- Du GROS CASH pour Hendrix Lapierre...

- Trois années au salaire annuel maximal de 852 500 $US. Des bonis à la signature de 92 500 $ pour chacune des trois premières années et des bonis de performance pouvant atteindre 50 000 $US la première année, 232 500 $US la deuxième année et 445 000 $US la troisième année. S’il doit faire ses classes dans les Ligues mineures, son salaire annuel sera de 80 000 $US.

« Je vais sûrement m’acheter une petite auto. Rien de trop gros. Je vais peut-être me payer un sac de golf aussi. »

«Nous n’étions pas pressés, mais une bonne offre a rapidement été déposée sur la table. Mon agent, Philippe Lecavalier, n’aurait pas accepté de négocier ce contrat s’il n’avait pas été aussi intéressant. Il fait un travail extraordinaire depuis que je suis avec lui. Je suis vraiment content! Je vais pouvoir me concentrer à jouer au hockey sans penser au contrat».

«On dirait que le programme sport-études de la polyvalente Nicolas-Gatineau, c’était encore hier. On m’avait dit que ça irait vite et j’attaque déjà ma troisième année de hockey junior même si la saison dernière a été quelque peu gaspillée à cause de mes blessures. En fait, elle n’a pas été totalement gaspillée. L’adversité m’a rendu plus fort mentalement.»

«Quand je pense à la tournure du repêchage, je me dis que ça pouvait difficilement être mieux. J’ai attendu au 22e rang avant d’être repêché, mais les Capitals ont bougé pour me sélectionner. Ils ont lancé les négociations et là, ils m’ont offert un contrat très honnête. C’est parfait. Il va falloir que je garde les deux pieds sur terre parce que j’ai encore beaucoup de travail à faire.»

Quand je me suis couché lundi, j’étais vraiment excité. J’avais un secret qui me soulageait. J’ai bien dormi! Tout le processus a été une belle expérience. J’aime les statistiques. J’aime les mathématiques. L’exercice a été enrichissant!»

«C’est difficile de me fixer des objectifs avec les Saguenéens en raison de l’incertitude qui plane sur notre saison. Nous sommes un peu dans le néant. Par contre, je sais que je peux continuer de travailler en fonction d’une invitation au camp d’Équipe Canada junior.»

«Je viens d’avoir mon permis de conduire. Je vais sûrement m’acheter une petite auto. Rien de trop gros. Je vais peut-être me payer un sac de golf aussi. J’ai pris goût à ce sport cet été. Je jouais avec les vieux bâtons de mon père. Je pense que je serais dû pour les changer!»

 

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