Josh Anderson, l'attaquant du Canadien de Montréal, a récemment été la cible d'une critique synonyme d'humilitation publique de la part de Jean-Charles Lajoie lors de son émission sur TVA Sports.

Après avoir été impliqué dans une séquence où il a été perçu comme évitant le contact, contribuant indirectement au deuxième but de Mika Zibanejad lors de la défaite contre les Rangers, Anderson a été vivement critiqué par Lajoie et Tony Marinaro, qui plaident pour son départ de Montréal.

Lajoie a été cinglant et moqueur, déclarant :

« Josh Anderson est-il devenu un joueur peureux? Cette séquence-là, c’est une autre preuve pour moi qu’il ne peut être de retour l’automne prochain ».

Pour lui, il n'y a que deux solutions possibles : soit échanger Anderson en retenant une partie de son salaire, soit racheter son contrat.

Marinaro a suivi en expliquant qu'en retenant une partie du salaire, Anderson pourrait être plus facilement échangé, car l'autre équipe n'aurait à payer que 2,75 millions de dollars.

Il a souligné l'importance de bâtir une culture d'équipe sans aucun passager, insinuant que le départ d'Anderson pourrait être bénéfique dans cette optique.

Les deux animateurs ont également critiqué le style de jeu d'Anderson, suggérant qu'il ne s'harmonise pas avec le système de jeu de l'entraîneur Martin St-Louis.

Lajoie a même utilisé une métaphore pour illustrer son point de vue, déclarant que:

« Tu ouvres les deux portes de la Zamboni et il va braker à Rivière-des-Prairies! », soulignant ainsi une apparente incompatibilité entre le joueur et l'équipe.

Dans le cas où le Canadien ne parviendrait pas à se débarrasser d'Anderson, Marinaro a proposé une alternative : l'envoyer jouer pour le Rocket de Laval la saison prochaine, espérant ainsi qu'il puisse se ressaisir, comme Joel Armia, un autre joueur ayant trouvé un second souffle après un passage à Laval.

Cette critique publique de la part de Lajoie et Marinaro met Josh Anderson dans une situation délicate, alors qu'il est mis en lumière pour ses performances horribles, mais aussi et surtout pour sa paresse...sa lâcheté...

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