Ivan Demidov dans un accident d'avion...
Déckidément, Louis Morissette et Jean-Philippe Wauthier sont allés trop loin. Leur spirale de négativité dépasse les bornes
Alors qu’on croyait que Louis Morissette ne pouvait pas descendre plus bas dans ses commentaires qui descendent le CH à qui ieux mieux, il nous prouve encore une fois qu’il n’a aucune limite.
Après avoir démoli Lane Hutson, ridiculisé Nick Suzuki, et traité les partisans avec mépris, voilà qu’il s’attaque maintenant au jeune prodige Ivan Demidov, la perle rare que les partisans du CH espèrent voir briller pendant des années.
Mais cette fois, Morissette ne s’est pas contenté de critiques habituelles sur le talent ou le potentiel du joueur. Non, il est allé dans le sombre et l’inacceptable, osant comparer Demidov à l’infâme saga des frères Kostitsyn, avec toutes les dérives extra-sportives qu’on leur connaît.
Et comme si cela ne suffisait pas, son collègue Jean-Philippe Wauthier, loin de tempérer les propos, a enfoncé le clou avec une déclaration qui a glacé l’atmosphère :
« On est tellement pas chanceux qu’il va se ramasser avec un accident d’avion quelque part. »
Un moment d’un malaise profond, un dérapage complet qui a laissé les auditeurs et les partisans complètement abasourdis.
Tout a commencé lorsque Morissette, fidèle à lui-même, a exprimé ses craintes que Demidov ne soit qu’un “fluke”, un autre de ces espoirs surcotés qui finiront par décevoir, glissant rapidement vers une comparaison douteuse avec les frères Kostitsyn :
« J’espère que c’est pas un fluke, là. Non, j’espère que… C’est parce qu’il y a tout un aspect qu’on ne contrôle pas, qui est le mental, qui est l’entourage. »
On comprend ici tout le scepticisme maladif de Morissette. Incapable de croire au potentiel de Demidov, il ramène les vieux démons du Canadien, suggérant que l’entourage du jeune russe pourrait être son pire ennemi.
Un discours défaitiste, teinté de méfiance, qui ne repose sur aucune preuve concrète.
Lorsque Wauthier tente de relativiser en déclarant que « Demidov est plus solide que Kostitsyn », Morissette rétorque froidement :
« Des fois, c’est pas une question d’intelligence. C’est la dépendance, mais c’est pas une question d’intelligence. »
Le sous-entendu est clair : pour Morissette, Demidov pourrait facilement tomber dans les pièges de la vie nocturne, comme ses prédécesseurs.
C’est alors que Jean-Philippe Wauthier, dans une tentative maladroite de plaisanterie, a prononcé l’inacceptable :
« On est tellement pas chanceux qu’on va se ramasser avec un accident d’avion quelque part. »
Pour voir cette séquence malaisante au complet, voici l'extrait vidéo:
Un silence gênant a suivi, une sorte de malaise palpable, tant cette déclaration était déplacée et sombre. Est-ce vraiment là où en est rendue la discussion sur le Canadien ?
Faut-il vraiment tomber dans un cynisme aussi "cheap", au point de prédire des tragédies pour un jeune joueur qui n’a même pas encore disputé un match dans la LNH ?
Ce genre de commentaires, bien qu’ils se veuillent ironiques, dépassent largement les bornes du raisonnable. Le Canadien de Montréal, malgré toutes ses difficultés passées, n’a jamais été synonyme de désespoir au point de devoir faire de telles insinuations morbides.
Ce qui est encore plus frappant, c’est le mépris dégoulinant de Morissette envers les joueurs du CH, mais aussi envers leurs partisans.
Son obsession à chercher des défauts et à dénigrer chaque espoir montre qu’il n’a plus aucun respect pour ceux qui croient en l’équipe.
« Est-ce que je confierais mes enfants à un joueur du Canadien ? Qui ? Peut-être David Savard. »
Une déclaration qui en dit long sur son niveau de confiance envers l’organisation. Même Suzuki, qu’il n’a cessé de dénigrer, est devenu une cible facile de son humour cinglant :
« Suzuki ? T’es sûr qu’il y aura pas de mal. C’est sûr qu’ils vont dormir. »
Sous-entendant ici que Suzuki est ennuyeux, sans caractère et incapable d’avoir une personnalité forte.
