- Faut vraiment dire à TVA Sports...

- D'arrêter d'en FUMER du BON...

Il y a plusieurs parallèles à faire entre une équipe de hockey et une brigade en cuisine, selon le chef et restaurateur Martin Juneau. 

«En cuisine comme au hockey, si un des éléments performe moins, c’est l’équipe entière qui est affectée. Et il faut que la chimie opère», a-t-il illustré dans le 54e épisode du balado «Femme d’Hockey», dont il est l’invité de la semaine de l’animatrice Isabelle Ethier.

«Le hockey, c’est tellement un sport de précision. Parfois, ça ne marche pas. C’est la même chose en cuisine. Certains soirs, tu rates la cuisson de ton bœuf, tu en pars un autre et tu brûles ton beurre ou te sales trop ton bœuf. Des fois ça ne marche pas, mais quand ça marche, qu’il y a de la magie, c’est là que tu as l’air d’un génie», a ajouté l’animateur de l’émission L'avant-match des foodies à TVA Sports.

Appelé à former sa brigade avec des joueurs de l’édition actuelle des Canadiens, Juneau a envoyé Carey Price à la plonge et Jeff Petry aux commandes des desserts. 

«Dans un restaurant, les employés sont divisés en deux : ceux en salle et ceux en cuisine. J’ai l’impression que les attaquants pourraient être les serveurs, tandis que les défenseurs seraient les cuisiniers. Le gardien est dans l’équipe des défenseurs, donc en cuisine, mais son rôle est tout autre, mais est essentiel et sous-évalué. 

«Un plongeur, c’est un rôle vraiment ingrat, mais tu ne peux pas aller nulle part sans plongeur. Pour moi, un plongeur, ce pourrait être un gardien de but», a-t-il dit pour justifier son choix. 

Dans le cas de Petry, la comparaison est encore plus imagée.

«Pendant les séries l’an passé, Petry avait les yeux gorgés de sang. Ça faisait très cerises, fraises. J’ai l’impression qu’il ferait un bon pâtissier. J’imagine qu’il a le bec sucré. Il a dû manger beaucoup de desserts pour se remettre de ce choc!» 

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