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« Il y a eu des hauts et des bas. J’ai vécu de belles expériences et de moins belles. Mais comme je dis, tu ne sais pas à quoi t’attendre jusqu’à ce que tu mettes tes pieds dans tes patins et que tu joues pour le Canadien de Montréal."

"J’ai grandi avec le Canadien. J’ai grandi en regardant le Canadien. Je pensais que je savais à quoi m’attendre, mais ce n’est vraiment pas ça. Ça va te prendre une année – surtout aux Québécois – à comprendre ce qui se passe dans le marché."

« Je te dirais que dans les deux trois dernières années, je suis plus confortable dans ce que je fais, côté hockey, même si c’est hors de la glace. Je suis bien plus confortable. »

« Je suis plus calme avec certaines décisions. Avant, je prenais peut-être mes décisions un peu trop vite avec ce qui se passait autour de moi. Maintenant, c’est plus de voir toutes les options, tout ce qui se passe. »

« Avant, je me souciais un peu trop de ça, même si je n’ai pas Twitter et ces choses-là. Je ne peux pas contrôler l’opinion de quelqu’un. Pour moi, cette année, ça va revenir à avoir un bon début de saison, continuer sur la lancée que j’avais la saison dernière avant de me blesser, mais je te dirais que je suis plus calme avec beaucoup de choses."

"Je n’ai pas besoin des médias pour savoir quand je joue bien ou quand je ne joue pas bien. Moi, je le sais. Je suis quelqu’un qui est très dur sur soi-même après un match."

« Dans mes premières années à Montréal, j’ai eu des soirées un peu plus « deep » que d’autres, je te dirais. Maintenant, je passe à autre chose. Il va y avoir un autre match demain. Avec mon enfant, aussi, ça aide beaucoup quand tu reviens à la maison. »

« Chaque joueur qui joue lors d’une année de contrat va te le dire que cette année va prédire ce qui va se passer dans mon avenir. C’est une année importante. Mais tu ne peux pas jouer différemment. Tu joues au hockey comme tu joues toujours. »

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