Ça chauffe entre Québec et Montréal.
Il est maintenant évident que Geoff Molson est au centre de vives controverses à Québec en raison de sa position publique contre le retour des Nordiques.
Son vote défavorable contre l'équipe de hockey professionnelle de la ville disparue depuis 1995 et ses actions présumées pour entraver ce retour ont profondément irrité les partisans de hockey dans la région de la capitale provinciale.
L'hostilité envers Molson peut se faire sentir dans la ville entière et la région autour de Québec, alimentée par le ressentiment généralisé envers sa prétendue alliance avec Gary Bettman, le commissaire de la Ligue nationale de hockey, pour contrecarrer les efforts visant à ramener les Nordiques dans la LNH.
Cette perception de Molson comme un obstacle majeur au retour de l'équipe de Québec a renforcé sa réputation d'ennemi numéro un dans la région.
Le fait que Molson soit rarement vu dans la capitale nationale ne fait qu'accentuer cette perception. Son absence perçue est interprétée comme un désintérêt délibéré pour la ville et sa communauté de fans passionnés de hockey.
Mais surtout, cela dénote une peur évidente de mettre les pieds dans une ville qu'il méprise et qu'il ne veut pas voir revenir.
En conséquence, Molson est maintenant un indériable dans la capitale québécoise. Son nom est associé à une opposition farouche au retour des Nordiques, et il est clair que sa présence n'est pas la bienvenue dans cette ville qui garde toujours l'espoir de voir son équipe de hockey bien-aimée revenir un jour.
Dans l'imaginaire collectif des partisans de hockey à Québec, Geoff Molson incarne l'obstacle principal à la réalisation de leur rêve de voir les Nordiques à nouveau sur la glace de la LNH. Et tant que cette perception persiste, Molson continuera de ne pas être le bienvenu dans la capitale nationale.