Une controverse circule autour de Réjean Tremblay, suite à son passage dans l'émission "Dans les médias" diffusée sur Télé-Québec.

L'étonnement se fait sentir sur les réseaux sociaux, car Télé-Québec, généralement considérée comme indépendante du CH, aurait censuré le journaliste après ses déclarations controversées concernant le contrôle du Canadien de Montréal sur les médias québécois.

Cette situation a créé des interrogations sur la liberté d'expression et l'influence du CH dans les cercles médiatiques traditionnels.

Réjean Tremblay, bien connu pour ses opinions tranchées et qui n'a jamais eu peur de Geoff Molson, aurait affirmé que le Canadien de Montréal  exerce un contrôle total sur les médias au Québec, et que toute critique envers l'équipe dirigée par Geoff Molson pourrait entraîner la perte de privilèges médiatiques.

Ce qui est particulièrement dérangeant, c'est que cette censure proviendrait non seulement de la part du Canadien de Montréal, mais également de Télé-Québec, une chaîne qui, selon la perception générale, n'est pas soumise aux pressions directes de l'équipe sportive.

Pour l'instant, Réjean Tremblay n'a pas encore commenté la situation, laissant le public se questionner sur les raisons de sa censure.

Certains avancent que ses déclarations pourraient avoir touché une corde sensible chez Geoff Molson et l'équipe de direction du Canadien, les incitant à prendre des mesures en menaçant Télé-Québec pour réduire Tremblay au silence.

Cette situation soulève des préoccupations plus larges sur la crédibilité des médias traditionnels, mettant en lumière le défi constant auquel ils sont confrontés pour maintenir leur indépendance face aux pressions externes du Canadien de Montréal.

La théorie de Réjean Tremblay est la réalité: tout le monde le sait. Elle expliquerait en partie la perte de crédibilité des médias traditionnels qui, par peur de perdre des privilèges, hésiteraient à critiquer le Canadien de Montréal.

Au final, cette affaire souligne l'importance de préserver la liberté d'expression dans les médias et de maintenir une critique indépendante, même lorsque des intérêts puissants sont en jeu.

Surtout, il faut poaser la question à savoir à quel point le Canadien de Montréal manipule la narration médiatique à son avantage.

Au final, Réjean Tremblay a toujours le dernier mot. Il finira pas répliquer à sa manière.

Non. Tremblay n'était, n'est et ne sera jamais à la botte de Geoff Molson.

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