Malgré son talent indéniable sur la glace, Cole Caufield se retrouve encore une fois sous le feu des critiques et moqueries des internautes.

Cette fois-ci, c'est son salaire de 7,85 millions de dollars par année qui est au centre des moqueries sur les réseaux sociaux.

Pour certains, ce montant semble tout simplement exorbitant pour un joueur qui, selon eux, ne possède qu'une seule dimension de jeu : la capacité à marquer des buts. Et encore, cette année, il ne va même pas marquer 30 buts.

La situation est d'autant plus difficile à avaler pour les détracteurs de Caufield depuis l'annonce du contrat de Noah Hanifin, un défenseur qui a signé pour 8 ans avec un salaire annuel de 7,35 millions de dollars.

Cette disparité de salaire, avec Hanifin touchant 500 000 $ de moins que Caufield, a déclenché une véritable tempête sur les réseaux sociaux.

Certains n'hésitent pas à qualifier le contrat de Caufield de véritable "erreur stratégique", prédisant qu'il sera regretté pendant de longues années.

Pour eux, investir autant dans un joueur qu'ils considèrent comme "unidimensionnel" semble être une décision à contre-courant de la logique sportive et économique.

Pourtant, pour ses partisans, Caufield représente bien plus qu'un simple "buteur unidimensionnel". Son flair pour le but, sa rapidité sur la glace et sa capacité à influencer le jeu sont autant d'atouts qui justifient pleinement son salaire.

De plus, son jeune âge laisse entrevoir un potentiel de développement encore non réalisé, ce qui pourrait rendre son contrat plus avantageux dans les années à venir.

Malgré les critiques et les comparaisons peu flatteuses, Cole Caufield reste concentré sur son jeu et sur sa contribution à son équipe

Car au-delà des chiffres et des critiques, c'est sur la glace que se joue réellement sa valeur et son impact. Et pour ceux qui doutent encore, il est prêt à leur prouver, un but à la fois, que son salaire n'est pas juste une question de chiffres, mais bien le reflet de son importance sur la patinoire.

Prochaine étape: délaisser les bars, le party et les modèles "ONLYF". Mais ça, c'est une autre histoire...

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