Elias Lindholm, le talentueux attaquant des Flames de Calgary, est la cible de choix numéro un pour de nombreuses équipes de la LNH lors de la période des transactions.

Cependant, pour le directeur général des Canadiens de Montréal, Kent Hughes, Lindholm est devenu un véritable cauchemar.

Depuis que les rumeurs de son départ de Calgary ont commencé à circuler, Lindholm est devenu le plan A de nombreuses équipes à la recherche d'un renfort offensif de premier plan.

Son talent indéniable, sa polyvalence sur la glace et son talent offensif supérieur à Monahan en ont fait une cible de choix pour les équipes aspirant à une profondeur offensive supplémentaire.

Après les Rangers, voilà que Linholm devient le PLAN A des Bruins, de l'Avalanche et des Jets.

Alors que Lindholm est le centre de toutes les attentions, Sean Monahan commence à attirer l'intérêt des équipes cherchant un plan B si Lindholm coûte trop cher.

Les Bruins sont prêts à sacrifier Matthew Poitras pour le joueur de centre des Flames, mais on serait très étonné qu'ils soient prêts à sacrifier leur jeune espoir pour Monahan.

Les Bruins de Boston, conscients des défis posés par les négociations pour Lindholm, vont commencer à se concentrer sur Monahan comme alternative réaliste, mais Fabian Lysell semble être une option plus viable pour Monahan que Poitras.

Pour Hughes, voir Lindholm devenir le PLAN A, alors que Monahan devient le PLAN B, est le pire scénario.

Avec les Bruins et les Rangers qui vont se battre pour Lindholm avec les Jets et l'Avalanche, Kent Hughes doit attendre de voir quelles équipes vont rentrer bredouilles de ce dossier.

Pour Hughes, la seule consolation est de savoir que le marché des transactions est imprévisible, et qu'il doit rester vigilant pour saisir toute opportunité qui se présente.

Mais oubliez Poitras à Montréal. De un, les Bruins en vont jamais prendre le risque d'envoyer le jeune centre à leurs rivaux de toujours.

De deux, Poitras sera sacrifié pour Lindholm...pas pour Monahan...

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