Jalousie au Flyjin: la conjointe de Juraj Slafkovsky fait jaser

Jalousie au Flyjin: la conjointe de Juraj Slafkovsky fait jaser

Par Marc-André Dubois le 2025-01-13

Depuis son arrivée à Montréal, Juraj Slafkovsky est souvent sous le feu des projecteurs, et pas toujours pour les bonnes raisons.

Récemment, il a fait l’objet de nombreuses critiques concernant son mode de vie, notamment ses sorties tardives au Flyjin, un resto-bar réputé du Vieux-Montréal.

Mais avant de sauter aux conclusions, il est important de remettre les choses en contexte.

Angélie Bourgeois-Pelletier, mannequin québécoise et serveuse au Flyjin, est en couple avec le jeune Slovaque.

Représentée par les agences Folio Management à Montréal et Bella Management à l’international, Angélie est aussi belle que mystérieuse, et sa profession attire l’attention.

Sa présence dans un lieu aussi fréquenté que le Flyjin suscite inévitablement des interrogations sur son influence sur la vie personnelle et professionnelle de Slafkovsky.

Alors que certains imaginent le jeune attaquant en train de faire la fête jusqu’aux petites heures du matin, nos sources internes au Flyjin révèlent une tout autre histoire.

Slafkovsky, loin de s’adonner à l’alcool ou à des soirées endiablées, serait en réalité de nature très jalouse.

Et cette jalousie le pousse à passer de longues soirées au bar, non pas pour s’amuser, mais pour garder un œil attentif sur sa conjointe.

« Slaf n’est pas là pour boire ou pour socialiser, explique une source au sein de l’établissement. Il s’assoit souvent dans un coin, commande un mocktail ou une bouteille d’eau, et observe. Il veut marquer son territoire, ça se voit. »

Dans la plupart des cas, ce sont les conjointes qui s’inquiètent des sorties nocturnes de leurs partenaires "superstars".

On est loin des scandales des joueurs qui trompent leurs femmes en mettant leurs maîtresses enceintes ou qui ont des bébés illégitimes, tel que mentionné par l'agent David Ettedgui (dans l'extrait vidéo suivant):

Mais ici, le scénario est inversé. Slafkovsky semble prêt à sacrifier des heures précieuses de sommeil, même à la veille d’entraînements ou de matchs, pour surveiller Angélie.

Ce comportement peut paraître anodin, mais dans une ligue aussi compétitive que la LNH, où chaque détail compte, veiller jusqu’à trois ou quatre heures du matin n’est pas sans conséquence.

Ce mode de vie alimente les critiques, notamment dans un marché exigeant comme Montréal.

Les partisans s’attendent à ce que leurs joueurs vedettes respectent un mode de vie rigoureux, d’autant plus lorsqu’ils peinent à répondre aux attentes sur la glace.

Juraj Slafkovsky, critiqué pour son inconstance et ses performances inconstances, n’a pas besoin de donner davantage de munitions à ses détracteurs.

Bien que sa fidélité et son attachement à sa conjointe puissent être perçus comme des qualités, ils deviennent des faiblesses lorsque cela commence à affecter son rendement.

Le comportement de Slafkovsky pourrait également être interprété comme un signe d’insécurité. Être un jeune joueur de la LNH dans une ville où tout est amplifié par les médias n’est pas une mince affaire.

Ajoutez à cela une relation amoureuse sous les projecteurs et les pressions d’un premier choix au repêchage, et vous obtenez un cocktail émotionnel difficile à gérer pour n’importe quel jeune homme de 20 ans.

Si Juraj Slafkovsky souhaite pleinement réaliser son potentiel, il devra non seulement se concentrer sur son développement sur la glace, mais aussi apprendre à gérer ses émotions et à équilibrer sa vie personnelle et professionnelle.

Les Canadiens de Montréal, en tant qu’organisation, devraient peut-être envisager de lui offrir un soutien psychologique ou de mentorat pour l’aider à naviguer dans ces eaux troubles.

Le cas de Slafkovsky prouve une réalité souvent ignorée dans le hockey professionnel : les défis hors glace peuvent être tout aussi cruciaux que les performances sur la glace.