Pour Morissette, chaque joueur du Canadien est soit trop jeune, trop fragile, trop surévalué, ou tout simplement pas assez bon pour mériter son respect.
Les réseaux sociaux n’ont pas tardé à réagir à cette dernière sortie de Morissette et Wauthier. Les partisans en ont assez de ce discours toxique et de cette tentative incessante de ternir l’image du club.
• « On peut-tu juste apprécier le talent de Demidov sans le comparer à Kostitsyn ? »
• « Louis Morissette est vraiment devenu un mononcle frustré qui ne trouve plus rien de positif. »
• « Parler d’un accident d’avion ? C’est inacceptable. C’est juste du mauvais goût. »
Le constat est sans appel : Louis Morissette est désormais reconnu cmme le plus grand hater du Canadien de Montréal.
Chaque fois qu’une lueur d’espoir apparaît, il est là pour la piétiner. Chaque fois qu’un joueur commence à s’imposer, il trouve un moyen de le rabaisser.
Le problème, ce n’est plus le Canadien, c’est Morissette lui-même. Il est tellement englué dans son propre cynisme qu’il ne peut plus voir autre chose que des échecs et des catastrophes.
On dirait qu’il a besoin que le Canadien échoue pour exister, pour alimenter son personnage. Mais cette fois, il est allé trop loin. Le Québec en a assez.
Ce qui est véritablement troublant dans cette histoire, ce n’est pas seulement l’attitude toxique et systématiquement négative de Louis Morissette, mais le fait qu’il entraîne avec lui ceux qui, jusque-là, avaient toujours été du côté des partisans du Canadien de Montréal.
Jean-Philippe Wauthier, connu pour être l’un des plus grands fans du CH, est en train de glisser lentement vers le chemin amer de Morissette.
Wauthier, d’habitude l’optimiste, celui qui prenait toujours la défense du Tricolore avec humour et bienveillance, a franchi une ligne en laissant entendre qu’Ivan Demidov pourrait subir un sort tragique avec son commentaire totalement déplacé sur un potentiel accident d’avion.
Une phrase qui, dans n’importe quel autre contexte, aurait pu être balayée du revers de la main comme une simple blague de mauvais goût. Mais ici, elle en dit long sur l’influence néfaste de Louis Morissette, qui semble ronger l’esprit de ceux qui l’entourent, les plongeant dans une spirale de défaitisme absolu.
C’est questionnant. Wauthier a-t-il perdu son esprit critique face au discours malaisant de son collègue ?
Est-il en train de céder à la noirceur ambiante qu’instaure Morissette dans chaque discussion sur le Canadien ?
Ce qui est sûr, c’est qu’il doit faire attention.
Louis Morissette a toujours été un “hater” assumé, un personnage qui se nourrit du pessimisme ambiant pour se positionner comme le critique “lucide” face aux fans qu’il considère trop rêveurs, trop naïfs.
Il tire une satisfaction malsaine à démontrer que le Canadien est voué à l’échec, qu’aucun joueur ne sera jamais à la hauteur des attentes.
Mais voir Wauthier tomber dans ce jeu, c’est inquiétant. Wauthier, qui autrefois jouait l’avocat du diable avec justesse et humour, semble désormais succomber au négativisme rampant de son coanimateur.
Sa sortie sur Demidov est le symptôme d’un glissement dangereux vers un négativisme qui pourrait entacher sa propre image.
S’il n’y prend pas garde, il risque de perdre ce qui faisait sa force : être la voix de la raison, du bon sens et du respect des partisans.
Morissette peut se permettre d’être l’ennemi public numéro un du CH, mais Wauthier ne doit pas suivre cette voie, car les partisans ne lui pardonneront pas une telle dérive.
Il est légitime d’être critique, il est même sain de remettre en question certaines décisions du Canadien, mais sombrer dans la caricature et le mépris systématique devient un poison qui gâchetoute discussion constructive.
Morissette a dépassé les bornes depuis longtemps, et maintenant, il semble vouloir entraîner tout le monde avec lui.
Jean-Philippe Wauthier doit se ressaisir avant qu’il ne soit trop tard. Parce qu’en ce moment, il donne l’impression d’être contaminé par la négativité de Morissette, et c’est une pente glissante dont il pourrait avoir du mal à se relever.
Il est encore temps pour Wauthier de sortir du piège Morissette, avant qu’il ne devienne un simple écho du "hater" le plus insupportable du Québec.