Commotion devant les caméras: Martin St-Louis rit aux larmes

Commotion devant les caméras: Martin St-Louis rit aux larmes

Par David Garel le 2024-10-30

L'indignation a atteint un autre niveau parmi les partisans du Canadien de Montréal après une scène troublante lors de la conférence de presse de ce matin, suivant la défaite humiliante de 8-2 contre le Kraken de Seattle hier soir.

Au lieu de montrer du sérieux et une prise de responsabilité, Martin St-Louis a choisi de rire avec les journalistes en répétant une phrase inquiétante :

« Il faut arrêter d’aider l’adversaire à gagner. »

Voir le coach rire aux larmes dans ce contexte nous a donné froid dans le dos. Voici la séquence malaisante au possible.

Alors que les fans attendaient une réponse sérieuse après cette humiliation en règle, St-Louis a enchaîné les phrases pré-mâchées, répétant plusieurs fois que son équipe était si immature qu'elle contribuait activement à la victoire des adversaires.

Plus il répétait cette idée, plus le fou rire montait, laissant les journalistes crampés et les partisans déconcertés devant une telle légèreté.

« Il faut arrêter d’aider l’autre équipe » – une phrase qui aurait dû illustrer une prise de conscience sévère mais qui a tourné en farce sous les rires de St-Louis.

Un comportement indigne d’un coach de la LNH.

Ce rire malvenu est vécu comme une trahison par les partisans, qui peinent à digérer la défaite.

Après une dégelée humiliante, ils espéraient des explications, de l’humilité, et surtout du respect. Mais au lieu de cela, ils ont assisté à un spectacle où le coach semblait presque se moquer de la situation.

« Où est le sérieux ? », se demandent les fans sur les réseaux sociaux.

« Ce n'est pas un coach, c'est un clown ! », a écrit un internaute furieux sur X.

À Montréal, le hockey est sacré. Chaque défaite est vécue intensément, et les partisans attendent de voir leur équipe se battre jusqu’à la dernière seconde.

Le rire de St-Louis, dans ce contexte, est perçu comme une insulte non seulement à l’équipe, mais aussi à la base de partisans qui continue de payer des prix exorbitants pour assister à ces matchs décevants.

« Comment peut-il ricaner alors qu’on s’est fait ridiculiser ? », s’interroge un autre fan.

« Si c’était Patrick Roy, il aurait brisé des chaises », soulignent plusieurs observateurs nostalgiques d’une époque où la passion et l’honneur comptaient encore derrière le banc.

Les critiques ne s’arrêtent pas là. Ce comportement imprudent met en lumière un problème plus profond : St-Louis semble incapable de réagir de manière appropriée lorsque son équipe traverse des moments difficiles.

Après plusieurs humiliations en début de saison, les partisans se demandent si St-Louis est véritablement l’homme de la situation pour diriger une reconstruction aussi délicate.

« On aurait cru que la défaite ne comptait pas pour lui ».

Cette séquence embarrassante ne fait qu’alimenter davantage les rumeurs d’un changement de leadership à moyen terme.

Les fans montréalais n'ont jamais toléré la médiocrité, encore moins lorsqu’elle est accompagnée de rires malaisants.

Dans un marché aussi passionné que celui de Montréal, chaque geste et chaque mot comptent. Après cette autre déroute, les appels à plus de sérieux se multiplient, et le crédit de St-Louis fond à vue d’œil.

Beaucoup se demandent combien de temps Kent Hughes et Jeff Gorton pourront ignorer la grogne avant d’intervenir.

Pour le Canadien, le temps presse. Si la situation ne s’améliore pas rapidement, les rires d’aujourd’hui pourraient bien devenir des larmes demain – et ce ne seront pas seulement celles des fans.

Réveille Martin. Et pour l'amour du ciel, arrête de ricaner.