- C'est drôle d'entendre Jean-Jacques Daigneault parler de Justin Barron comme d'un FUTUR Alex Pietrangelo...

- Barron était son capitaine à Halifax...

- Et selon ce qu'on entend..

- C'est Barron qui est allé voir la direction des Mooseheads pour que Daigneault soit CONGÉDIÉ.

- Le défenseur trouvait son coach tellement INCOMPÉTENT..

- Et il est monté au 2e étage pour que JJ soit CONGÉDIÉ...

- En attendant..

- Daigneault le complimente quand même comme s'il était son propre enfant...

«C’était le meilleur joueur de mon club à Halifax. J’en ai fait mon capitaine. Il était très respecté de ses coéquipiers et je ne vois pas pourquoi il ne pourrait pas devenir ce leader chez les professionnels."

«Justin est un défenseur très dynamique avec un coup de patin incroyable. C’est un bon passeur. Il peut faire de bonnes sorties de zone en y allant d’une bonne première passe. Il a cette habileté d’être premier sur la rondelle avec son bon coup de patin. C’est ça qui le séparait des autres dans le junior.»

«Je ne pense pas qu’il sera sur la première vague d’un avantage numérique, mais je le voyais un peu comme un Pietrangelo, qui n’était pas toujours sur la première vague à St. Louis ou Vegas. Si je peux faire une projection, j’irais un peu dans ce sens-là."

«C’est quelqu’un qui défend bien, qui a une bonne robustesse et un très bon lancer sur réception. Si je fais une projection dans trois ou quatre ans, c’est un peu de même que je le vois quand il va atteindre sa maturité.» 

«Je pense qu’il y a beaucoup de similitudes dans leur jeu, c’est une très bonne comparaison. Ce sont deux excellents patineurs. Petry est un peu plus grand, mais les deux ont un excellent lancer aussi."

«Quand je l’ai coaché, il voulait tout le temps partir avec la rondelle. J’ai essayé de lui apprendre d’être plus opportuniste. J’ai dû l’apprendre aussi dans la LNH. Il y a des matchs dans lesquels tu auras cinq opportunités offensives et tu dois essayer de les saisir au lieu d’en créer lorsque l’ouverture n’est pas là.

«Il est réceptif de ce côté. C’est facile de lui enseigner des trucs.»

«La dernière séance vidéo que j’avais faite avec lui portait sur sa posture quand il patinait à reculons. Il était trop penché vers l’avant, trop sur le bout des orteils. Ce sont de petits détails qu’un ancien défenseur peut voir. Il a travaillé beaucoup là-dessus. Parfois, ça peut nuire à ta mobilité, car tu perds ton équilibre.» 

«J’ai travaillé six ans avec Jeff Gorton dans l’organisation des Rangers. Il venait souvent voir nos prospects à Hartford. J’ai travaillé avec Dan Girardi et Ryan McDonagh, notamment. On prenait notre temps avec les défenseurs. Jeff reconnait le processus que ça prend.» 

«Je crois qu’un défenseur doit devenir un leader dans la Ligue américaine avant de devenir un leader dans la Ligue nationale. La Ligue américaine est une ligue très difficile. En quelque sorte, c’est plus facile de jouer dans la LNH, où il y a plus de talent que de jouer dans la Ligue américaine où tu dois vraiment te démarquer individuellement pour avoir de bonnes statistiques.» 

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