Les sautes d'humeur de Cole Caufield font jaser au championnat du monde de hockey. Après une victoire écrasante contre le Kazakhstan 10-1, où Caufield a été le seul joueur des États-Unis à afficher un différentiel de -1 sans marquer de point, il a refusé de parler aux journalistes.

Finalement, il s'est pointé devant les caméras et a répondu de manière méprisante, répétant "OUI NON OUI NON" sans vraiment répondre aux questions.

Hier, cependant, après avoir réalisé une performance exceptionnelle contre la Lettonie avec 2 buts et 2 passes, Caufield était tout sourire devant les médias.

Ce contraste flagrant dans son comportement est frappant : quand il joue bien, il répond avec sa bonne humeur aux médias, mais lorsqu'il rencontre des difficultés, il fait la baboune et se montre peu coopératif.

Caufield devra apprendre à mieux gérer ses émotions, car en ce moment, son comportement semble quelque peu bipolaire.

Cette attitude contraste avec le professionnalisme attendu à ce niveau de compétition et pourrait nuire à son image. On pourrait d'ailleurs dire la même chose des fans du Canadien de Montréal, dont les réactions varient également de manière extrême en fonction des performances de leur équipe et de ses joueurs.

Quand Caufield connaît une contre-performance il est un "party boy" en lendemain de veille. Quand il performe, il est un buteur générationnel.

Les journalistes québécois présents à Prague, notamment Luc Gélinas de RDS, ont constaté que Caufield se montre particulièrement désagréable avec eux, tandis qu'il est beaucoup plus amical avec les médias européens. Il semble évident que Caufield en veut aux journalistes de Montréal.

La raison de cette animosité remonte aux rumeurs persistantes concernant sa vie nocturne en dehors de la glace. Visiblement exaspéré et tanné par ces spéculations, Caufield a décidé de se venger en se montrant peu coopératif avec les journalistes québécois.

Ce contraste dans son comportement souligne son ressentiment envers les journalistes montréalais. Quand il joue bien, il répond volontiers aux questions, mais lorsqu'il rencontre des difficultés, il se montre boudeur et hostile, surtout avec ceux qu'il considère responsables des rumeurs sur sa vie privée.

Caufield devra apprendre à mieux gérer ses émotions et ses relations avec la presse, car son comportement actuel, oscillant entre l'hostilité et la bonne humeur du jour au lendemain en fonction de la situation, risque de nuire à son image publique.

Caufield doit gérer ses émotions. Parions que Chantal Machabée pourra l'aider dans ce dossier. On dirait pratiquement que Caufield crie à l'aide en ce moment.

À Chantal d'intervenir pour la saison prochaine afin d'aider Cole. La gestion des émotions, Chantal connaît ça sur le bout des doigts..

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