La relation entre Geoff Molson, propriétaire du Groupe CH, et la mairesse de Montréal, Valérie Plante, n'a cessé de se détériorer au fil des ans, amplifiée par une série de décisions controversées de la part de la mairesse.

Cette tension est grandissant et s'est intensifiée à plusieurs reprises, à tel point que Molson semble être en furie face à ce qu'il perçoit comme un manque flagrant de leadership et d'engagement envers les Montréalais.

La colère de Molson remonte notamment à la décision de Plante de limiter à 3 500 le nombre de spectateurs au Centre Bell lors de la finale de la Coupe Stanley en 2021, sous prétexte de mesures sanitaires liées à la COVID-19.

Cette décision a non seulement frustré les fans des Canadiens, mais elle a aussi souligné, selon Molson, un manque de soutien envers la communauté montréalaise, déjà durement éprouvée par la pandémie.

Ce qui aggrave davantage la situation, c’est le contraste avec la réaction de la mairesse lors des récentes inondations à Montréal.

Plante, au lieu de se précipiter sur le terrain pour soutenir ses concitoyens, a brillé par son absence, suscitant l’indignation des victimes et des observateurs.

Pour Molson, ces incidents illustrent une tendance plus large chez Plante à négliger les besoins des Montréalais, surtout dans le contexte sportif et événementiel.

La gestion du Grand Prix de Montréal, entachée par le scandale des terrasses fermées, en est un autre exemple frappant.

La mairesse semble avoir pris des décisions arbitraires qui ont coûté des centaines de milliers de dollars aux restaurateurs locaux, une décision qui, selon Molson, gâche non seulement l’économie locale mais aussi la réputation de Montréal comme une ville accueillante pour les grands événements.

Molson, en tant que leader d’une des institutions les plus emblématiques de la ville, ne cache plus son exaspération.

Sa frustration est d’autant plus légitime que la mairesse Valérie Plante avait attaqué Molson, le qualifiant de "cheap" pour avoir refusé d’organiser des événements extérieurs durant les matchs de la Coupe Stanley.

Pour Molson, qui a déjà vu son équipe privée d’un soutien public adéquat lors de la finale, cette accusation est un affront supplémentaire.

Il est évident que pour Molson, investir dans un « party extérieur » n’avait aucun sens lorsqu'il sentait que la ville n'est pas derrière lui.

De son côté, Valérie Plante semble ne pas comprendre l'ampleur de ses erreurs. Lorsqu’elle a été interrogée sur son absence durant les inondations, elle a offert des excuses indmissibles

« S’il y a des Montréalais qui auraient souhaité que je sois là, je m’en excuse, mais d’aucune façon ça ne démontre un désintérêt. »

Cette réponse, précédée du fameux « si », a été perçue comme une tentative maladroite de se dédouaner de ses responsabilités.

Il devient de plus en plus évident que Plante est déconnectée des réalités et des besoins des Montréalais. Son salaire de 211 864 $ annuels, largement perçu comme exorbitant, semble encore plus injustifié compte tenu de ses échecs répétés à répondre aux urgences de la ville.

Les Montréalais, qui voient leurs taxes augmenter tout en recevant en retour une gestion inefficace, ont de plus en plus de mal à comprendre pourquoi Plante continue d’occuper cette fonction.

Au final, Geoff Molson avait raison sur toute la ligne : Valérie Plante nuit non seulement au Montréal sportif, mais surtout aux Montréalais eux-mêmes.

Son incapacité à gérer efficacement les crises, à soutenir les citoyens en difficulté, et à promouvoir une ville dynamique et accueillante pour les événements sportifs et culturels montre qu'elle n'est tout simplement pas à la hauteur des attentes.

Pour Molson et bien d'autres, il est temps que Montréal ait un leadership à la hauteur de son prestige et de ses aspirations.

Nous sommes à mille pour cent derrière Molson dans ce dossier. Ses arguments anti-Plante sont béton:

Le point de discorde majeur réside dans la perception générale que Valérie Plante ne parvient pas à offrir une ville présentable et accueillante pour les grands événements sportifs, ce qui a des répercussions directes sur la réputation internationale de Montréal....et sur le marché des agents libres...

Le fiasco du Grand Prix de Montréal est un exemple flagrant de cette gestion maladroite. Cet événement, qui attire chaque année des milliers de touristes et génère des retombées économiques considérables pour la ville, a été marqué par une décision incompréhensible de la mairesse : la fermeture des terrasses, une mesure qui a privé de nombreux restaurateurs de revenus essentiels lors du week-end le plus lucratif de l'année.

Cette décision, qualifiée par certains de "power trip" bureaucratique, a non seulement nui aux affaires locales, mais elle a aussi donné une image déplorable de la ville aux visiteurs internationaux...et encore une fois aux agents libres de la LNH qui visitent souvent Montréal lors de ce week-end.

Geoff Molson a été profondément déçu par cette approche. Pour lui, un leader municipal doit comprendre l'importance des symboles et des gestes concrets qui soutiennent non seulement l'économie locale, mais aussi l'esprit communautaire.

Le manque de coordination et de soutien de la part de la ville lors d'événements majeurs comme le Grand Prix et les matchs de la Coupe Stanley témoigne, selon lui, d'une incompréhension totale des besoins de Montréal en tant que ville dynamique et internationale.

L'absence de Valérie Plante sur le terrain lors des inondations, tout comme son incapacité à répondre efficacement aux crises telles que le "terrassegate", démontre un manque de leadership crucial.

Un leader doit être présent, non seulement pour donner des directives, mais aussi pour comprendre les réalités vécues par ses concitoyens.

L'éloignement de Plante des préoccupations quotidiennes des Montréalais est un symptôme de sa déconnexion plus large avec les enjeux de la ville.

Geoff Molson a de plus en plus de raisons de croire que Valérie Plante, par ses décisions et son attitude, ne fait pas honneur à la ville de Montréal.

Pour Molson et d'autres acteurs clés de la communauté montréalaise, il est essentiel que la ville soit dirigée par un leader capable de prendre en compte les besoins réels des citoyens, de promouvoir une image positive à l'international, et de répondre avec efficacité aux crises.

Valérie Plante ne pourra plus jamais regagner la confiance perdue des Montréalais et des figures influentes comme Geoff Molson.

Triste histoire....

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