Ce n’est plus un malaise. Ce n’est plus une controverse. C’est un scandale.
Lance Stroll, le fils à papa du Mont-Tremblant parachuté en Formule 1 grâce aux millions de son père, est désormais au cœur d’un rejet unanime. Pilotes, mécaniciens, journalistes et même anciens commentateurs européens n’en peuvent plus.
Le Grand Prix du Canada 2025 aura été le point de rupture, celui où les dernières illusions se sont effondrées, celui où le masque est tombé.
Et derrière, il n’y avait rien. Rien d’un champion. Rien d’un coéquipier. Rien d’un homme public. Seulement le regard vide d’un enfant gâté, arrogant, méprisant et désintéressé.
Tout a commencé par cette conférence de presse qui tourne au fiasco international.
Ce qui s’est passé à Montréal restera dans les annales de la Formule 1 comme l’un des moments les plus humiliants et choquants pour un pilote canadien.
Devant les micros, Stroll s’est effondré socialement. Attitude molle, affalé sur le divan, mâchant de la gomme comme un adolescent insolent, évitant les questions, répondant par des monosyllabes, baissant les yeux ou détournant le regard dès qu’un journaliste osait s’attarder sur ses contre-performances ou sa blessure au poignet.
Le journaliste britannique Ben Hunt n’a pas mâché ses mots :
« Il s’est comporté comme s’il venait d’apprendre que son chien avait été euthanasié. C’était froid, distant, presque agressif. »
Mais le plus troublant : cette scène a choqué le monde entier. Aux Pays-Bas, sur la chaîne Ziggo Sport, le pilote de F2 Richard Verschoor a carrément explosé :
« Il y a des gars qui donneraient tout pour être en Formule 1. Et quand je vois comment lui se comporte… c’est frustrant. Il s’en fiche. Il ne répond pas. Il est désintéressé. »
Un pilote de Formule 2 qui rêve de monter en F1 et qui voit un privilégié cracher sur cette opportunité, en direct.Voilà à quel point le fossé est devenu béant entre Stroll et le reste du paddock.
Olav Mol, l’un des commentateurs les plus respectés des Pays-Bas, a renchéri avec une violence froide :
« Je ne l’ai jamais vu agir autrement. Ce garçon ne vit pas dans le monde réel. Si vous parlez d’un enfant gâté, vous pouvez mettre deux points et écrire Lance Stroll. »
Mol accuse Stroll de jouer avec la presse, de volontairement entretenir le flou autour de sa blessure.
« Médicalement privé », disait-il. Mais tout dans son attitude semblait crier : « Je vous méprise. »
Mais ce n’est pas qu’une crise de communication. C’est un comportement systémique. Les journalistes ne veulent plus couvrir Lance Stroll.
Certains refusent maintenant de lui poser des questions. Pourquoi ? Parce qu’il ne respecte pas leur travail. Parce qu’il transforme chaque interaction en bras de fer silencieux, en insulte passive.
Ce n’est plus seulement un pilote désintéressé. C’est un garçon mal élevé, incapable de composer avec la pression, qui traîne un grave problème de gestion de la colère.
Depuis plusieurs années, les incidents s’accumulent : coups de volant lancés dans le garage, insultes envers les mécaniciens, altercations physiques avec son entourage, regards fuyants et réponses glaciales aux journalistes.
Et pourtant, au lieu de chercher à s’améliorer, Lance Stroll se referme sur lui-même, comme si le monde entier devait s’adapter à ses humeurs.
Lors de la conférence de presse du Grand Prix du Canada, on a tenté de provoquer une réaction humaine, une émotion sincère : on lui a demandé de raconter son premier souvenir au circuit Gilles-Villeneuve. Une question tendre, locale, facile.
