me dépasser. »

« Brock est quelqu’un qui n’abandonne jamais et qui travaille constamment. Au niveau de l’éthique de travail, j’ai beaucoup appris de lui. Il voulait être constamment sur la glace et rester jusqu’à la dernière minute ».

- Quand on a rapporté les propos au grand FRANGIN, il se sentait MAL à L'AISE..

« C’est bien gentil de sa part, mais je sais que si les rôles étaient inversés, je dirais la même chose. Lui aussi m’a toujours forcé à me dépasser. On est chacun une grosse partie de l’autre ».

« On ne veut pas perdre l’un contre l’autre. Même lors des entraînements, on veut toujours avoir le dessus. On veut chacun être le meilleur sur la glace. Ça ne changera jamais » affirme Brock, un attaquant BON dans les deux sens de la patinoire.

« Je ne suis pas jaloux. Au contraire, je suis heureux de voir son travail récompensé. En fait, je trouve surtout ça étrange. Parce que pour moi, il sera toujours mon petit frère. »

« Je rêve aussi au hockey professionnel. Je suis allé au camp de développement à Los Angeles, l’été dernier. C’était ma première expérience dans la LNH. J’espère en avoir d’autres comme celle-là. »

« On vient d’être séparés pendant trois ans. J’ai trouvé ça long. Je suis heureux qu’on soit de retour ensemble. On se parlait souvent, mais il m’a manqué beaucoup. Beaucoup plus comme frère que comme coéquipier. »

- Pas JALOUX pour une cenne..

- Heureusement...

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