La saga Jacob Trouba aurait pu prendre un tournant catastrophique pour le Canadien de Montréal, si l’on en croit les récentes révélations.
Alors que l’ancien capitaine des Rangers de New York a finalement été échangé aux Ducks d’Anaheim, des informations troublantes émergent sur l’intérêt présumé de Jeff Gorton, vice-président des opérations hockey du CH, pour amener Trouba à Montréal.
Sur les réseaux sociaux, c’est un véritable déluge de critiques qui s’abat sur le « big boss » du Tricolore.
Les chiffres de Trouba parlent d’eux-mêmes. À 30 ans, il est loin de la force qu’il était jadis. Avec seulement 6 mentions d’aide en 24 matchs cette saison, il traîne une réputation de joueur surpayé et en perte de vitesse.
Son contrat astronomique de 8 millions $ par saison jusqu’en 2026 le rendait déjà indésirable pour bon nombre d’équipes, et ses performances en déclin n’aident pas à justifier un tel investissement.
Ses lacunes défensives, son indiscipline chronique et son incapacité à suivre le rythme de la LNH moderne en font un joueur difficile à défendre.
Alors, pourquoi Jeff Gorton aurait-il voulu ramener Trouba dans l’entourage du Canadien?
Une décision totalement incompréhensible pour les partisans...
Selon le journaliste Bruce Garrioch, Gorton, ancien directeur général des Rangers, aurait exploré la possibilité d’acquérir Trouba.
Cette révélation a déclenché un tsunami d’indignation chez les partisans montréalais :
« Comment peut-on se sentir en confiance quand le big boss du CH veut un joueur fini comme Trouba? »
« Trouba, surpayé, incapable de suivre, et Gorton le voulait? C’est une blague. »
« Merci à Trouba de ne rien vouloir savoir du Canada, il nous a sauvés d’une autre erreur monumentale. »
Sur les réseaux sociaux, le message est clair : les fans du Canadien n’ont absolument aucune confiance en une direction qui pourrait envisager de sacrifier des actifs pour un joueur perçu comme « fini à la corde ».
Si l’échange n’a pas eu lieu, c’est parce que Trouba a catégoriquement refusé tout retour au Canada. Selon Garrioch, ce refus a également empêché les Sénateurs d’Ottawa de s’impliquer sérieusement dans les discussions avec les Rangers.
Cette décision a, ironiquement, épargné le Canadien d’une transaction qui aurait pu devenir un boulet financier et sportif.
Pour rappel, Trouba avait déjà joué au Canada, ayant passé six saisons complètes avec les Jets de Winnipeg avant d’être échangé à New York en 2019.
Son expérience dans le nord n’a visiblement pas laissé de bons souvenirs, car il n’a jamais envisagé un retour.
Si Gorton avait poussé pour acquérir Trouba, le Canadien aurait dû céder des actifs importants pour absorber son contrat.
Selon certaines rumeurs, Jayden Struble, jeune défenseur prometteur du CH, aurait été inclus dans les discussions avec les Rangers.
Struble, bien qu’encore en développement, représente une pièce d’avenir pour le Canadien. L’idée de sacrifier un espoir défensif pour un vétéran en déclin comme Trouba aurait été une catastrophe pour une équipe en pleine reconstruction.
À titre de comparaison, les Ducks d’Anaheim ont acquis Trouba en échange d’Urho Vaakanainen, un défenseur au rôle limité, et d’un choix de quatrième ronde.
Ce prix relativement modeste souligne à quel point la valeur de Trouba a chuté, ce qui rend encore plus incompréhensible l’intérêt présumé de Gorton.
L’implication de Gorton dans ce dossier soulève de sérieuses questions sur son jugement. Comment un dirigeant avec son expérience peut-il envisager d’acquérir un joueur dont les lacunes sont si évidentes?
Cette controverse ne fait qu’ajouter de l’eau au moulin des critiques envers la direction actuelle du Canadien.
Si Trouba a finalement pris le chemin d’Anaheim, les Canadiens de Montréal peuvent remercier le joueur lui-même pour son refus de venir au Canada.