L’attachement du jeune joueur à sa conjointe est compréhensible, mais il doit apprendre à faire confiance et à prioriser sa carrière.

Dans une ville comme Montréal, où chaque détail est scruté, ce genre de comportement peut rapidement devenir une distraction, à la fois pour lui et pour l’équipe.

Le talent est là, mais pour briller, Slafkovsky devra trouver un moyen de se concentrer sur l’essentiel : devenir le joueur dominant que tout le monde attend.

Depuis son arrivée dans l’univers sans pitié de la LNH, Juraj Slafkovsky a vécu des montagnes russes émotionnelles.

Avec son contrat lucratif de 7,6 millions de dollars par année en moyenne qui commencera la saison prochaine, Slafkovsky empochera 29 millions de dollars lors des trois prochaines saisons (dont 10 millions la première année).

Une somme faramineuse qui vient avec une responsabilité écrasante : répondre aux attentes d’une organisation et de partisans qui exigent l’excellence.

Pourtant, au lieu de se concentrer uniquement sur le hockey, il semble pris dans un tourbillon émotionnel lié à sa relation amoureuse. 

« Il est clair qu’il est très jaloux. Tout le monde ici peut voir à quel point il est anxieux. Il la suit partout dans le bar. C’est inhabituel, surtout pour un joueur de hockey professionnel. » affirme un(e) employé(e) du bar en question, sous le couvert de l'anonymat.

Ce comportement soulève des questions sur ses priorités et sa capacité à gérer ses émotions. À un âge où la discipline et la concentration devraient primer, Slafkovsky semble se perdre dans des préoccupations personnelles qui pourraient affecter son développement.

La situation de Slafkovsky contraste fortement avec celle de joueurs comme Cole Caufield, qui, célibataire endurci, multiplie les conquêtes, mais ne s'attache pas.

Cela lui permet de garder une attitude irréprochable et une discipline exemplaire. Quand tu ne t'attaches pas émotionnellement, tu as la tête libre.

Cette différence d’approche ne fait qu’amplifier les critiques envers Slafkovsky, perçu comme arrogant et immature.

Mais il faut se rappeler qu'il n'a que 20 ans.

Les médias et les partisans n’épargnent pas Slafkovsky au niveau sportif. Il joue mieux depuis quelques matchs, ayant entendu les critiques

« Il ne déploie pas la combativité d’un attaquant de puissance. Il est passif le long des rampes et il ne tire pas assez au filet. » écrivait Marc de Foy, juste avant que Slafkovsky frappe tout ce qui bouge lors des deux derniers matchs.

Cela prouve que Slaf lit tout ce qui se dit sur lui...même s'il affirme le contraire. Donc, il est logique qu'il veuille savoir tout ce qui se passe autour de sa blonde lorsqu'elle travaille tard dans la nuit.

Dans une ville où chaque mouvement est analysé, sa relation amoureuse et les angoisses qui y sont reliées deviennent un poids supplémentaire pour le jeune joueur.

À ce stade de sa carrière, Slafkovsky doit impérativement ajuster sa trajectoire. Son talent est indéniable, mais le talent seul ne suffit pas dans une ligue où la constance et le mental sont essentiels.

Le sommeil est encore plus important.

Il est peut-être temps pour lui de consulter un psychologue sportif, une démarche qui a aidé de nombreux joueurs à gérer la pression et à équilibrer vie personnelle et performance professionnelle.

Juraj Slafkovsky a tout pour réussir, mais son avenir dans la LNH dépendra de sa capacité à surmonter ces obstacles.

La jalousie et les distractions hors glace doivent être mises de côté, car avec 60,8 millions de dollars US sur la table, dont 10 millions la première année, le luxe de l’échec n’est pas une option.

À Montréal, la patience des partisans a des limites, et la critique peut devenir impitoyable. Slafkovsky est averti. Et comme le résume un observateur du Flyjin :

« Il a les moyens de tout avoir, mais pour ça, il doit apprendre à lâcher prise et se concentrer sur ce qui compte vraiment : le hockey. »

La balle est dans son camp. À lui de prouver qu’il mérite d’être le visage de l’avenir du Canadien de Montréal.