La station de radio BPM Sports se prépare à un possible coup de tonnerre en vue de la prochaine saison : l'embauche du célèbre journaliste Tony Marinaro.

Après avoir fait sensation en remplaçant Stéphane Gonzalez de manière temporaire, Marinaro pourrait bien obtenir son propre créneau de 10h à 12h, un créneau stratégique pour la station puisqu'on parle de la case horaire la moins écoutée depuis la nuit des temps dans le monde de la radio.

Maxime Van Houtte a fait ce qu'il a pu, mais n'a pas été capable de faire monter l'aiguille. BPM Sports a besoin d'un Marinaro entre 10h et 12h, car le placer avec Georges Laraque n'est pas stratégique, puisqu'on parle des deux vedettes de la station.

Laraque, tout comme Marinaro, ont ce pouvoir de faire monter les cotes d'écoute. Il faut aussi souligner que le segment de Marinaro est le plus écouté à TVA Sports dans le show de Jean-Charles Lajoie, et de loin. En fait, on parle du seul segment écouté.

Sans oublier que Stéphane Gonzalez mérite de retrouver sa place aux côtés de Georges alors que le duo iconique sera de retour la saison prochaine. BPM Sports veut bel et bien donner à Marinaro sa propre émission entre 10h et midi. Mais ils devront sortir les billets verts.

Marinaro n'est pas un journaliste comme les autres. Sa capacité à faire grimper les cotes d'écoute est bien connue dans le milieu. Partout où il passe, les auditeurs le suivent, et cette popularité est un atout indéniable pour toute station qui souhaite augmenter son audience et, par ricochet, ses revenus publicitaires.

Mais quel serait le coût pour BPM Sports de s'assurer les services de Tony Marinaro ? Il est certain que recruter un journaliste de cette envergure représente un investissement conséquent.

Les talents de Marinaro ne se limitent pas à son talent à l'antenne : son balado "The Sick Podcast" est un véritable aimant à commanditaires, grâce à sa large diffusion et à son influence considérable. Dans le milieu, certains parlent du sympathique Italien comme d'une machine à imprimer de l'argent.

En engageant Marinaro, BPM Sports pourrait espérer non seulement une augmentation significative de ses cotes d'écoute, mais aussi une amélioration de son image de marque et de sa visibilité.

Les commanditaires sont attirés par des personnalités capables de garantir une audience fidèle et engagée, et Marinaro est précisément ce genre de figure médiatique.

Les discussions autour de son salaire potentiel sont donc cruciales. Combien est-on prêt à payer pour un journaliste qui peut transformer les perspectives d'une station de radio ?

Les chiffres exacts ne sont pas encore disponibles, mais il est clair que l'investissement en vaudra la peine pour BPM Sports.

Si Marinaro signe de manière permanente, ce sera non seulement un coup médiatique, mais aussi une stratégie marketing gagnante.

L'avenir nous dira combien BPM Sports est prêt à investir pour s'offrir les services de Tony Marinaro, mais une chose est certaine : ce journaliste pourrait bien être la clé de la croissance future de la station.

Sa popularité, son influence et son pouvoir de diffusion en font un atout précieux que BPM Sports ne peut échapper. On voudrait en profiter pour le féliciter, lui qui a remporté le "Larry Fredericks Media Award" aujourd'hui. 

Un Anglophone qui a réussi autant en anglais qu'en français, il faut le faire. Un exemple pour la communauté médiatique en entier. 

Les rêves n'ont pas de limite...ni de langue...

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