Bob Hartley, avec sa perspective expérimentée, avance une idée intrigante : il est temps d'amener David Reinbacher en Amérique.
Actuellement en Suisse, Reinbacher traverse une période tumultueuse, ayant déjà connu trois entraîneurs en cours de saison, et son équipe se débat au dernier rang de sa division.
L'idée de le rapatrier au sein de l'entourage du Canadien de Montréal, proche des entraîneurs et des joueurs, pourrait être la clé pour débloquer son plein potentiel.
Reinbacher, actuellement en stagnation, pourrait bénéficier d'un changement d'environnement.
En l'intégrant à l'équipe du Canadien, il pourrait poursuivre sa progression sous la direction des dirigeants du CH.
Si le Canadien a fait preuve de patience avec Slafkovsky, il serait judicieux d'adopter une approche similaire avec Reinbacher.
La question qui se pose est : qu'ont-ils vraiment à perdre?
En ce moment, le Canadien se classe comme la 8e pire équipe de la LNH, se dirigeant vers les bas-fonds du classement.
Dans une saison qui semble se concentrer davantage sur le développement individuel et collectif que sur les résultats immédiats, intégrer Reinbacher pourrait apporter une dynamique nouvelle.
En le plaçant dans un environnement où il pourrait être encadré par l'équipe d'entraîneurs du Canadien et s'insérer dans la chimie des joueurs, Reinbacher pourrait rapidement s'adapter et contribuer positivement.
Un changement vers la stabilité et la structure offert par l'équipe de Montréal pourrait être le catalyseur dont Reinbacher a besoin pour sortir de sa période de stagnation en Suisse.
Bob a raison : pourquoi ne pas tenter cette approche, surtout lorsque le statu quo ne semble pas apporter les résultats escomptés?
C'est peut-être le moment idéal pour ramener Reinbacher et injecter un nouvel élan dans le parcours de développement du Canadien.