Qui aurait cru que le départ de Jonathan Drouin des Canadiens de Montréal laisserait un vide difficile à combler pour les partisans de l'équipe.

Lorsqu'on observe sa performance remarquable avec l'Avalanche du Colorado, où il vient de marquer deux buts de plus pour atteindre le cap des 300 et 301e points en carrière, on ne peut s'empêcher de regarder Brendan Gallagher...et s'ennuyer de Jonathan Drouin...

 

 

La décision de conserver Brendan Gallagher sur l'avantage numérique à Montréal, tandis que Drouin brille dans une autre équipe, créée des interrogations légitimes.

 

 

L'idée de racheter Gallagher et de signer Drouin pour un contrat avantageux de 800 000 $ semble rétrospectivement être une alternative qui aurait pu être plus avantageuse sur le plan financier, sans sacrifier la qualité du jeu sur la glace.

Si on est bien honnête, quand on regarde le manque de talent offensif chez le Canadien de Montréal, on se prend à s'ennuyer de Drouin.

 

 

Le Québécois, depuis son départ de Montréal, ressemble au prodige talentueux pour lequel il a été repêché. Ses performances au Colorado sont impressionnantes et témoignent de sa capacité à faire une réelle différence sur la glace.

Pendant ce temps, Gallagher, bien qu'ayant été un pilier de l'équipe, ressemble à un joueur trop vieux évoluant dans une ligue de bière trop jeune pour lui. Gallagher semble vouloir un badge de participation.

Le fait que Drouin brille ailleurs et que Gallagher semble fini à Montréal peut être perçu comme une situation décevante, voire ridicule pour les partisans.

 

 

Voir Drouin continue de s'épanouir avec une autre équipe pour regarder Brendan Gallagher sur l'avantage numérique, la langue qui pend par terre, qui n'est plus capable de bouger, le dos recourbé comme un vieillard...nous fait de la peine au plus haut point...

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