Cependant, cet épisode laisse une impression amère chez les partisans, qui doutent de plus en plus des intentions de la direction.
Jeff Gorton devra travailler fort pour regagner la confiance des fans et prouver que cette rumeur ne reflète pas une tendance inquiétante dans sa gestion.
Pour l’instant, le Canadien peut respirer, mais l’ombre de Trouba rappelle que les décisions malavisées ne sont jamais loin dans une organisation en quête de stabilité.
Le départ de Trouba vers Anaheim aurait pu marquer une erreur historique pour le Canadien de Montréal. Bien que Gorton ait évité de franchir cette ligne, les rumeurs entourant son intérêt pour le défenseur laissent planer de sérieux doutes sur sa vision.
Avec des décisions controversées qui s’accumulent, le « big boss » du CH marche sur une corde raide.
Pour les partisans, la patience a des limites, et cet épisode risque de rester dans les mémoires comme un avertissement de ce qui pourrait arriver si la direction ne revoit pas ses priorités.
Les révélations entourant l’intérêt de Jeff Gorton pour Jacob Trouba ne cessent de secouer les partisans du Canadien de Montréal.
Le fait que Gorton était prêt à inclure Jayden Struble donne des frissons dans le dos.
Cette nouvelle, bien que non confirmée officiellement, reflète une fois de plus que Gorton, et non Kent Hughes, est celui qui tire réellement les ficelles au sein de l’organisation.
Pour les Rangers, l’objectif était clair : remplacer un défenseur vieillissant par un jeune joueur capable d’évoluer dans un rôle défensif sécuritaire.
Struble aurait offert une solution abordable à New York. Mais pour le Canadien, céder un jeune joueur en développement pour acquérir un vétéran lourdement surpayé et largement inefficace aurait été une erreur monumentale.
La saga entourant Jacob Trouba prouve quel point le défenseur est devenu un fardeau. Avec un salaire astronomique de 8 millions $ par année jusqu’en 2026 et des performances en chute libre, Trouba symbolise tout ce que le Canadien devrait éviter.
Ses statistiques parlent d’elles-mêmes : seulement 6 mentions d’aide en 24 matchs cette saison, un impact défensif quasi nul, et une indiscipline qui coûte cher à son équipe. Sur la glace, il est régulièrement battu par des joueurs plus rapides et plus talentueux.
Hors glace, son contrat est un véritable frein pour toute organisation qui aspire à construire une équipe compétitive.
Pour Jeff Gorton, pourtant, l’idée de ramener Trouba dans le giron montréalais semblait séduisante. Pourquoi? Peut-être par nostalgie de son temps à New York, où il avait été le principal artisan de l’acquisition de Trouba en 2019.
Mais les circonstances ont changé, et Trouba n’est plus le joueur qu’il était à Winnipeg.
Cet épisode illustre une vérité qui dérange de plus en plus les partisans : Jeff Gorton est le véritable DG du Canadien, tandis que Kent Hughes joue le rôle de façade.
Depuis son arrivée, Gorton a multiplié les décisions controversées, et celle-ci aurait pu être la pire. Et encore une fois, Kent Hughes aurait mangé les critiques en plein visage.
Le Canadien est censé être en reconstruction. Pourtant, l’intérêt de Gorton pour Trouba va à l’encontre de cette stratégie. Ce genre de décision ne peut que renforcer les doutes quant à la direction prise par l’organisation.
Et surtout, que Gorton est tanné de la reconstruction, tanné de perdre et tanné d'être dans la cave.
Avec Gorton aux commandes, le danger de telles décisions plane toujours. L’organisation devra être plus prudente à l’avenir et s’assurer que ses choix reflètent véritablement une stratégie cohérente et axée sur le long terme.
Pour l’instant, le Canadien a évité le pire. Mais cet épisode laisse un goût amer et fait en sorte qu'on se pose une question cruciale : Jeff Gorton est-il vraiment l’homme qu’il faut pour guider cette équipe vers un avenir meilleur?