Juraj Slafkovsky est riche comme Crésus.
De l’or qui coule à flots, mais pas un sou pour la facture.
Il y a des moments où un joueur de hockey passe du statut de vedette à bouc-émissaire public, et Juraj Slafkovsky est en plein dans cette transition brutale.
Alors que ses performances sur la glace sont catastrophiques, le documentaire La Reconstruction, qui suit les coulisses du Canadien de Montréal, vient de révéler un détail croustillant qui enflamme les réseaux sociaux : Slafkovsky, malgré ses millions qui lui sortent par les oreilles, a refusé de payer une facture de restaurant.
Vous devez absolument écouter cet extrait vidéo qui place le Slovaque dans l'eau chaude:
Et ce n’est pas n’importe quelle facture.
L’an dernier, Slafkovsky a encaissé un bonus de 250 000$ pour avoir marqué son 20ᵉ but – dans son tout dernier match de la saison, un timing parfait pour toucher le gros lot.
Dans une scène du documentaire, on le voit ensuite attablé dans un restaurant chic après ce match avec toute l'équipe.
Geoff Molson en personne vient le voir et lui suggère avec le sourire de payer la facture.
La réaction de Slafkovsky?
Un “NON” sec et immédiat. Pas de blague, pas d’hésitation, pas de subtilité.
Un refus glacial, venant d’un gars qui s’apprête à signer un contrat de 60,8 millions de dollars.
La scène a immédiatement fait bondir les partisans, et c’est Jean Trudel du balado Stanley25 qui a mis le feu aux poudres en en parlant publiquement.
"C'est ça qui m'inquiète avec Slaf. C'est ce qu'on a vu au Centre Bell. C'est son niveau d'intelligence. Il est peut-être gros, mais je ne sais pas s'il est smart.
Je ne le sais pas. C'est un move d'épais hors de la glace. Il prend des zyns (petit sachet de thé rempli de poudre de tabac, consommé en plaçant le sachet entre la gencive et la lèvre, permettant à la nicotine d'entrer rapidement dans le sang sans inhaler de fumée).
Je n'aime pas ça non plus. Je ne veux pas juger la fille, il sort sorti avec une fille qui est barmaid au Flyjin. À un moment donné..."
Et Trudel n’a pas tort.
À Montréal, un joueur peut être mauvais sur la glace, mais si en plus il accumule des bourdes hors glace, l’opinion publique devient impitoyable.
Un gars riche dans ses poches, mais incapable de comprendre l’image publique
Ce qui rend cette histoire encore plus irritante pour bien des gens, c’est que Slafkovsky n’a jamais manqué d’argent.
En Slovaquie, c’est une star depuis son adolescence. Il faisait déjà des publicités à 15-16 ans, accumulant les contrats de commandite bien avant d’être repêché en première position par le Canadien.
Alors, quand on voit un multimillionnaire refuser de payer un souper après avoir encaissé un bonus de 250 000$, forcément, ça fait grincer des dents.
C’est un manque total de lecture de situation.
Et comme si ce n’était pas assez, hier soir, Slafkovsky a été un des pires joueurs sur la glace.
Pierre Houde, d’habitude toujours mesuré et diplomate, n’a même pas cherché à le défendre.
“Il était le pire passeur sur la glace.”
BOUM.
Quand Pierre Houde se permet une critique aussi directe, c’est que la situation est dramatique.
Les réseaux sociaux se sont enflammés après ce commentaire, et plusieurs fans sont maintenant à bout de patience avec Slafkovsky.
Le public voit un enchaînement de mauvaises décisions, que ce soit sur la glace ou à l'extérieur.
Il faut être clair : Slafkovsky traverse une période catastrophique.
Il accumule les performances médiocres, une attitude douteuse, et maintenant une image de joueur riche, mais avare.
Pour ne pas dire "cheap"
Et pour un premier choix au total, ça commence à faire beaucoup.
Car si Slafkovsky jouait comme un vrai attaquant de puissance, si son jeu parlait pour lui, cette histoire de facture serait une anecdote sans importance.
Mais là, il est dans une spirale descendante.
Mauvais sur la glace.
Arrogant en entrevue.
Épinglé par les médias.
Une vie olé olé dans la nuit montréalaise avec sa douce.
Maintenant vu comme un millionnaire "cheap".
Il ne lui manque plus qu’un scandale en dehors du hockey et il aura officiellement coché toutes les cases du joueur détesté à Montréal.
Ce qui est inquiétant, c’est que Slafkovsky ne semble pas comprendre ce qui lui arrive.
Hier encore, il riait après un autre mauvais match.
Il pense qu’il peut traverser la tempête en restant le même.
Mais ça ne fonctionne pas comme ça à Montréal.
Demandez à P.K. Subban.
Demandez à Alex Galchenyuk.
Ils ont tous été adorés au début, puis détestés ensuite parce qu’ils n’ont pas su gérer l’image publique.
Si Slafkovsky ne réajuste pas rapidement son attitude, il va bientôt atteindre un point de non-retour avec les partisans.
