Pauvre Jacob Perreault...

Rejoindre les rangs prestigieux du Canadien de Montréal, son équipe locale, sa fierté, sa raison de rêver, devait être le moment de sa vie. Mais le destin en a décidé autrement, lui réservant un sort des plus cruels.

Annoncé comme le nouvel espoir, l'élément-clé qui viendrait renforcer l'alignement du Canadien, Perreault a rapidement été étiqueté comme un "flop" par les critiques impitoyables.

Les attentes étaient grandes, les espoirs nombreux, mais la réalité s'est révélée bien plus sombre. Son passage au sein de l'organisation des Ducks a été synonyme de promesse brisée, de déception amère.

Et comme pour enfoncer le clou dans la plaie béante de son ego meurtri, Perreault se retrouve non pas au sommet de la gloire de la NHL, mais au Rocket de Laval.

Du club-école des Ducks au club-école du CH. 

Pourtant, au milieu de ce cauchemar sportif, certains voient une lueur d'espoir, un mince filet de lumière dans l'obscurité. Voici une vidéo de ses meilleurs moments dans la ligue américaine...il y a deux ans...

Être Québécois, originaire de Montréal, pourrait-il être sa bouée de sauvetage ? Certains le pensent. Peut-être que le retour aux sources, le soutien de ses compatriotes, la fierté de porter les couleurs de son peuple, pourraient raviver la flamme qui sommeille en lui.

Mais pour d'autres, c'est simplement un coup de marketing, une tentative désespérée de Hughes pour apaiser les médias nationalistes québécois, en leur offrant un "bonbon" pour calmer leurs critiques comme quoi il n'y a pas assez de Québécois avec le CH.

Dans tous les cas, une chose est certaine : Jacob Perreault est à la croisée des chemins, devant faire face à à ses doutes les plus profonds sur sa carrière dans le monde du hockey professionnel. Ça passe ou ça casse. Étant de retour à la maison, on espère que ça va passer...

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