- OUCH...

- Carey Price a le corps d'un VIEILLARD de 90 ans...

- L'Entendre parler...

- Nous brise le coeur...

- Il faut absoument que sa femme arrive à le convaincre de ne pas faire cette CONNERIE...

- Qui pourrait le HANTER à VIE...

« J’ai un gros trou dans le cartilage de mon genou, essentiellement à l’endroit où il s’appuie. Il s’agit de prélever un bouchon osseux et cartilagineux dans une zone moins usée de mon genou, puis de le placer dans la zone endommagée. Donc c’est assez intrusif. »

« C’est direct dans l’articulation du genou, a-t-il précisé. Donc, tu en as besoin dans la vie de tous les jours. Je veux dire, Tommy John, oui, tu utilises ton bras tous les jours.

Mais tu ne marches pas sur tes bras. J’ai l’impression que c’est une opération que je ne ferais pas à moins d’avoir une certaine douleur et de ne pas avoir vraiment une bonne qualité de vie, ce qui n’est pas le cas. De façon générale, dans la vie de tous les jours, je vais bien. Par exemple, en marchant, je me sens plutôt bien.

J’ai un problème à une hanche et un autre à la cheville, tous dans la même chaîne, alors je devinais que ce serait un problème vers la fin de ma carrière. J’ai aussi un problème de dos. Donc ce n’est pas seulement mon genou. Il y a d’autres parties de mon corps qui me crient après aussi. »

« Le taux de réussite de l’opération, si j’étais un parieur, ce que je ne suis pas vraiment, tu paries tes 20 prochaines années sur une opération qui n’a pas un taux de réussite de 100 %. C’est beaucoup plus faible que ça, a noté Price. Je crois qu’il a dit 75 %, mais c’est probablement moins que ça.

Ce serait optimiste, et c’est juste pour une intervention chirurgicale qui doit aider les gens à juste vaquer à leurs occupations, pour que l’opération soit réussie. Je vois ça plutôt du côté pessimiste, comme, ‘et si ça ne marche pas et que j’ai eu cette opération et que maintenant je ne peux plus monter et descendre une colline ou m’agenouiller pour jouer avec mes enfants ?’ »

« Oui, j’ai toujours le désir de jouer, a-t-il dit. Je vais au camp d’entraînement, dès le début du camp, et je vois tous les jeunes qui se préparent. C’est comme si une partie de moi était encore… Je veux encore gagner, tu sais ? Il y a donc un peu un sentiment d’inachevé, mais je me demande aussi quels dommages je pourrais causer à mon genou si je ne me faisais pas opérer et que j’essayais de rejouer.

Eh bien, on m’a dit que je pouvais causer de sérieux dommages à mon genou si je faisais ça. Et je n’ai pas vraiment l’intention de me faire remplacer le genou dans cinq ans. »

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