Ce soir, les écrans de Sportsnet se sont transformés en scène d'une honte télévisuelle, alors que les journalistes ont échoué lamentablement à reconnaître le talent et le mérite de Juraj Slafkovsky.

Au lieu donner le mérite à un joueur qui monte en puissance depuis des mois, les commentateurs ont choisi de le reléguer au statut de simple joueur de 4e trio, voire pire, suggérant qu'il devrait aller apprendre à Laval.

 

 

Il est évident que le réseau anglophone est souvent centré sur les Maple Leafs, mais cela ne devrait pas être une excuse pour négliger le parcours du Canadien de Montréal et de se ses joueurs.

Slafkovsky est en train de capter l'attention des amateurs de hockey de la LNH et au niveau international par son jeu qui se développe de jour en jour.

Slafkovsky a prouver qu'il pouvait rivaliser avec les meilleurs sur la glace. Malheureusement, cette soirée à Sportsnet a montré une lacune criante dans la couverture journalistique anglophone, révélant une ignorance regrettable quant à l'évolution et au succès de ce jeune talent brut. Le fait que "Slaf" marque a vraiment été une belle revanche.

 

 

Il est choquant de constater que les journalistes de Sportsnet n'ont pas suivi de près le parcours de Slafkovsky, le traitant comme s'il était un joueur marginal plutôt que de reconnaître son potentiel de future vedette.

Cette négligence flagrante est une véritable honte journalistique qui témoigne d'une ignorance complète pour certains joueurs et leurs attributs.

Parions que le discours aurait été différent si Slafkovsky avait été un joueur des Maple Leafs.

 

 

En négligeant la véritable valeur et identité de Slafkovsky, Sportsnet a manqué une opportunité de se taire. Le réseau anglophone aurait dû mettre en valeur le succès et la montée en puissance d'un joueur de plus en plus dominant à 19 ans.

Ce faux pas médiatique soulève des questions fondamentales sur l'éthique journalistique chez les médias ontariens et la nécessité d'une couverture plus équilibrée au Canada.

 

 

Cette soirée de Sportsnet restera gravée dans les mémoires comme un triste exemple de la façon dont une couverture partiale peut déformer la réalité et priver les amateurs de hockey d'une appréciation juste et éclairée du talent exceptionnel de joueurs comme Slafkovsky.

Une vraie honte...

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