- David Schlemko veut nous faire pleurer...
« Schlemko a admis que la frustration l’a souvent envahi. Lorsqu’il a finalement eu sa chirurgie, c’était difficile pour lui de ne pas se demander ce qui serait arrivé s’il avait été opéré plus tôt, au mois de septembre…»
Schlemko a été très clair, il ne blâme pas le personnel médical des Canadiens concernant la gestion de sa blessure. Weber non plus. Price non plus. Il serait injuste de le faire, considérant que la médecine est une science très inexacte. La position de Price a rendu sa blessure plus difficile à gérer, alors que du côté de Weber, c’est une blessure qui est en faite plutôt rare. Il a dit que le médecin qui a pratiqué l’opération ne l’avait fait qu’à seulement trois autres joueurs.
Mais sans « distribuer » le blâme, c’est difficile d’ignorer qu’il y a trois cas où des joueurs ont manqué beaucoup plus de temps que prévu au sein de la même équipe, alors que c’est relativement rare dans la LNH… »
- LA HONTE...