- Georges Laraque se faisait battre par son père...

"La relation avec mon père se gérait souvent à force de « 50 coups de ceinturon » écrivait Laraque dans son livre, La force d’y croire, paru en 2011.

- Mais Laraque a fini par pardonner à son père.

Je m’occupe aussi de mon père, je fais les commissions pour lui. Si tu retournes dans mon livre, c’est assez dur de croire qu’on se parle aujourd’hui. On a passé dix ans sans se parler, et ça m’a pris quatre ans de thérapie pour qu’on reprenne contact !

« Même quand on a recommencé à se parler, je ne le voyais pas souvent, mais depuis le début de la crise [de la COVID-19], je le vois plus que jamais. Maintenant, il a besoin d’aide. Donc je mets le passé de côté et je le fais. J’espère que ça inspirera les gens. »

« Cette pandémie-là, c’est une occasion qu’on a de s’aider et à la fin, c’est de ça qu’on pourra se souvenir, comment on s’est aidé comme société. C’est vrai que c’est long, mais si on trouve ça long, aidons-nous à passer à travers la crise ! »

- Chapeau Georges!!!

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