C’est le genre de moment qui remet les pendules à l’heure. Après un été chaotique, ponctué de critiques virulentes, de départs bruyants, de commentaires acides sur les réseaux sociaux, BPM Sports vient de faire taire tout le monde avec fracas.
Les dernières cotes d’écoute sont tombées, et elles sont tout simplement spectaculaires:
Et dans la foulée de cette victoire éclatante, j'ai appelé Georges Laraque directement et mon ami a livré un message d’une puissance inouïe.
Un message qui résonne comme une claque au visage de tous ceux qui ont voulu enterrer la station avant même la rentrée. Voici, mot pour mot, ce que l’ancien dur à cuire du Canadien a déclaré :
« Je veux remercier tous les haters qui ont bashé BPM Sports cet été. Je veux remercier toutes les personnes qui ont des shows, qui ont des podcasts, qui ont des émissions, qui ont publiquement bashé BPM Sports. Je veux remercier toutes les personnes sur les réseaux sociaux qui ont bashé BPM Sports.
C’est grâce à vous qu’on a eu des chiffres historiques. Parce que quand vous avez bashé BPM Sports, vous avez donné une plateforme, vous avez donné de la publicité gratuite à BPM Sports. »
« Et les gens, le monde, les gens de l’armée, qui ne connaissaient pas BPM Sports avant, maintenant connaissent BPM Sports grâce à vous. Et les gens, à la fin de la journée, ne se sont pas fiés à l’opinion de gens frustrés pour décider s’ils allaient écouter BPM Sports ou non.
Quand vous avez mis BPM Sports sur la map, les gens ont décidé d’écouter par curiosité. Et ils se sont fait leur propre opinion, à savoir s’ils aimaient ou non.
Les gens n’ont pas été biaisés par des gens qui sont partis ou qui ont été congédiés et qui étaient frustrés avec des commentaires négatifs. Non. Ils se sont fait leur propre opinion. Les gens ont aimé. Ils ont adopté.
« Donc merci à toutes ces personnes, vous avez mis BPM Sports sur la map et vous avez augmenté le nombre de gens dans l’armée qui ont adopté BPM Sports.
Quand on n'aime pas quelque chose dans la vie, on est indifférent. On ne le nomme pas, on fait comme si ça n’existait pas.
Quand on nomme quelqu’un… d’où vient l’expression : parlez-en bien, parlez-en mal. Bien c’est exactement ce qu’ils ont fait. Alors on vous remercie tous. Et on espère que pour la prochaine saison, cet été, vous allez continuer à nous mettre sur la map avec votre frustration. Merci beaucoup. Je vous aime. »
Je veux aussi féliciter tous les animateurs de BPM, qui malgré tout le bruit qu’ils ont entendu cet été, se sont relevés. Ils ont travaillé sans relâche.
Ça a été un effort d’équipe, tout le monde ensemble. Et malgré le bruit de l’extérieur, ils ont fait un produit exceptionnel. Et je suis fier d’eux d’avoir fi de bruit et d’avoir donné un produit exceptionnel aux gens.
Je veux féliciter Greg Lanctot en particulier, parce qu’il n’y a personne qui a eu plus de heat cet été que Greg. Greg et son équipe ont fait un travail exceptionnel. Avec ses chiffres de 14.7, ça montre que non seulement ils ont fait beaucoup de bruit, mais ils ont aussi créé un produit collectif que j’adore. »
Et Georges n’a pas exagéré. Les chiffres sont là pour le prouver.
Le matin, l’émission menée par Gilbert Delorme, Anthony Desaulniers et Anthony Marcotte obtient un 6.0 chez les hommes 25-54, la cible la plus payante pour les annonceurs. La saison dernière, l'équipe du matin avait fini avec 5,7. Une légère amélioration, mais il faut dire que la case matinale est très compétitive.
Max Lalonde, avec son émission de 10h à 11h, explose les attentes avec un impressionnant 8.1, surpassant même plusieurs tranches horaires des grands réseaux. La saison dernière, Tony Marinaro avait terminé avec 4,7 dans la même case horaire.
Gonzo et Georges Laraque, fidèle à leur réputation, établissent un record de la station avec un 15.3, consolidant leur statut de piliers de la grille.
Et le retour en force de Greg Lanctot, que plusieurs avaient enterré un peu trop vite, se matérialise avec un solide 14.7.
C’est ce qu’on appelle un coup de circuit.
Cette envolée de BPM coïncide parfaitement avec l'arrivée de Sylvain Chamberland, désormais propriétaire officiel via Arsenal Média.
Comme nous l’écrivions plus tôt cette semaine, Sylvain Chamberland est un homme de terrain, un vrai fan de sport, un opérateur de radio passionné et surtout, il a toujours cru au potentiel de BPM Sports.
Et aujourd’hui, les résultats lui donnent raison. BPM entre dans une nouvelle ère. Une ère où les opinions négatives deviennent de la publicité gratuite. Une ère où le produit finit par parler plus fort que le bruit.
Ce qui rend le message de Georges Laraque aussi puissant, c’est qu’il ne se contente pas de célébrer une victoire. Il tend un miroir à ceux qui ont tenté de nuire à la station.
Parce que oui, cet été a été brutal pour BPM. Les critiques venaient de partout. D’anciens employés congédiés. D'animateurs frustrés. De chroniqueurs en mal d’attention. Jean-Charles Lajoie annonçait même la mort de BPM, sa faillite imminente et sa déchéance.
Et pourtant. Aujourd’hui, la station est plus forte que jamais.
Et Georges a trouvé les mots parfaits pour clore ce chapitre :
« Merci beaucoup. Je vous aime. »
Ce n’est pas du mépris. C’est du génie médiatique. BPM ne se cache plus. BPM répond avec les chiffres. Et avec le cœur.
BPM est vivant. Et il est en feu.
Alors que RDS licencie. Que TVA Sports est su rle respirateur artificiel. Que les grandes radios généralistes se battent pour quelques miettes d’audience…
BPM Sports, lui, rugit.
Ce qu’on vit cette semaine, ce n’est pas juste un rebond. C’est une renaissance. Et c’est signé "Big Georges" Laraque.
À ceux qui doutaient : continuez de parler de BPM. Vous ne faites que nourrir la machine.
La radio sportive a un roi. Et il vient de frapper un circuit.
