- Wow...
- Le Canadien de Montréal est dans le trouble..
- Quand on entend Guy Boucher le GÉNIE parler de son approche...
- On se rappelle que nos adjoints sont...Alex PIRE POWER PLAY DE LA LNH Burrows...
- Stéphane Robidas....
- Et Trevor Letowski...
- OUCH...
- Quand on entend Boucher...
- On se dit que c'est exactement cet homme dont avait besoin Martin St-Louis.
« Je suis un défricheur. Je n'aime pas faire ce que tout le monde fait. J'ai besoin de trouver une nouvelle façon, un autre angle, de voir au-delà de l'évidence pour changer quelque chose qui fera une grosse différence. Ma vie, c'est oser."
"Si tu m'enlèves la possibilité d'oser, je perds toute motivation ».
- Imaginez deux secondes Alex Burrows en PANIQUE...ne sâchant pas quoi faire...ne montrant aucune créativité pour redresser son POWER PLAY..
- Et là..vous entendez le génie Boucher...qui va s'occuper du POWER PLAY des Leafs...et qui va HUMILIER Burrows les yeux fermés...
- On est dans la M...
- Tout ça parce que St-Louis est trop ORGEUILLEUX pour avoir des coachs d'expérience autour de lui.
- Si seulement Marty arrivait à marcher sur son EGO..
- Ça ferait avancer l'organisation au complet.
"Pendant que la majorité des gens regardent les prouesses de Connor McDavid ou Nikita Kucherov, moi, je regarde la glace." continue Boucher.
"Je suis constamment à l'affût des espaces libres pour mieux comprendre ce que font les équipes avec ou sans la rondelle. «
"Je ne peux pas m'en sortir. C'est tout ce que je vois. Je vois uniquement la structure. Me concentrer sur un seul joueur c'est très difficile. Il faut vraiment que quelque chose ressorte, sinon je demeure accroché à la structure des deux équipes. »
"Lorsque je m'attarde aux individus, c'est plutôt pour observer le non verbal des joueurs et des entraineurs.
"Je veus savoir et comprendre comment ils réagiront, selon les situations. Ma maitrise en psychologie sportive n'est jamais bien loin.
"N'allez surtout pas me parler des changements de trios ou de paires à l'entrainement. Ça ne m'intéresse pas le moindre du monde. Je déteste quand on catégorise les individus."
« Ça, c'est un joueur de quatrième trio, ça, c'est un sixième défenseur. Ça m'écoeure. Aujourd'hui, tu ne sais pas il va être quoi. Mon défenseur numéro cinq sera peut-être mon meilleur, donc il devient mon numéro un. »
« Le premier obstacle des gens, c'est eux-mêmes. Ils ne peuvent pas avoir confiance en eux s'ils se sentent limités ».
« Certains vont dire que je suis un motivateur, d'autres que je suis un stratège. Ce qui me passionne c'est la mobilisation des joueurs, des individus et des groupes. C'est la connexion qui m'intéresse. Je me suis rendu compte que le hockey est un véhicule pour ma passion qui est de mobiliser. C'est pour ça que quand je regarde un match de hockey, je n'y trouve pas ma passion. »
« Je ne serais jamais retourné coacher si je n'avais pas senti une connexion avec le propriétaire, le gérant, les autres coachs et les leaders de l'équipe."
"Si tu n'es pas sur la même page, tu n'as aucune chance de réussir. Ce n'est pas une question de coacher, autant que de me retrouver dans un environnement où je sais que je pourrai participer à un élan commun avec la même philosophie. »