Et à Montréal, une fois que le public t’a pris en grippe, c’est pratiquement impossible de s’en sortir.
Juraj Slafkovsky a 60,8 millions de raisons d'être indifférent.
Mais il a aussi 60,8 millions de raisons de se réveiller.
Parce que s’il continue dans cette voie, il va brûler son image aussi vite que son argent.
Et le Canadien, qui a misé gros sur lui, pourrait rapidement commencer à se demander si ça valait vraiment la peine.
Si la séquence où Juraj Slafkovsky refuse de payer une facture après avoir encaissé un bonus de 250 000$ choque autant, ce n’est pas seulement à cause du geste lui-même.
Ce qui est encore plus surprenant, c’est que cette scène a été incluse dans le documentaire La reconstruction: au coeur des Canadiens de Montréal.
Il faut comprendre quelque chose : les dirigeants du CH sont extrêmement protecteurs avec leurs joueurs.
Leur service de communication veille au grain, filtre tout, contrôle l’image publique des joueurs avec une rigueur militaire.
Alors comment cette scène a-t-elle pu se retrouver dans le montage final?
Est-ce une simple erreur? Ou un choix délibéré?
Un manque de vigilance… ou un message subtil?
On parle ici d’une équipe qui a toujours été ultra-stratégique dans la gestion de son image.
Si une séquence peut ternir la réputation d’un joueur, elle est généralement coupée avant même que le public ne la voie.
Et pourtant, cette scène de Slafkovsky refusant de payer la facture est là, bien présente, dans un documentaire produit et approuvé par le Canadien.
C’est là que plusieurs se posent la question : comment ça?
Est-ce une simple erreur d’édition?
Une scène laissée par inadvertance?
Ou est-ce que l’organisation a voulu, intentionnellement ou non, envoyer un message?
Si on est l’agent de Slafkovsky, Gerry Johannson, on est en furie.
Ce dernier est reconnu comme un agent dur en affaires, qui protège farouchement ses clients.
Et là, son joueur vedette passe pour un millionnaire radin, devant tout le monde, dans un documentaire produit par son équipe.
C’est exactement le genre de controverse qu’un agent veut éviter à tout prix.
Car cette séquence n’apporte rien de positif à Slafkovsky.
Elle n’explique pas son quotidien, elle ne montre pas un moment inspirant, elle ne met pas en valeur son éthique de travail.
Elle fait juste le montrer comme un joueur riche qui refuse de payer un souper, alors qu’il vient d’empocher un quart de million.
Un “bad look” monumental.
Un choix étrange pour une série… qui n’est pas censée être de la télé-réalité, mais bien de l'info-pub sportive.
Et c’est là que ça devient encore plus étrange.
Parce que La Reconstruction n’est pas une série qui cherche le scandale.
Ce n’est pas une émission de télé-réalité où on expose les pires moments des joueurs pour faire du sensationnalisme.
C’est une info-pub sportive.
Le but de la série, c’est de montrer la progression de l’équipe sous un angle positif, de donner un accès exclusif aux coulisses tout en restant dans un cadre contrôlé.
Alors pourquoi inclure une séquence qui nuit autant à l’image d’un joueur?
Ça n’a pas de sens.
Slafkovsky doit être furieux
On peut facilement imaginer que Slafkovsky lui-même n’a pas dû apprécier voir cette scène diffusée.
Il traverse déjà une période difficile sur la glace.
Son jeu est critiqué.
Ses décisions sont remises en question.
Les partisans commencent à perdre patience.
Et maintenant, cette controverse vient s’ajouter à la liste.
Alors qu’il aurait besoin de calme et de focus pour redresser sa saison, il se retrouve au cœur d’un scandale… totalement évitable.
Tout ça pour une facture qu’il n’a pas voulu payer.
Ce qui est certain, c’est que dans n’importe quelle autre équipe de la LNH, ce genre de séquence aurait été coupé au montage.
Ça n’aurait jamais dû se retrouver à l’écran.
Alors pourquoi Montréal l’a laissé passer?
Est-ce un simple oubli?
Un mauvais jugement du service des communications?
Ou est-ce que quelqu’un, quelque part dans l’organisation, a voulu envoyer un message subtil à Slafkovsky?
Une chose est sûre : ce n’est pas une coïncidence.
Un malaise grandissant.
Que ce soit volontaire ou non, le mal est fait.
Slafkovsky est déjà sous le feu des critiques pour ses performances sur la glace.
Maintenant, il traîne une réputation de joueur arrogant, riche mais avare, et déconnecté de la réalité.
Et ça, c’est le genre d’image qui colle à la peau.
Alors que la pression monte sur lui, il devra non seulement améliorer son jeu, mais aussi redresser son image publique.
Parce qu’à Montréal, une mauvaise réputation est encore plus difficile à effacer qu’un mauvais début de saison.
Et après cette histoire de facture, Juraj Slafkovsky vient de se mettre dans une position extrêmement délicate.
La patience des partisans s’épuise.
Le crédit de Slafkovsky aussi.
Au moins...il sa sauvé sa propre carte de crédit au restaurant...