Il aurait pu parler de son enfance, de son admiration pour Gilles, de son rêve de jeunesse… Mais non. Il a simplement répondu, sans lever les yeux : « Ça fait longtemps. »
Indigne d'un pilote de F1 et surtout, indigne d'un pilote québécois. Un mépris total. Et ce mépris, les journalistes ne l’acceptent plus. Plusieurs grands noms de la presse européenne et nord-américaine, devant on comportement horrible, ont publiquement exprimé leur ras-le-bol. Certains ont même demandé à Aston Martin de se débarrasser de ce pilote devenu ingérable, affirmant qu’il ne mérite plus cette tribune.
Même les vétérans qui ont couvert Senna, Schumacher, Alonso, Hamilton… n’ont jamais vu un pilote aussi détaché.
Il ne répond pas aux questions simples.
Il évite les sujets évidents.
Il s’offusque quand on lui parle de ses crises de colère.
Et surtout : il s’en fiche.
Son comportement contamine toute l’équipe
Ce mépris ne s’arrête pas aux journalistes. On le sent dans le garage. Il imprègne les murs. Il blesse les siens.
Déjà au Grand Prix d’Espagne, Stroll avait explosé après sa sortie en Q2. Selon la BBC, il aurait cassé du matériel et insulté un membre de l’équipe. Aston Martin a confirmé qu’il était « frustré », tout en niant que la colère était liée à sa blessure.
Mais personne n’y croit plus. Les incidents se répètent.
En 2023 au Qatar : altercation physique avec son entraîneur.
En 2022 : accident aux puits, blessant un mécanicien.
En 2020 : mutisme prolongé, crise de confiance.
En 2025 : conférence de presse cauchemardesque, attitude insultante.
Les mécaniciens ne veulent plus travailler avec lui. Il les ignore. Il les rabaisse. Il détruit leur moral. Et chaque semaine, ils doivent remettre en état une voiture pour un pilote qui les traite comme du personnel de salle.
Même les pilotes en ont marre.
Dans le paddock, le rejet est total. Certains pilotes évitent désormais Lance Stroll. Il n’y a plus de respect, plus de solidarité, plus d’amitié. Il n’est pas l’un des leurs. Il n’a jamais fait partie de la famille.
En privé, les mots sont durs :
« C’est un gars qui n’a jamais été là pour apprendre. Il est là pour satisfaire son père. »
« Tu ne peux pas construire une équipe autour d’un gars qui déteste tout le monde. »
« Quand tu vois comment Alonso se comporte, puis tu vois Stroll… tu comprends pourquoi l’un est double champion du monde. »
La comparaison avec Alonso devient chaque semaine plus brutale. Le vétéran espagnol respecte les ingénieurs, les fans, les journalistes. Il est compétitif. Il est engagé. Il aime ce sport.
Stroll ? Il le méprise.
Les fans le rejettent aussi
Et maintenant, même les fans se retournent contre lui.
On l’a vu au Grand Prix du Canada. Hué à domicile. Ridiculisé. Moqué.
On se souvient de ce moment désastreux au Centre Bell, où, projeté à l’écran, il a levé les bras comme une superstar… et reçu une ovation gênée de quelques secondes.
Parce que les gens le connaissent. Et ils ne veulent pas de lui.
Ce n’est plus une question de résultats. Ce n’est plus une question de talent. Ce n’est même plus une question de privilège.
C’est une question de comportement. De respect. D’humanité.
Lance Stroll a franchi toutes les lignes rouges.
Il humilie les journalistes.
Il insulte les mécaniciens.
Il ignore les fans.
Il méprise le paddock.
À un moment donné, Lawrence Stroll devra regarder la réalité en face. Il ne pourra plus protéger l’indéfendable. Car ce n’est plus seulement son fils. C'est toute l'écurie Aston Martin qui est entachée.
Il faut Lance Stroll quitte la Formule 1. Et le plus tôt sera le mieux. Pour le bien du sport. Pour le respect de ceux qui rêvent de cette place. Pour la santé mentale de ceux qui doivent travailler avec lui. Et surtout, pour que le nom du circuit Gilles-Villeneuve ne soit plus sali par le comportement d’un enfant roi qui n’a jamais compris ce qu’il représentait.