Ivan Demidov envoie un message brutal à Juraj Slafkovsky : Coupe ton téléphone et concentre-toi sur le hockey!
Le prodige russe Ivan Demidov, pressenti comme l’une des futures vedettes du Canadien de Montréal, ne laisse aucune place aux distractions.
Contrairement à Juraj Slafkovsky, qui semble obsédé par ce que l’on dit de lui dans les médias et sur les réseaux sociaux, Demidov a fait un choix radical : il coupe complètement le bruit extérieur.
Pas de notifications, pas d’attention aux critiques, pas de perte de temps à scruter ce que les journalistes et les fans racontent à son sujet.
“Je ne lis rien dans les médias. Mon téléphone est toujours en mode ‘Ne pas déranger’. Cinq heures avant un match, je ne le touche même pas. Je ne veux parler à personne,” a révélé Demidov en entrevue avec le site RG.org.
Pendant que Slafkovsky passe ses nuits sur son téléphone, cherchant à savoir tout ce que les gens pensent de lui, de sa blonde, et de sa carrière, Demidov lui, se concentre uniquement sur son développement.
Il ne se laisse pas affecter par les critiques, les opinions des experts, ou les commentaires des partisans.
Cette mentalité glaciale et disciplinée est exactement ce qui manque à Slafkovsky. Il suffit de voir son obsession avec le Flyjin, où il passait ses soirées à surveiller sa copine, paranoïaque à l’idée qu’un autre homme puisse lui tourner autour.
La même obsession semble le hanter lorsqu’il s’agit des réseaux sociaux. Slafkovsky veut tout savoir, tout lire, tout analyser, mais ce genre d’attitude ne fait que nourrir son anxiété et nuire à ses performances sur la glace.
Pendant que Demidov brise des records dans la KHL et s’impose comme l’un des jeunes les plus dominants de Russie, Slafkovsky lutte encore pour trouver une constance dans son jeu.
Et la différence entre les deux ne pourrait pas être plus évidente : l’un ne se soucie que du hockey, l’autre est trop préoccupé par ce que le monde pense de lui.
Demidov ne laisse pas la pression l’atteindre. Il ne s’attarde pas aux critiques, il ne remet pas en question ses choix à cause d’un article ou d’un commentaire sur les réseaux sociaux.
Pour lui, la seule opinion qui compte, c’est celle des entraîneurs et de son entourage immédiat.
“Je ne regarde même pas de vidéos sur mes adversaires. Je préfère analyser le jeu en temps réel et suivre mon instinct,” a-t-il affirmé.
Un contraste frappant avec Slafkovsky, qui cherche constamment à comprendre pourquoi il est critiqué, au lieu de simplement jouer son rôle et s’améliorer.
Alors que Demidov se forge déjà un mental de champion, Slafkovsky semble toujours coincé dans le tourbillon des attentes et des jugements extérieurs.
Si Slafkovsky veut réellement devenir le joueur que Montréal espère, il ferait bien de suivre l’exemple de Demidov et de mettre son téléphone de côté.
Une leçon que Slafkovsky doit apprendre immédiatement
Si Juraj Slafkovsky continue d’être affecté par tout ce qu’il entend, tout ce qu’il lit et tout ce que les médias racontent, il ne survivra pas longtemps à Montréal.
À quoi bon être le premier choix au total si tu es incapable de gérer la pression qui vient avec?
Ivan Demidov, lui, a tout compris. Il sait que les attentes, les critiques et les jugements font partie du métier, mais qu’ils ne doivent jamais devenir une distraction.
Si Slafkovsky veut progresser et devenir un vrai power forward dominant, il devra arrêter de gaspiller son énergie sur des choses qu’il ne peut pas contrôler et suivre la voie de Demidov : discipline, concentration et indifférence totale aux distractions extérieures.
Parce qu’en ce moment, la plus grande menace pour la carrière de Slafkovsky… c’est lui-même.
Si Juraj Slafkovsky veut comprendre comment gérer la pression et atteindre son plein potentiel, il n’a qu’à observer Ivan Demidov, un joueur qui, à seulement 19 ans, a déjà démontré une maturité impressionnante.
Son développement, sa gestion du stress et son mode de vie strict sont autant de leçons que Slafkovsky devrait méditer.
Demidov ne laisse absolument rien au hasard lorsqu’il s’agit de son entraînement et de sa concentration. Il l’a dit clairement :
“Je me concentre sur le hockey, rien d’autre. Je fais mon travail et je laisse les autres parler.”
L’un des aspects les plus impressionnants de Demidov, c’est sa discipline. Son quotidien est entièrement consacré au hockey et à l’amélioration de son jeu.
Alors que Slafkovsky semble constamment absorbé par ce que les médias disent de lui, Demidov, lui, ne se soucie de rien d’autre que de sa progression.
Ce niveau de concentration est exactement ce qui manque à Slafkovsky. Il est constamment en train de tenter de contrôler la perception qu’on a de lui au lieu de simplement se concentrer sur son jeu et laisser ses performances parler d’elles-mêmes.
Demidov, lui, ne perd pas une seconde sur ces distractions. Son unique priorité est d’être le meilleur joueur possible, chaque jour.
Un autre élément clé dans la réussite de Demidov, c’est son entourage. Contrairement à Slafkovsky, qui s’est retrouvé dans les rumeurs à cause de ses allées et venues au Flyjin, Demidov a une copine discrète et stable, qui joue un rôle positif dans sa carrière.
“Ma copine me suit partout. Elle est là à chaque match, elle me soutient, et elle comprend les exigences de mon métier. C’est important d’avoir quelqu’un qui t’apporte de la stabilité.”
C’est un contraste frappant avec Slafkovsky, qui semble prisonnier de la jalousie et de l’obsession de ce que sa copine fait de son temps.
Au lieu d’être focalisé sur le hockey, il est préoccupé par son image, sa vie privée et les rumeurs.
Demidov, lui, comprend l’importance d’avoir une compagne qui ne le distrait pas, mais qui l’aide à rester concentré.
Avoir un entourage qui ne vit pas pour la vie nocturne, mais qui soutient activement sa carrière, fait une énorme différence.
Demidov a aussi livré un message puissant sur la gestion de la pression, un aspect fondamental que Slafkovsky semble encore incapable de maîtriser.
“La pression, c’est une bonne chose. Ça te pousse à devenir meilleur. Si tu veux jouer dans la LNH, tu dois l’accepter et en faire une motivation.
Je ressens la pression, bien sûr, mais je l’utilise comme un moteur pour m’améliorer.”
Slafkovsky, lui, semble écrasé par les attentes. Il passe trop de temps à analyser les critiques et à tenter d’y répondre au lieu d’utiliser cette pression comme un levier pour se surpasser.
La différence est frappante : Demidov voit la pression comme une opportunité, tandis que Slafkovsky semble la voir comme un fardeau.
Demidov est déjà en train de bâtir une carrière qui semble destinée à la grandeur. Il est discipliné, structuré et totalement concentré sur son objectif. Il ne se laisse pas distraire par les critiques, les rumeurs ou sa vie personnelle.
Slafkovsky, de son côté, doit rapidement apprendre de son exemple. Il doit cesser de se soucier de ce que les autres pensent de lui et se concentrer uniquement sur le hockey.
S’il ne fait pas ce changement de mentalité rapidement, il risque de plafonner et de ne jamais atteindre son potentiel.
Ivan Demidov est la preuve vivante que le talent ne suffit pas, qu’il faut une discipline de fer, une mentalité de gagnant et un entourage qui favorise la réussite.
Slafkovsky ferait bien de prendre des notes.